vendredi 17 juillet 2009

Gare au Bigard

Chapeau, Général.
Gare au Bigard. J'avais de l'humoriste le plus populaire de France une image assez mitigée. Je continue à m'interroger : Bigard réagit-il au mensonge effarant de la version officielle du 911 parce qu'il est légitimement révolté ou parce que des groupes bien renseignés utilisent son aura et sa notoriété pour faire passer le message? Quoi qu'il en soit, Bigard en One Man Show ou en Band Men Show n'a que trop raison de relayer le canal divin de la vérité.
La vérité - contre la version officielle occidentaliste?
Ce que notre Bigard national est en train d'oser dans le paysage stéréotypé du show business, dont il n'a que trop fait partie, est un coup de dynamite. Pas dans les Tours, hein, mais dans le mensonge qui enserre de sa gangue putride les démocraties libérales. Pan! Puisque Bigard a l'air intéressé par la précision, effort plus que louable de profondeur et d'intérêt, j'aimerais lui soumettre quelques suggestions ou quelques pistes pour ses futures interventions.
Au passage, on remarquera que les humoristes labellisés versent de moins en moins dans l'humour et de plus en plus dans le vitriol et la contestation. Ceux qui demeurent dans la veine comique sont des trublions insouciants qui abordent des sujets stéréotypés et totalement déconnectés des préoccupations politiques. Sujets sociétaux ou individualistes, comme les travestis ou les Ch'tis. Humour superficiel et prévisible, qui se garde bien de se montrer corrosif en abordant les sujets qui fâchent (comme par hasard les plus importants aussi à notre époque troublée). Par charité chrétienne, je ne citerai personne.
Par contre, je n'oublie pas les pistes :
1) Able Danger, où l'on apprend que des pirates de l'air appartenaient à des opérations de contre-terrorisme de l'armée américaine.
2) Les 19 pirates de l'air, dont la liste est fausse et la participation suspecte.
3) BAE, initiales d'un scandale anglo-saoudien, dans lequel sont impliqués l'ambassadeur Bandar Bush Bin Sultan et des pans majeurs du 911. Au passage, le film de Chiesa Zero prétend prouver les virements bancaires saoudiens dans le 911.
4) Le cas Oussama, qui n'a toujours pas été inculpé pour les attentats du 911, ce qui rend illégitime la guerre d'Afghanistan et qui explique peut-être pourquoi on ne l'a jamais retrouvé (est-il encore vivant?).
5) La défense aérienne américaine civile et militaire qui a été ponctuellement et stratégiquement désactivée pendant plus d'une demi-heure (voire plus), ce qui implique directement les responsables de ces institutions.
6) La torture infâme et inexcusable des supposés terroristes du 911, comme l'improbable KSM.
7) Les multiples témoignages accablants de témoins directs du 911. Le dernier en date est le cameraman de la FEMA Sonnenfeld.
8) Les liens hypothétiques et à éclaircir entre les entreprises qui s'occupaient de la sécurité des WTC le 911 :
a) pour le 7, c'était Blackstone Real Estate Advisors en 2000, groupe détenu en partie par un autre cador du business américain, le fabuleux Peterson, collègue de Kissinger dans les seventies, et son associé le génial Schwarzmann, membre des Skulls and Bones de Yale en même temps que W.
b) pour les 1 et 2, il s'agissait de Kroll Securities, filiale à l'époque d'AIG, tenu à l'époque (depuis 1993) par Maurice Hank Greenberg, sioniste vénérable et éminent comparse des services de renseignements américains. En 2004, la compagnie d'assurance Marsh McLennan Companies a racheté Kroll. La compagnie détenait quelques bureaux dans le WTC Nord qui furent frappés par le (supposé) vol 11 d'American Airlines. A l'époque, le grand directeur de la compagnie était le fils de Maurice, Jeffrey. Encore une figure du CFR. Quelques mois plus tard, Jeffrey a dû quitter son poste pour causes de scandales financiers. Son papa, le héros Hank, a connu également quelques tracas du même acabit et à la même période, en 2005. A chaque fois, c'est l'horrible procureur général de l'Etat de New York qui s'est occupé de régler le cas, le terrible Eliot Spitzer. Depuis, AIG a été renfloué à hauteur d'environ 150 milliards de dollars par le contribuable américain.
Il y aurait une multitude d'autres problèmes à approfondir, mais je préfère finir avec cette dernière piste, qui me semble suffisamment solide pour étayer une bonne partie de la conception du 911. On ne monte pas des attentats aussi sophistiqués dans les montagnes de Tora B. Pour mener à bien ce genre d'opérations, il faut des milliards, la logistique d'États et la complicité d'institutionnels à l'intérieur des États-Unis. Qui avait ce pouvoir? La réponse sur des coupables directs est assez indécise, mais sur les commanditaires, elle coule quasiment de source.
Le chef d'État-major russe à l'époque du 911, le général Ivashov, l'a fournie : ce sont les oligarques occidentaux de la banque, des affaires et de la finance qui ont monté le coup. La liste des exécutants du niveau supérieur n'est pas non plus pléthorique et diversifiée : qui a le pouvoir de monter le 911 et de demeurer relativement méconnu? W. est une marionnette plaisante, mais qui était derrière l'administration W.?
Courage, Général, la vérité ne meurt jamais.

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