Le mythe principal sur lequel s'appuie s'appuie la métaphysique, en particulier moderne, depuis Descartes, c'est le schéma selon lequel la vérité se retrouverait dans le passé et constituerait de la sorte le modèle, le patron, la mouture initiale. Dès lors, la construction importe peu, car la vérité se situe, non pas dans les effets, mais dans la cause première.
Ce raisonnement implique que la vérité existe déjà, se tienne au départ de notre monde, et que le principal effort de la connaissance consiste à la retrouver. Dès lors, la principale contradiction qui s'oppose à ce raisonnement tient au non-sens et à l'inutilité qu'il induit.
En effet, le réel ultérieur à la perfection devient parfaitement inutile. La cause parfaite nécessite d'être connue, bien que son hypothèse délivre une absurdité : car on voit mal pourquoi notre perfection, si elle est telle, aurait besoin d'un complément - qui serait notre monde physique.
L'idée de retrouver la cause pour déterrer la vérité implique que la vérité soit nécessairement passée, ce qui empêche la connaissance d'y accéder. La vérité ne peut s'envisager qu'en embrassant l'ensemble du réel, pas seulement le réel littéral (physique), ni l'initial (passé).
Si la recherche du fonctionnement d'ensemble implique de trouver les bonnes causes, son déploiement interdit de s'en tenir à elles seules, sauf à considérer qu'il est superflu. Si le fait de partir de n'importe quelle cause pour expliquer un effet donné aboutirait à un résultat hasardeux, souvent où l'on mélangerait le vrai et le possible (ce qui peut advenir, tandis que le faux existe), tenir la cause pour seul réel reviendrait à nier le réel.
Cette idée selon laquelle il existerait un modèle intangible, donné une bonne fois pour toutes, constitue un raisonnement commode : il implique que la source n'aurait pas besoin de son inexplicable autant que superflue création.
La méthode serait simple, bien qu'il s'avère difficile de retrouver la forme : il suffit d'identifier la cause du réel, et l’explication sera trouvée. Un tel réel fonctionne sur le mode de la nécessité - ou bien la vérité qu'on lui attribué s'avère inexplicable. Cette hypothèse n'est pas que le propre de la métaphysique depuis Aristote, singulièrement depuis sa rénovation par Descartes.
Elle constitue le raisonnement symptomatique du transcendantalisme, dont la marque de fabrique se trouve affinée par son unification sous la bannière du monothéisme. C’est ainsi que Dieu est le Premier autant que le Dernier, dans l'ordre du temps, qu'il ouvre et referme sans qu'on sache bien pourquoi cet espace existe, ni pourquoi il l'a créé, et que l'on essaye de reprendre les moments où il s'est manifesté.
On retrouve cette approche du réel, selon laquelle seul ce qui est passé a de la valeur; tandis que ce qui est présent est incertain et fragile, avec le mythe de la chute de l’Éden dans la Genèse (un mythe que l'on retrouve dans de nombreux récits sacrés sous des formes approchantes) : si Adam commet le péché originel, qui le fait expulser du Paradis, c'est que l'origine est la Perfection située à l'origine des choses, le monde physique étant tenu pour la dévalorisation de l’origine.
C'est ce raisonnement qui constitue l’archétype de la pensée atavique, de telle sorte que toutes les déclinaisons de cette mentalité sont imprégnées de cette conception, selon laquelle ce qui a un début a forcément une fin. Le propre de cette explication par la cause intégrale, c'est qu'elle comporte une origine (plus encore qu'une fin, puisque le mythe de la vérité initiale n'importe pas que la suite soit compréhensible (en d'autres termes, s'il est certain que la fin existe, on ne sait comment son avènement se produirait, par exemple suivant la nécessité ou la liberté).
Voilà qui implique que ce qui se conçoit comme le complément de la cause, et non son adjonction superflue, ne puisse comporter de fin. Seule l'acceptation de l'hypothèse par la cause implique la fin. A y bien regarder, rien n'indique que le réel comporte sa fin (comme sa cause). L'explication qui rend cohérente (tel n'est pas le cas de l'explicitant par l'origine) l'ensemble du réel implique que :
1) la cause ne suffise pas;
2) la fin ne puisse s'envisager, au sens où la fin envisageable soit progressive.
L'idée selon laquelle la fin provisoire (ou ce qui suit) importe plus que le début (nécessairement incomplet, et non modèle de perfection à retrouver) implique que le processus soit en constante évolution et que le changement se traduise par le fait que ce qui émarge au titre du réel soit moins ce qui advient (objet que les causes adéquates peuvent envisager, au moins jusqu'à un certain point) que le fait que cela reste (cela est = cela reste, ou encore le devenir = ce qui reste et que l'on nomme réel).
Si les causes adéquates permettaient de prévoir le réel futur, alors des esprits sagaces auraient réussi depuis longtemps à établir ces prévisions de manière définitive. Si elles n'ont pas eu lieu, c'est que les causes les plus rigoureusement définies ne suffisent pas à établir une prévision rationnelle et fiable. Le fait que le développement du réel ne soit pas prévisible indique qu'il n'obéit pas à un plan linéaire, mais suit des linéaments imprévisibles et en ce sens discontinus.
Comment expliquer autrement que le réel ne soit pas mû par l’ordre irréfragable s'il se trouve issu des causes adéquates? La discontinuité ne peut s'expliquer que si on fait intervenir une hypothèse qui fait intervenir et qui exclut l'hypothèse nihiliste du non-être, au nom du fait que ceux qui valident cette option ne font que renforcer l'esprit rationaliste (comme en témoignent les métaphysiciens depuis Aristote). Le réel n'est pas seulement composé d'être.
Il est constitué d'une matière extensible, d'ordre malléable. Le modèle présentait au moins une explication, aussi fragile soit-elle à l'examen de ses fondements. Mais cette explication empêche de comprendre, puisqu'elle déforme la structure du réel.
Le point essentiel sur lequel on peut insister est l'explication contradictoire qu'induit la croyance répandue dans le modèle : il convient d'observer que l'effet, s'il découle d'une cause, n'est nullement contraint de suivre une seule inflexion, mais que l'effet peut rompre avec une certaine tradition (tenue pour intangible), tout comme la causalité n'est qu'une indication plausible, mais pas davantage.
Le réel est imprévisible dans son fonctionnement, ce qui s'explique soit de manière inexplicable (comme chez Descartes, qui concilie la préordination divine avec la liberté individuelle), soit en faisant intervenir la différence fondamentale. L'explication par le modèle implique une tentative au mieux contradictoire, selon laquelle la contradiction rationnelle ne peut être levée que de manière inexplicable.
Leibniz sur ce point ne fait guère mieux, lui qui remet en question, au nom de la logique et du principe de contradiction, la position (emblématique) de Descartes, tout en ne proposant aucune explication, mais, en guise d’alternative, une absence de théorie adossée sur la vérification : c'est valable, parce que ça marche - et bien que cela reste inexplicable.
L’imprévisibilité du réel ruine des positions comme celles de Descartes, qui cherchait une méthode a priori pour découvrir la vérité (ça commence avec la résolution des problèmes, ça finit avec les idées claires et distinctes), mais elle n'accepte pas pour autant la réponse de Leibniz, selon lequel l'expérience permet de compléter la théorie. L'imprévisibilité doit pouvoir être expliquée, sans quoi l'explication s'avère carencée.
Commençons par observer que l'imprévisible ne l'est pas totalement, mais que l'influence causale est prédominante. Nous sommes le plus souvent, non dans un causalisme pur, comme le voudrait un Spinoza, mais dans un causalisme majoritaire, à parti duquel de légers changements sont amorcés, ce qui indique que le déterminisme n'est pas absolu, tout en sauvegardant l'ordre indispensable à la perpétuation de l'être.
Cependant, la faculté qu'affichent les objets tissés d'être de sortir à certains moments de leur fonctionnement prévisible constitue précisément leur originalité et le point le plus intéressant. D'un point de vue historique, ce sont ces cas qui changent le cours prévisible des causes et qui de ce fait rendent possible la perpétuation de l'homme, sans quoi l'appauvrissement serait inéluctable.
D'un point de vue scientifique, le changement des causes se révèle d'une nécessité particulière : car cette nécessité, contrairement à la nécessité entendue usuellement, se combine avec l'imprévisibilité, ce qui amène à déclarer que seul l'imprévisible est nécessaire. Le nécessaire ne peut être la loi qui dirige le réel, mais le fondement à partir duquel se construisent les étages supérieurs.
Il est erroné d'envisager la cause comme plus importante que l'effet, car être le début n’implique pas qu'on soit la perfection, comme le voudrait Descartes, mais seulement le commencement, dont le paronyme pourrait être : l'inférieur, aussi. Par ailleurs, la cause ne peut être qu'inférieure à l'effet si s'y ajoute le coefficient d'imprévisibilité.
Le modèle constitue une explication d’autant plus tentante qu'elle offre une théorie face à l'inconnu. Là aussi, la question aurait dû être : comment se fait-il que l'homme soit incapable de proposer une définition du réel, tandis que l'on se tient sur une ligne d'homogénéité entre l'observateur et son objet d'étude - l'être? En somme, l'homme a préféré tenir quelque chose d’insuffisant plutôt que rien de consistant.
C'est le signe, non qu'il a failli tenir quelque chose de plus, comme l'inclinerait à croire le partisan de l'option ontologique, mais qu’il a été confronté au fait qu'il ne peut tenir un tout. Du coup, le raisonnement majoritaire se traduit en philosophie par la prédominance de l'influence métaphysique, tandis que l’ontologie ne parvient pas à définir son tout, revendiqué comme l’Être (ou d'autres paronymes).
L'échec de l’ontologie signe le triomphe du nihilisme, qui ne peut s'exprimer que par son association avec la recherche de quelque chose, comme en témoigne la métaphysique. Le seul moyen d’échapper au piège du modèle consiste à décréter que l'infini est représenté l'image du modèle dans le fini et qu’il faut en passer par cette analogie pour représenter l'infini (à ce stade, la différence avec la métaphysique, c'est que l'ontologie considère qu'il est possible d'exprimer l'infini).
Le modèle est la seule hypothèse dans un ensemble où l'explication fonctionne sur l’homogénéité. Il reste que cette explication n'est pas viable, et implique, soit d'établir l'indéfinissable, soit de circonscrire le champ au fini. Il reste alors à ouvrir le domaine à la différence, qui permet de résoudre l'indéfinissable, comme l'insuffisance de toute limite inhérente à la vision finie.
La méthode serait simple, bien qu'il s'avère difficile de retrouver la forme : il suffit d'identifier la cause du réel, et l’explication sera trouvée. Un tel réel fonctionne sur le mode de la nécessité - ou bien la vérité qu'on lui attribué s'avère inexplicable. Cette hypothèse n'est pas que le propre de la métaphysique depuis Aristote, singulièrement depuis sa rénovation par Descartes.
Elle constitue le raisonnement symptomatique du transcendantalisme, dont la marque de fabrique se trouve affinée par son unification sous la bannière du monothéisme. C’est ainsi que Dieu est le Premier autant que le Dernier, dans l'ordre du temps, qu'il ouvre et referme sans qu'on sache bien pourquoi cet espace existe, ni pourquoi il l'a créé, et que l'on essaye de reprendre les moments où il s'est manifesté.
On retrouve cette approche du réel, selon laquelle seul ce qui est passé a de la valeur; tandis que ce qui est présent est incertain et fragile, avec le mythe de la chute de l’Éden dans la Genèse (un mythe que l'on retrouve dans de nombreux récits sacrés sous des formes approchantes) : si Adam commet le péché originel, qui le fait expulser du Paradis, c'est que l'origine est la Perfection située à l'origine des choses, le monde physique étant tenu pour la dévalorisation de l’origine.
C'est ce raisonnement qui constitue l’archétype de la pensée atavique, de telle sorte que toutes les déclinaisons de cette mentalité sont imprégnées de cette conception, selon laquelle ce qui a un début a forcément une fin. Le propre de cette explication par la cause intégrale, c'est qu'elle comporte une origine (plus encore qu'une fin, puisque le mythe de la vérité initiale n'importe pas que la suite soit compréhensible (en d'autres termes, s'il est certain que la fin existe, on ne sait comment son avènement se produirait, par exemple suivant la nécessité ou la liberté).
Voilà qui implique que ce qui se conçoit comme le complément de la cause, et non son adjonction superflue, ne puisse comporter de fin. Seule l'acceptation de l'hypothèse par la cause implique la fin. A y bien regarder, rien n'indique que le réel comporte sa fin (comme sa cause). L'explication qui rend cohérente (tel n'est pas le cas de l'explicitant par l'origine) l'ensemble du réel implique que :
1) la cause ne suffise pas;
2) la fin ne puisse s'envisager, au sens où la fin envisageable soit progressive.
L'idée selon laquelle la fin provisoire (ou ce qui suit) importe plus que le début (nécessairement incomplet, et non modèle de perfection à retrouver) implique que le processus soit en constante évolution et que le changement se traduise par le fait que ce qui émarge au titre du réel soit moins ce qui advient (objet que les causes adéquates peuvent envisager, au moins jusqu'à un certain point) que le fait que cela reste (cela est = cela reste, ou encore le devenir = ce qui reste et que l'on nomme réel).
Si les causes adéquates permettaient de prévoir le réel futur, alors des esprits sagaces auraient réussi depuis longtemps à établir ces prévisions de manière définitive. Si elles n'ont pas eu lieu, c'est que les causes les plus rigoureusement définies ne suffisent pas à établir une prévision rationnelle et fiable. Le fait que le développement du réel ne soit pas prévisible indique qu'il n'obéit pas à un plan linéaire, mais suit des linéaments imprévisibles et en ce sens discontinus.
Comment expliquer autrement que le réel ne soit pas mû par l’ordre irréfragable s'il se trouve issu des causes adéquates? La discontinuité ne peut s'expliquer que si on fait intervenir une hypothèse qui fait intervenir et qui exclut l'hypothèse nihiliste du non-être, au nom du fait que ceux qui valident cette option ne font que renforcer l'esprit rationaliste (comme en témoignent les métaphysiciens depuis Aristote). Le réel n'est pas seulement composé d'être.
Il est constitué d'une matière extensible, d'ordre malléable. Le modèle présentait au moins une explication, aussi fragile soit-elle à l'examen de ses fondements. Mais cette explication empêche de comprendre, puisqu'elle déforme la structure du réel.
Le point essentiel sur lequel on peut insister est l'explication contradictoire qu'induit la croyance répandue dans le modèle : il convient d'observer que l'effet, s'il découle d'une cause, n'est nullement contraint de suivre une seule inflexion, mais que l'effet peut rompre avec une certaine tradition (tenue pour intangible), tout comme la causalité n'est qu'une indication plausible, mais pas davantage.
Le réel est imprévisible dans son fonctionnement, ce qui s'explique soit de manière inexplicable (comme chez Descartes, qui concilie la préordination divine avec la liberté individuelle), soit en faisant intervenir la différence fondamentale. L'explication par le modèle implique une tentative au mieux contradictoire, selon laquelle la contradiction rationnelle ne peut être levée que de manière inexplicable.
Leibniz sur ce point ne fait guère mieux, lui qui remet en question, au nom de la logique et du principe de contradiction, la position (emblématique) de Descartes, tout en ne proposant aucune explication, mais, en guise d’alternative, une absence de théorie adossée sur la vérification : c'est valable, parce que ça marche - et bien que cela reste inexplicable.
L’imprévisibilité du réel ruine des positions comme celles de Descartes, qui cherchait une méthode a priori pour découvrir la vérité (ça commence avec la résolution des problèmes, ça finit avec les idées claires et distinctes), mais elle n'accepte pas pour autant la réponse de Leibniz, selon lequel l'expérience permet de compléter la théorie. L'imprévisibilité doit pouvoir être expliquée, sans quoi l'explication s'avère carencée.
Commençons par observer que l'imprévisible ne l'est pas totalement, mais que l'influence causale est prédominante. Nous sommes le plus souvent, non dans un causalisme pur, comme le voudrait un Spinoza, mais dans un causalisme majoritaire, à parti duquel de légers changements sont amorcés, ce qui indique que le déterminisme n'est pas absolu, tout en sauvegardant l'ordre indispensable à la perpétuation de l'être.
Cependant, la faculté qu'affichent les objets tissés d'être de sortir à certains moments de leur fonctionnement prévisible constitue précisément leur originalité et le point le plus intéressant. D'un point de vue historique, ce sont ces cas qui changent le cours prévisible des causes et qui de ce fait rendent possible la perpétuation de l'homme, sans quoi l'appauvrissement serait inéluctable.
D'un point de vue scientifique, le changement des causes se révèle d'une nécessité particulière : car cette nécessité, contrairement à la nécessité entendue usuellement, se combine avec l'imprévisibilité, ce qui amène à déclarer que seul l'imprévisible est nécessaire. Le nécessaire ne peut être la loi qui dirige le réel, mais le fondement à partir duquel se construisent les étages supérieurs.
Il est erroné d'envisager la cause comme plus importante que l'effet, car être le début n’implique pas qu'on soit la perfection, comme le voudrait Descartes, mais seulement le commencement, dont le paronyme pourrait être : l'inférieur, aussi. Par ailleurs, la cause ne peut être qu'inférieure à l'effet si s'y ajoute le coefficient d'imprévisibilité.
Le modèle constitue une explication d’autant plus tentante qu'elle offre une théorie face à l'inconnu. Là aussi, la question aurait dû être : comment se fait-il que l'homme soit incapable de proposer une définition du réel, tandis que l'on se tient sur une ligne d'homogénéité entre l'observateur et son objet d'étude - l'être? En somme, l'homme a préféré tenir quelque chose d’insuffisant plutôt que rien de consistant.
C'est le signe, non qu'il a failli tenir quelque chose de plus, comme l'inclinerait à croire le partisan de l'option ontologique, mais qu’il a été confronté au fait qu'il ne peut tenir un tout. Du coup, le raisonnement majoritaire se traduit en philosophie par la prédominance de l'influence métaphysique, tandis que l’ontologie ne parvient pas à définir son tout, revendiqué comme l’Être (ou d'autres paronymes).
L'échec de l’ontologie signe le triomphe du nihilisme, qui ne peut s'exprimer que par son association avec la recherche de quelque chose, comme en témoigne la métaphysique. Le seul moyen d’échapper au piège du modèle consiste à décréter que l'infini est représenté l'image du modèle dans le fini et qu’il faut en passer par cette analogie pour représenter l'infini (à ce stade, la différence avec la métaphysique, c'est que l'ontologie considère qu'il est possible d'exprimer l'infini).
Le modèle est la seule hypothèse dans un ensemble où l'explication fonctionne sur l’homogénéité. Il reste que cette explication n'est pas viable, et implique, soit d'établir l'indéfinissable, soit de circonscrire le champ au fini. Il reste alors à ouvrir le domaine à la différence, qui permet de résoudre l'indéfinissable, comme l'insuffisance de toute limite inhérente à la vision finie.
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