mardi 12 février 2008

Perspective sacrificielle

Pour ceux qui douteraient encore du caractère sacrificiel du 911, que l'on se remémore que dans l'acte du sacrifice, on sacrifie ce qu'on a de plus prestigieux (explication de l'origine du bouc émissaire, puisque le bouc est l'animal le plus précieux pour un berger, surtout pauvre). Il faut par conséquent garder présent à l'esprit que ceux qui ont fomenté le 911 ont sacrifié ce qu'ils avaient de plus précieux dans l'effondrement des trois tours du complexe du WTC et l'attaque du Pentagone. Le Pentagone est le symbole de la puissance militaire; les Twin Towers de la puissance financière et bancaire, en sus de la puissance des services secrets. Le raisonnement qui anime les cerveaux du 911 est simple : ils sacrifient à leur Dieu ce qu'ils ont de plus précieux parce que ce qu'ils on de plus précieux est gravement menacé de disparition. Ils conjurent leur Dieu de restaurer la puissance de ce qu'ils ont de plus précieux. Le sacrifice consiste à sauver la communauté en sacrifiant un élément chargé de la culpabilité et de la faute. Les cerveaux du 911 ont sacrifié trois tours et une aile du Pentagone, plus des milliers de vies, en espérant que ces symboles innocents chargés de la faute sauveraient le système et les assises essentielles du système : en particulier la finance et les activités bancaires. Il est évident que l'identité des sacrificateurs correspond aux objets qu'ils ont sacrifiés. De la même manière qu'un berger nomade sacrifié boucs, brebis et moutons, il faut être banquier, militaire ou espion pour sacrifier des symboles de la puissance financière, militaire ou espionne.

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