Le débat liberté/nécessité se comprend différemment quand on pose le débat en termes d'incomplétude. La liberté d'une partie est incomplète. La nécessité existe en tant que le réel existe : ce qui est extérieur à la partie. La partie se trouve déterminée par une forme et un sens qui lui échappent. C'est au nom de cette nécessité que l'on conclut à la nécessité totale.
La première nécessité, c'est la nécessité qu'il y ait quelque chose et jamais rien. Cet élément est la loi générale qui guide l'ontologie. Il est le principe religieux qui oppose au nihilisme une réponse claire, quoique toujours en construction. La nécessité est générale au sens où les parties sont mues par une loi qui leur est extérieure et qui les englobe - qui est totale. A l'intérieur du réel, les parties sont libres au sens où les nécessités qui leur sont imposées se réduisent finalement à ce principe du quelque chose.
La question est de savoir que la liberté interne existe et que le réel sous son appellation générique n'existe que sous la forme de ses parties. Cette liberté de faire à l'intérieur du quelque chose n'est compatible qu'avec la conception de l'incomplétude. Si le réel est incomplet, alors les parties sont libres. Les parties ne peuvent être libres qu'incomplètes et l'incomplétude seule permet que ce soient les parties incomplètes qui composent le réel total - que ce réel en tant que tel n'existe pas autrement que sous la forme de l'abstraction.
Suivant une certaine formule simplifiée quoique profonde : réel = nécessité + incomplétude.
1 ) L'incomplétude est la caractéristique majeure du réel.
2) La nécessité est subordonnée à l'incomplétude et tourne (sous des formes singulières originales et nouvelles) autour du quelque chose.
La première nécessité, c'est la nécessité qu'il y ait quelque chose et jamais rien. Cet élément est la loi générale qui guide l'ontologie. Il est le principe religieux qui oppose au nihilisme une réponse claire, quoique toujours en construction. La nécessité est générale au sens où les parties sont mues par une loi qui leur est extérieure et qui les englobe - qui est totale. A l'intérieur du réel, les parties sont libres au sens où les nécessités qui leur sont imposées se réduisent finalement à ce principe du quelque chose.
La question est de savoir que la liberté interne existe et que le réel sous son appellation générique n'existe que sous la forme de ses parties. Cette liberté de faire à l'intérieur du quelque chose n'est compatible qu'avec la conception de l'incomplétude. Si le réel est incomplet, alors les parties sont libres. Les parties ne peuvent être libres qu'incomplètes et l'incomplétude seule permet que ce soient les parties incomplètes qui composent le réel total - que ce réel en tant que tel n'existe pas autrement que sous la forme de l'abstraction.
Suivant une certaine formule simplifiée quoique profonde : réel = nécessité + incomplétude.
1 ) L'incomplétude est la caractéristique majeure du réel.
2) La nécessité est subordonnée à l'incomplétude et tourne (sous des formes singulières originales et nouvelles) autour du quelque chose.
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