La tendance de la philosophie est d'en revenir aux sources pour retrouver la vérité. D'une manière générale, le transcendantalisme présente cette tendance à estimer, de manière inexplicable, que la vérité se trouve au début de l'être. Dans ce cas, quel besoin d'ajouter une continuation à ce qui se trouve déjà complet dès le départ? Descartes présente une déclinaison de ce raisonnement quand il estime que Dieu est la cause première au réel.
La mentalité rationaliste exige un début pour expliquer le monde. Ce début est aberrant, puisqu'il pose la question de ce qui précède - le début. C'est constater que la raison patine dans l’infini et que l'histoire des origines ne s'explique pas par l'approche transcendantaliste dans son ensemble. L'imperfection qui suit la perfection originaire ne peut être expliquée que par un complément venant combler le manque. Le réel étant imparfait, le complément se montre parfait en guise d’explication qui vient combler le manque en accordant un crédit absolu aux conditions de représentation de l'être.
Le réel étant soumis à l'espace-temps, le vide originaire s'avère criant. Il s'agit d'une approche ontomorphique, au sens où elle traite les critères de l'être comme s'ils étaient objectifs. Pourtant, le fait que la raison patine à expliquer le réel indique qu'elle n'est pas appropriée pour le penser en dehors du fini. Ce constat implique que le réel soit fini et que l'infini soit dépourvu d'origine, de fin, des représentations qui sont propres à l'être, mais qui n'ont pas d'existence en dehors, sur le plan du réel (ce qui implique que l'être n'en constitue qu'une partie). Le mythe de la perfection originelle, que retranscrit le schéma de la Genèse ne convient pas pour expliquer le réel. Il s'avère approprié pour expliquer l'être.
Que la cause soit inférieure à l'effet ne remet pas en question que la logique propre à l'être. La première cause est ainsi rendue comme totalité, tandis que la déperdition dans la succession des effets s'accommode de l'inexplicable pérennité du réel. Cette pensée interdit de considérer que le minimum désigne l'effet, quand le maximum remonterait vers la cause. Elle rétablit la contradiction, au nom de la logique.
Le schéma contredit la raison, ce qui indique que la structure logique ne découle pas de la raison, mais l'emploie comme son auxiliaire. Aucune raison ne peut être apportée à cette approche, sauf à estimer qu'elle offre un modèle explicatif, quand les autres s'en tiennent à l'absurde.
Pourtant, cette explication ne prend pas en charge l'ensemble du réel sous prétexte d'offrir une hypothèse. Même la cause originelle se trouve frappée de contradictoire. Si elle était parfaite, elle n'enclencherait aucun mécanisme de causalité.
La résolution s'effectue avec le passage d'une conception statique à son alternative dynamique. Cette dernière développe une relation d'échange au lieu de la contradiction relevée derrière l'inexplicable. La contradiction se trouve levée dans l'être, ce que sanctionne le constat érigé en principe, selon lequel la contradiction constitue une faute contre la logique.
En lieu et place s'érige une relation d'échange, que l'on pourrait nommer : dynamique d'expansion, qui implique que ce qui est tenu pour le contradictoire se trouve harmonisé en situation de symbiose. Il faudrait ôter toute connotation de staticité à cette relation. Elle s'avère évolutive, le maximum étant plastique par rapport au fondement, qui évoque la référence plutôt que le point de départ.
Le réel est ainsi composé d'un substrat qui peut être qualifié de minimum, car son point de départ est la contradiction intenable, et d'un maximum qui est en expansion constante. Au final, la notion d'espace n'a pas grande signification dans ce schéma, où les repères d'un instantané se trouvent en constante évolution et redéfinition.
La contradiction se trouve levée par cette relation complémentaire et proportionnelle. Le fondement s'avérerait contradictoire s'il était analysé de manière isolée, sans sa dialectique constante avec sa dernière expression, à un degré de maximum sans cesse relevé.
La vérité n'existe pas comme moment le plus haut et ne désigne pas le commencement fantasmatique. Elle devient relative à un être, consubstantiel à l'être qui n'existe pas en tant que durée, mais s'exprime comme succession d'instants reliés entre eux par la malléabilité.
Le schéma contredit la raison, ce qui indique que la structure logique ne découle pas de la raison, mais l'emploie comme son auxiliaire. Aucune raison ne peut être apportée à cette approche, sauf à estimer qu'elle offre un modèle explicatif, quand les autres s'en tiennent à l'absurde.
Pourtant, cette explication ne prend pas en charge l'ensemble du réel sous prétexte d'offrir une hypothèse. Même la cause originelle se trouve frappée de contradictoire. Si elle était parfaite, elle n'enclencherait aucun mécanisme de causalité.
La résolution s'effectue avec le passage d'une conception statique à son alternative dynamique. Cette dernière développe une relation d'échange au lieu de la contradiction relevée derrière l'inexplicable. La contradiction se trouve levée dans l'être, ce que sanctionne le constat érigé en principe, selon lequel la contradiction constitue une faute contre la logique.
En lieu et place s'érige une relation d'échange, que l'on pourrait nommer : dynamique d'expansion, qui implique que ce qui est tenu pour le contradictoire se trouve harmonisé en situation de symbiose. Il faudrait ôter toute connotation de staticité à cette relation. Elle s'avère évolutive, le maximum étant plastique par rapport au fondement, qui évoque la référence plutôt que le point de départ.
Le réel est ainsi composé d'un substrat qui peut être qualifié de minimum, car son point de départ est la contradiction intenable, et d'un maximum qui est en expansion constante. Au final, la notion d'espace n'a pas grande signification dans ce schéma, où les repères d'un instantané se trouvent en constante évolution et redéfinition.
La contradiction se trouve levée par cette relation complémentaire et proportionnelle. Le fondement s'avérerait contradictoire s'il était analysé de manière isolée, sans sa dialectique constante avec sa dernière expression, à un degré de maximum sans cesse relevé.
La vérité n'existe pas comme moment le plus haut et ne désigne pas le commencement fantasmatique. Elle devient relative à un être, consubstantiel à l'être qui n'existe pas en tant que durée, mais s'exprime comme succession d'instants reliés entre eux par la malléabilité.
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