En ces temps de crise généralisée, le 911 résonne de plus en plus comme un cadavre que l'on n'aurait pas sorti du placard où on l'a terré. Raison de plus neuf ans plus tard pour interroger le mort et ses décombres.
La preuve que les choses changent? Même le regard que portent les médias institutionnels sur le 911 commence à évoluer. Il aura seulement fallu attendre neuf ans - et la terrible crise systémique que nous traversons. Ne nous y trompons pas : ce n'est pas suite à une brusque impulsion d'honnêteté, surtout par les temps amoralistes qui courent, que les médias officiels commencent à estimer que, tout bien considéré, il se pourrait finalement que la version officielle du 911 (celle consignée par la Commission parlementaire de 2004 et relayée par les institutions et les médias alignés) soit douteuse, en tout cas en proie au doute.
Que de contorsions et de précautions sophistiquées pour commencer à reconnaître que l'on a relayé des mensonges! Prenez le journal français Le Monde, qui représente sinon la voix de la bien-pensance française (tendance gauche bobo s'il vous plaît), du moins la gauche socialiste obédience sociale-libérale-démocrate :
http://www.reopen911.info/News/2010/09/11/le-monde-fr-les-etats-unis-nen-ont-pas-fini-avec-le-11-septembre/
Après de multiples points de vue qui se contentaient paresseusement de ranger les contestataires de la version officielle des fameux attentats sous la rubrique (à braques) des complotistes, manière folle d'insinuer que c'étaient des dérangés plus ou moins débiles, roulements de tambours et flonflons - à présent, nouvelle version, son de cloche discordant : désormais il convient de commencer à écouter les doutes qui s'expriment (à droite et à gauche). Tu m'étonnes! En fait il n'y avait pas besoin de potasser une décennie sur les faits pour se rendre compte qu'ils ne concordaient pas vraiment avec la VO!
Prenez un quotidien satirique français comme Bakchich, qui rappelle en version plus moderne, voire Internet, le Canard enchaîné. Des satiristes nouvelle version devraient s'emparer toutes affaires cessantes de ce scandale monstrueux, qui plus est présenté de manière aussi délirante et mensongère.
http://www.reopen911.info/News/2010/09/09/11-septembre-les-rates-du-fbi%E2%80%A6-par-le-fbi/
Point du tout. Courageux mais pas téméraires, nos satiristes ont oublié les dizaines de voix discordantes qui ont râlé et ramé pendant tout ce temps. Ont-ils cru qu'en refaisant le coup de l'assassinat de JFK, soit profil bas et regard évasif, ils parviendraient à enterrer de nouveau le cadavre dans le placard sans embûches?
Pauvres naïfs! Niais et arrogants! Le coup du black-out style JFK, vous ne le referez pas, non que vous soyez moins imprudents (impudents), mais parce que vous n'en avez plus les moyens. Je vais vous rappeler pourquoi vous commencez enfin à admettre un iota de vérité derrière vos tonnes de mensonges :
1) C'est avec l'horrible mensonge médiatique suivant l'assassinat de JFK que vous avez enterré la démocratie libérale en Occident;
2) L'horrible mensonge de la version officielle des attentats abjects du 911 ne vient pas mettre en péril la démocratie (constat plus que tardif), mais se trouve le prétexte idéal (l'incendie du Reichstag) pour les commanditaires financiers et oligarchiques afin de lancer leur guerre contre le terrorisme et cautionner la crise financière - le parachèvement et l'aveu de la crise systémique qui ravage de manière inexorable et terminale le système occidentale impérialiste et colonialiste.
Comme vous êtes en retard d'une guerre (contre le terrorisme), vous estimez que la crise est certes plus grave que prévue, mais qu'elle n'annonce que la remise en question de l'équilibre géostratégique actuel. Vous n'avez rien compris. La crise ne se finira qu'en changeant de système. Vous vous sentez rassurés d'avoir affaire à des complotistes qui voient partout l'apocalypse? Vous avez un train au moins de retard, en fait. Ce n'est pas le monde qui se finit, c'est un monde - votre monde. Vous êtes des réactionnaires qui n'avez pas vu les événements vous prendre de vitesse. Vous vous réveillez en vous prenant pour un jeune homme alors que vous êtes des vieillards!
Accélérez votre prise de conscience. Le système actuel dominé par l'Occident est d'ores et déjà perdu. On ne sauve pas un mort. On sauve ses enfants. Vous ne sauverez pas le système occidentaliste - ou l'atlantisme. Vous ne pourrez que sauver l'homme - en créant un nouveau système qui tienne compte de l'ampleur de la crise et du sens qu'elle délivre (l'écroulement du transcendantalisme dans son ensemble, et pas d'une de ses sous-parties).
Comprenez le sens que revêt un attentat mondialisé et décisif dans notre temps - comme le 911 : dans le mondialisme comme le rêvent les ultra-libéraux, il est admissible que de temps à autre des sacrifices assez ritualistes (somme toute) soient intentés pour donner des prétextes au bon fonctionnement d'un système de plus en plus à la dérive - et monstrueux. Mais, décidément, l'on ne se débarrasse pas d'un cadavre en le fourrant dans le placard. Pis, le 911 n'est pas un cadavre de plus dans le placard, ce qui est déjà un fait assez étouffant. C'est le cadavre de trop au sens où c'est la goutte d'os qui fait déborder le vase.
Suite aux attentats du 911, de nombreuses voix de par le monde ont refusé de s'associer aux commémorations un brin pesantes au prétexte que les attentats n'avaient à y bien regarder pas tant que ça frappé les États-Unis, surtout en comparaison des crimes impérialistes qu'ils commettent. C'était à la fois très juste et encore plus faux : car les États-Unis en tant que puissance financière (dirigée par Wall Street ou Chicago) n'est que l'émanation d'un système impérialiste monétariste basé à Londres (la City et ses dérivés). Les Etats-Unuis possèdent deux histoires antagonistes, celles des Confédérés contre celle des Pères fondateurs. D'une certaine manière la guerre de Sécession ne s'est jamais vraiment finie.
De ce fait, si les attentats du 911 ne sont qu'une horreur parmi tant d'autres, voire une horreur bien inférieure à de nombreuse autres, notamment contemporaines, ils ont un statut exceptionnel que n'ont pas du tout les autres atrocités, y compris celles commises par les Américains. Les attentats du 911 sont emblématiques de notre époque si bien que si l'on considère que les attentats du 911 ne sont que des atrocités comme les autres, on passe à côté de leur spécificité et de leur sens. Si l'on veut comprendre notre époque, il est urgent de comprendre le 911, même neuf ans après. Qui comprend les attentats du 911 comprend l'époque du troisième millénaire chrétien balbutiant - notre époque.
Quand on réalise (au sens littéral) que les attentats n'ont pas été commandités par un Vieux barbu et ses sbires de la Montagne, quand on se rend compte que la version officielle mensongère implique la corruption oligarchique d'institutions réputées démocratiques et dédiées à la liberté, on mesure ce qu'est le 911 : un révélateur. Révélateur qui peut certes aboutir à la destruction généralisée du système unique et mondialiste (dont l'effondrement des Twin Towers est une métonymie grandiloquente et hollywoodienne); mais révélateur qui peut tout aussi bien déboucher sur ce que signifie la révélation au sens religieux : découvrir. Découvrir que le monde change; découvrir que l'espace s'ouvre; découvrir que le monde est passé à une nouvelle ère du sens.
La preuve que les choses changent? Même le regard que portent les médias institutionnels sur le 911 commence à évoluer. Il aura seulement fallu attendre neuf ans - et la terrible crise systémique que nous traversons. Ne nous y trompons pas : ce n'est pas suite à une brusque impulsion d'honnêteté, surtout par les temps amoralistes qui courent, que les médias officiels commencent à estimer que, tout bien considéré, il se pourrait finalement que la version officielle du 911 (celle consignée par la Commission parlementaire de 2004 et relayée par les institutions et les médias alignés) soit douteuse, en tout cas en proie au doute.
Que de contorsions et de précautions sophistiquées pour commencer à reconnaître que l'on a relayé des mensonges! Prenez le journal français Le Monde, qui représente sinon la voix de la bien-pensance française (tendance gauche bobo s'il vous plaît), du moins la gauche socialiste obédience sociale-libérale-démocrate :
http://www.reopen911.info/News/2010/09/11/le-monde-fr-les-etats-unis-nen-ont-pas-fini-avec-le-11-septembre/
Après de multiples points de vue qui se contentaient paresseusement de ranger les contestataires de la version officielle des fameux attentats sous la rubrique (à braques) des complotistes, manière folle d'insinuer que c'étaient des dérangés plus ou moins débiles, roulements de tambours et flonflons - à présent, nouvelle version, son de cloche discordant : désormais il convient de commencer à écouter les doutes qui s'expriment (à droite et à gauche). Tu m'étonnes! En fait il n'y avait pas besoin de potasser une décennie sur les faits pour se rendre compte qu'ils ne concordaient pas vraiment avec la VO!
Prenez un quotidien satirique français comme Bakchich, qui rappelle en version plus moderne, voire Internet, le Canard enchaîné. Des satiristes nouvelle version devraient s'emparer toutes affaires cessantes de ce scandale monstrueux, qui plus est présenté de manière aussi délirante et mensongère.
http://www.reopen911.info/News/2010/09/09/11-septembre-les-rates-du-fbi%E2%80%A6-par-le-fbi/
Point du tout. Courageux mais pas téméraires, nos satiristes ont oublié les dizaines de voix discordantes qui ont râlé et ramé pendant tout ce temps. Ont-ils cru qu'en refaisant le coup de l'assassinat de JFK, soit profil bas et regard évasif, ils parviendraient à enterrer de nouveau le cadavre dans le placard sans embûches?
Pauvres naïfs! Niais et arrogants! Le coup du black-out style JFK, vous ne le referez pas, non que vous soyez moins imprudents (impudents), mais parce que vous n'en avez plus les moyens. Je vais vous rappeler pourquoi vous commencez enfin à admettre un iota de vérité derrière vos tonnes de mensonges :
1) C'est avec l'horrible mensonge médiatique suivant l'assassinat de JFK que vous avez enterré la démocratie libérale en Occident;
2) L'horrible mensonge de la version officielle des attentats abjects du 911 ne vient pas mettre en péril la démocratie (constat plus que tardif), mais se trouve le prétexte idéal (l'incendie du Reichstag) pour les commanditaires financiers et oligarchiques afin de lancer leur guerre contre le terrorisme et cautionner la crise financière - le parachèvement et l'aveu de la crise systémique qui ravage de manière inexorable et terminale le système occidentale impérialiste et colonialiste.
Comme vous êtes en retard d'une guerre (contre le terrorisme), vous estimez que la crise est certes plus grave que prévue, mais qu'elle n'annonce que la remise en question de l'équilibre géostratégique actuel. Vous n'avez rien compris. La crise ne se finira qu'en changeant de système. Vous vous sentez rassurés d'avoir affaire à des complotistes qui voient partout l'apocalypse? Vous avez un train au moins de retard, en fait. Ce n'est pas le monde qui se finit, c'est un monde - votre monde. Vous êtes des réactionnaires qui n'avez pas vu les événements vous prendre de vitesse. Vous vous réveillez en vous prenant pour un jeune homme alors que vous êtes des vieillards!
Accélérez votre prise de conscience. Le système actuel dominé par l'Occident est d'ores et déjà perdu. On ne sauve pas un mort. On sauve ses enfants. Vous ne sauverez pas le système occidentaliste - ou l'atlantisme. Vous ne pourrez que sauver l'homme - en créant un nouveau système qui tienne compte de l'ampleur de la crise et du sens qu'elle délivre (l'écroulement du transcendantalisme dans son ensemble, et pas d'une de ses sous-parties).
Comprenez le sens que revêt un attentat mondialisé et décisif dans notre temps - comme le 911 : dans le mondialisme comme le rêvent les ultra-libéraux, il est admissible que de temps à autre des sacrifices assez ritualistes (somme toute) soient intentés pour donner des prétextes au bon fonctionnement d'un système de plus en plus à la dérive - et monstrueux. Mais, décidément, l'on ne se débarrasse pas d'un cadavre en le fourrant dans le placard. Pis, le 911 n'est pas un cadavre de plus dans le placard, ce qui est déjà un fait assez étouffant. C'est le cadavre de trop au sens où c'est la goutte d'os qui fait déborder le vase.
Suite aux attentats du 911, de nombreuses voix de par le monde ont refusé de s'associer aux commémorations un brin pesantes au prétexte que les attentats n'avaient à y bien regarder pas tant que ça frappé les États-Unis, surtout en comparaison des crimes impérialistes qu'ils commettent. C'était à la fois très juste et encore plus faux : car les États-Unis en tant que puissance financière (dirigée par Wall Street ou Chicago) n'est que l'émanation d'un système impérialiste monétariste basé à Londres (la City et ses dérivés). Les Etats-Unuis possèdent deux histoires antagonistes, celles des Confédérés contre celle des Pères fondateurs. D'une certaine manière la guerre de Sécession ne s'est jamais vraiment finie.
De ce fait, si les attentats du 911 ne sont qu'une horreur parmi tant d'autres, voire une horreur bien inférieure à de nombreuse autres, notamment contemporaines, ils ont un statut exceptionnel que n'ont pas du tout les autres atrocités, y compris celles commises par les Américains. Les attentats du 911 sont emblématiques de notre époque si bien que si l'on considère que les attentats du 911 ne sont que des atrocités comme les autres, on passe à côté de leur spécificité et de leur sens. Si l'on veut comprendre notre époque, il est urgent de comprendre le 911, même neuf ans après. Qui comprend les attentats du 911 comprend l'époque du troisième millénaire chrétien balbutiant - notre époque.
Quand on réalise (au sens littéral) que les attentats n'ont pas été commandités par un Vieux barbu et ses sbires de la Montagne, quand on se rend compte que la version officielle mensongère implique la corruption oligarchique d'institutions réputées démocratiques et dédiées à la liberté, on mesure ce qu'est le 911 : un révélateur. Révélateur qui peut certes aboutir à la destruction généralisée du système unique et mondialiste (dont l'effondrement des Twin Towers est une métonymie grandiloquente et hollywoodienne); mais révélateur qui peut tout aussi bien déboucher sur ce que signifie la révélation au sens religieux : découvrir. Découvrir que le monde change; découvrir que l'espace s'ouvre; découvrir que le monde est passé à une nouvelle ère du sens.
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