La compréhension de la mutation de l'État en tant qu'implosion conduit à comprendre que les institutions ont le rôle de fédérateurs et de guides et que leur affaiblissement conduit à leur manipulation par des groupes et des officines qui nient la souveraineté fondamentale des institutions, en particulier de l'État. L'État et les institutions sont les lieux du pouvoir et de l'autorité, les lieux de décision et de direction (direction signifie aussi sens) dans la mesure où elles sont les fondements et les garants. Désigner l'État comme le fondement, c'est reconnaître de manière capitale qu'aucun pouvoir ne peut manipuler le fondement. Le fondement est le lieu ultime du pouvoir, derrière lequel ne s'agite aucune pression ni aucun groupe de manipulation. L'État dans sa forme classique a pour but profond d'empêcher que les centres de décision ultimes soient parasités par des groupes de pression ou de manipulation.
Dans la mutation en déclin du système, l'implosion de l'État conduit logiquement à l'asservissement des masses par des élites qui ne correspondent nullement à l'État ou aux institutions officielles, mais qui infiltrent l'État et les institutions par des groupes de pression et des officines qui ne sont nullement l'État. Résultat : le rôle de l'État se fait trouble et inaudible. L'État sert-il désormais à guider l'autorité du système vers la pérennité du système ou à la domination des masses, ce qui révèle la perte de sens qui enserre l'ensemble du système?
Quand on examine la tête du système, on se rend compte que les institutions ne sont plus le fondement ultime, mais que le fondement ultime est représenté par des groupes investis de ceux qui se présentent et se considèrent comme les élites officielles. Quant à la mission que s'assignent ces élites dévoyées, elles consistent ni plus ni moins à dominer unilatéralement et aveuglément le système, tout en travaillant pour la dissémination et la métastasation du pouvoir et de l'autorité.
Reporté au 911, le sacrifice du 911 n'aurait pas été possible dans un cadre institutionnel fort, parce que précisément l'État interdit les complots et la possibilité de manipulations. Les complots et les manipulations surviennent précisément quand l'État et les institutions se délitent. Raison pour laquelle il est fallacieux d'estimer que l'État américain en tant que tête du système et gardien des institutions aurait pu perpétrer le 911. Un État en tant qu'État ne peut réaliser de pareilles monstruosités, parce qu'elles sont contraires à sa structure et à sa conception du pouvoir (non parce que l'État serait l'expression de l'entité absolument bonne et désintéressée dès qu'il s'agit de contenter n'importe lequel des intérêts du genre humain).
Le 911 en tant que complot révèle le délitement profond et grave des institutions. On peut supposer que le 911 a été perpétré par des groupes dont les intérêts convergents ont permis d'investir les structures du pouvoir institutionnel et d'utiliser ce pouvoir afin de réaliser les attentats sacrificiels. Ces groupes ne sont certainement pas institutionnels. Ils ne sont certainement pas circonscrits aux bornes de la Nation américaine. Ce sont des groupes et des officines qui expriment la dissémination du système et son implosion en mondialisation. Ce sont des groupes qui parasitent l'État américain et les autres États et qui annoncent ce que sera la mondialisation : la négation du pouvoir institutionnel et cohérent au profit d'élites dominatrices et destructrices, dont les intérêts sont immédiats et assez cyniques.
Ce qui arrive autour du 911 est emblématique. Qui aurait subodoré que de pareils attentats surviendraient alors que la démocratie et le Progrès étaient censés envahir le monde? Qui aurait suggéré sans être pris pour un fou complotiste et paranoïaque que la version officielle parue en 2004 serait un ramassis d'incohérences, d'absurdités et de mensonges protégeant comme ils le peuvent la vérité d'un complot non pas orchestré par ben Laden et quelques illuminés perdus dans des grottes montagnardes et désertiques d'Afghanistan, mais par des forces de l'ombre symbolisant à merveille la destruction du pouvoir et son asservissement à des intérêts eux-mêmes destructeurs?
Ces officines agissant pour leurs intérêts, à très courte vue, sont des groupes mondialisés et internationaux, dont le caractère hétéroclite surprendrait et qui ne sont pas exclusivement américains. Ils sont certainement d'obédience atlantiste, mais il est probable que des émanations israéliennes, saoudiennes, et d'autres endroits (hollandaises? allemandes? qui d'autres encore?), soient de la (sinistre) partie. Comme de juste, les sempiternelles et rémanentes accusations d'antisémitisme ne sont qu'un paravent pseudo-argumentatif pour empêcher la critique et l'avènement de la vérité (le surgissement de la réalité), puisque le fait d'incriminer des officines juives ne signifie nullement que les Juifs soient en tant que Juifs responsables du 911 (première absurdité) ou que l'essence du Juif est de comploter pour dominer le monde (deuxième absurdité). La triste et terrible vérité, c'est que les premiers otages de ces groupes mondialisés, ce sont les Juifs en tant que peuple israélien innocent et en tant qu'individus appartenant aux masses ignorantes et manipulées (souvent avec leur accord tacite, jusqu'à ce qu'elles comprennent trop tard que la manipulation n'est pas un jeu provisoire et dérisoire, à ignorer et mépriser, mais une terrible domination menant à la destruction).
Dans la mutation en déclin du système, l'implosion de l'État conduit logiquement à l'asservissement des masses par des élites qui ne correspondent nullement à l'État ou aux institutions officielles, mais qui infiltrent l'État et les institutions par des groupes de pression et des officines qui ne sont nullement l'État. Résultat : le rôle de l'État se fait trouble et inaudible. L'État sert-il désormais à guider l'autorité du système vers la pérennité du système ou à la domination des masses, ce qui révèle la perte de sens qui enserre l'ensemble du système?
Quand on examine la tête du système, on se rend compte que les institutions ne sont plus le fondement ultime, mais que le fondement ultime est représenté par des groupes investis de ceux qui se présentent et se considèrent comme les élites officielles. Quant à la mission que s'assignent ces élites dévoyées, elles consistent ni plus ni moins à dominer unilatéralement et aveuglément le système, tout en travaillant pour la dissémination et la métastasation du pouvoir et de l'autorité.
Reporté au 911, le sacrifice du 911 n'aurait pas été possible dans un cadre institutionnel fort, parce que précisément l'État interdit les complots et la possibilité de manipulations. Les complots et les manipulations surviennent précisément quand l'État et les institutions se délitent. Raison pour laquelle il est fallacieux d'estimer que l'État américain en tant que tête du système et gardien des institutions aurait pu perpétrer le 911. Un État en tant qu'État ne peut réaliser de pareilles monstruosités, parce qu'elles sont contraires à sa structure et à sa conception du pouvoir (non parce que l'État serait l'expression de l'entité absolument bonne et désintéressée dès qu'il s'agit de contenter n'importe lequel des intérêts du genre humain).
Le 911 en tant que complot révèle le délitement profond et grave des institutions. On peut supposer que le 911 a été perpétré par des groupes dont les intérêts convergents ont permis d'investir les structures du pouvoir institutionnel et d'utiliser ce pouvoir afin de réaliser les attentats sacrificiels. Ces groupes ne sont certainement pas institutionnels. Ils ne sont certainement pas circonscrits aux bornes de la Nation américaine. Ce sont des groupes et des officines qui expriment la dissémination du système et son implosion en mondialisation. Ce sont des groupes qui parasitent l'État américain et les autres États et qui annoncent ce que sera la mondialisation : la négation du pouvoir institutionnel et cohérent au profit d'élites dominatrices et destructrices, dont les intérêts sont immédiats et assez cyniques.
Ce qui arrive autour du 911 est emblématique. Qui aurait subodoré que de pareils attentats surviendraient alors que la démocratie et le Progrès étaient censés envahir le monde? Qui aurait suggéré sans être pris pour un fou complotiste et paranoïaque que la version officielle parue en 2004 serait un ramassis d'incohérences, d'absurdités et de mensonges protégeant comme ils le peuvent la vérité d'un complot non pas orchestré par ben Laden et quelques illuminés perdus dans des grottes montagnardes et désertiques d'Afghanistan, mais par des forces de l'ombre symbolisant à merveille la destruction du pouvoir et son asservissement à des intérêts eux-mêmes destructeurs?
Ces officines agissant pour leurs intérêts, à très courte vue, sont des groupes mondialisés et internationaux, dont le caractère hétéroclite surprendrait et qui ne sont pas exclusivement américains. Ils sont certainement d'obédience atlantiste, mais il est probable que des émanations israéliennes, saoudiennes, et d'autres endroits (hollandaises? allemandes? qui d'autres encore?), soient de la (sinistre) partie. Comme de juste, les sempiternelles et rémanentes accusations d'antisémitisme ne sont qu'un paravent pseudo-argumentatif pour empêcher la critique et l'avènement de la vérité (le surgissement de la réalité), puisque le fait d'incriminer des officines juives ne signifie nullement que les Juifs soient en tant que Juifs responsables du 911 (première absurdité) ou que l'essence du Juif est de comploter pour dominer le monde (deuxième absurdité). La triste et terrible vérité, c'est que les premiers otages de ces groupes mondialisés, ce sont les Juifs en tant que peuple israélien innocent et en tant qu'individus appartenant aux masses ignorantes et manipulées (souvent avec leur accord tacite, jusqu'à ce qu'elles comprennent trop tard que la manipulation n'est pas un jeu provisoire et dérisoire, à ignorer et mépriser, mais une terrible domination menant à la destruction).
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