Je réunis en une seule note ces quatre articles que j'ai collectés sur le 911, notamment sur les curieux soupçons qui incriminent les services secrets israéliens ou des éléments du sionisme fondamentaliste autour des attentats. Cette question mérite d'être examinée sans hystérie et sans amalgame. Mon intention à ce sujet n'est certainement pas de sombrer dans le phénomène du bouc émissaire, mais de chercher à assembler le puzzle du 911 en intégrant toutes les pièces éparses et collectées - pas seulement quelques-unes ou la moitié.
Les informations qui suivent sont citées de bonne foi et recoupées (pour la plupart) avec les témoignages d'Éric Laurent et Webster Tarpley. Je n'ai fait que changer quelques détails de présentation, de mise en page et d'orthographe.
J'ajoute à ce commentaire, qui porte sur les quatre articles que je cite, que la mise en cause d'éléments du sionisme fondamentaliste ne signifie nullement que l'on en vienne à l'accusation antisémite et amalgamante selon laquelle ce serait les Juifs qui auraient perpétré le 911. Cette proposition est absurde et fausse. Par contre, la proposition selon laquelle certains groupuscules sionistes fondamentalistes ont trempé dans le coup (à quelque niveau que ce soit) désamalgame, évite l'antisémite objectif et mérite d'être examinée au vu des faits et des nombreux témoignages troublants et intrigants.
Je précise que je désapprouve par ailleurs les opinions de David Duke, telles que j'ai pu les voir mentionnées sur certains sites Internet, en particulier son négationnisme et son antisémitisme. Je le cite pour les informations qu'il transmet, non pour ses opinions, qui, si elles sont avérées, sont extrémistes et moralement indéfendables.
Pour finir, la seule information disponible (majeure) dans ces articles que je n'ai pas recoupée concerne la mort éventuelle d'un seul Juif dans les Tours Jumelles. C'est celle qui importe le moins. Pour ce qui est de l'affaire Odigo ou des multiples arrestations d'agents du renseignement israélien autour du 911, ce sont des informations qui sont fournies par de nombreuses sources concordantes et plus que sérieuses.
1) Six ans après le 11 septembre 2001.
http://www.algerie-monde.com/actualite/article2229.html"Six ans après le drame du 11 septembre 2001 à New York et Washington, où quelque 3.000 personnes ont trouvé la mort, l’on est toujours au stade de l’accusation initiale lancée à chaud par les médias américains, selon laquelle 19 Arabes munis de cutters et affiliés à El-Qaïda en sont les auteurs.
Aucune investigation sérieuse n’est venue depuis lors confirmer ou infirmer cette version devenue consensuelle avec le temps. Cependant, durant ces dernières années aux Etats-Unis, loin des plateaux de télévision et des rédactions d’agences de presse et de journaux, une guerre silencieuse autour de la vérité des événements a pris forme et s’est installée.
C’est sur le Net qui permet désormais une plus grande liberté d’expression par rapport aux médias classiques que des protagonistes ont choisi d’étaler leurs preuves et arguments. Trois groupes d’acteurs, en effet, se livrent à une confrontation à distance. Le premier groupe est conduit par Christopher Bollyn (www.Bollyn.com), un journaliste indépendant dont les investigations et les écrits ont apporté un éclairage nouveau sur des faits importants passés sous silence par les médias dominants, Eric Hufschmid, auteur d’un livre d’images haute résolution sur l’effondrement des deux tours jumelles du World Trade Center (www.Iamthewitness.com) et Daryl Bradford Smith, un animateur d’une radio internet installé en France.
Le second groupe est constitué de Webster Tarpley, Alex Jones, Wayne Madsen, David Ray Griffin et autres animateurs du Mouvement pour la Vérité (911 truth-org, scolars for 911 truth, 911 blogger, etc.). Tarpley et Jones, par exemple, ont sillonné l’Amérique du Nord et l’Europe pour promouvoir une version des faits, selon laquelle Dick Cheney, le vice-président américain, serait l’instigateur du 11 septembre 2001. Le dernier groupe, si on peut l’appeler ainsi, est constitué par la puissante et redoutable association ADL (ligue anti-diffamation) qui veille au grain et qui riposte par des lynchages médiatiques chaque fois qu’une voix se lève, où une piste de recherche évoque l’implication d’Israël ou de son bras secret, le Mossad, dans les événements.
Cette guerre virtuelle fut acharnée par moments et avait même débordé sur le réel d’un des protagonistes, Christopher Bollyn en l’occurrence, qui a eu des démêlés avec la justice qui l’ont poussé à la clandestinité et à l’exil. Christopher Bollyn est un journaliste indépendant qui travaillait à American Free Press, un hebdomadaire paraissant à Washington, avant d’être licencié pour des raisons extra-professionnelles. Ses investigations et articles ont abouti à plusieurs découvertes très intéressantes à la compréhension de ce qui s’est passé avant et après le drame. Cependant, parce que ses révélations ne soutiennent pas la version officielle des faits, il a fait l’objet d’une série de campagnes qui ont visé à le discréditer.
Il s’est vu appelé, entre autres, «théoricien anti-gouvernement de la conspiration» et accusé d’antisémitisme. Le 15 août 2006, trois policiers en civil, selon ses dires, se sont présentés à son domicile situé dans la banlieue de Chicago, dans l’Illinois, et ont procédé à son arrestation de manière brutale. Ils l’auraient électrocuté avec un Taser (pistolet électrique de 50.000 volts), alors qu’il était immobilisé au sol. Son coude droit a été fracturé devant son épouse et sa fille de 8 ans. Plus tard, il fut accusé de résistance à arrestation. Durant son procès, la police a refusé de présenter la vidéo de son arrestation enregistrée systématiquement par une caméra placée à l’intérieur du véhicule sous prétexte que la vidéo en question a été recyclée.
La police venait, par ce fait, de commettre une infraction à son propre règlement. Il fut reconnu, le 5 juin dernier, coupable des faits qui lui sont reprochés. Le 25 juin, jour du prononcé de la sentence, Christopher Bollyn ne s’est pas présenté au tribunal et s’est éclipsé depuis. Qu’a-t-il écrit pour mériter de tels ennuis ? Pour le savoir, faisons une halte dans son site Web. Plusieurs de ses articles ont été traduits en français et sont disponibles sur d’autres sites.
LES CINQ DANSEURS
Le 11 septembre 2001, vers midi, une information fut rapportée et reprise par l’ensemble des médias américains, selon laquelle cinq personnes, moyen-orientales d’apparence, ont été vues à New Jersey en train de filmer et célébrer l’effondrement du Wold Trade Center (WTC). Pour des millions d’Américains qui associent automatiquement Moyen-Orient avec Arabes, cette information a planté dans leur tête l’idée que des Arabes du Moyen-Orient sont derrière l’attaque terroriste de New York et Washington.
Ce cheminement de pensée devint rapidement la seule version acceptable pour les médias, et même si, par la suite, elle n’a pas été prouvée, elle resta la version officielle du 11 Septembre. Plus tard, lorsque ces cinq personnes furent arrêtées non loin de Hudson River et qu’elles se sont avérées être des Israéliens, les médias n’ont pas daigné apporter des correctifs ou des mises à jour. Les cinq hommes qui se sont photographiés souriant et dansant, avec en arrière-plan les tours jumelles en flammes, sont de nationalité israélienne et nommés: Siran et Paul Kurzberg, Oded Ellner, Omer Marmari et Yaron Schumel.
Ils se faisaient passer pour des employés de déménagement d’une compagnie dénommée Urban Moving Systems. Lorsque la police a arrêté leur camionnette, elle y a trouvé des habits arabes, des cutters, des liasses d’argent, une multitude de passeports et leurs visas de séjour expirés. L’information de leur arrestation a été rapportée le lendemain par un journal local de New Jersey, The Bergen Record, mais n’a pas été reprise par les médias lourds. Ils furent incarcérés à la prison de Brooklyn. Après dix semaines de détention durant lesquelles ils n’ont pas été interrogés, ils ont été expulsés vers Israël pour infraction de séjour illégal.
Le 21 novembre 2001, hormis les deux frères Kurzberg qui seraient des agents du Mossad, les trois autres sont montrés dans une émission de télévision israélienne et l’un d’eux a affirmé qu’il était allé pour filmer l’événement, en d’autres termes, il en avait eu connaissance avant sa survenue. Des rapports de presse ont relevé que durant les mois qui ont suivi le 11 Septembre, quelque 200 jeunes Israéliens, parmi eux des anciens militaires, ont été arrêtés puis renvoyés en Israël sans aucune investigation. Dominic Suter, le propriétaire de la compagnie de déménagement Urban Moving Systems, et premier suspect, a été autorisé à quitter les Etats-Unis à destination d’Israël avant que le FBI ne l’interroge une deuxième fois.
EXPLOSIONS ET METAL FONDU
Les médias ont superbement ignoré, par ailleurs, les nombreux témoignages évoquant des explosions au WTC. En dépit de la multitude de témoins et experts, notamment les reporters de presse se trouvant sur les lieux du drame et qui ont entendu ou vu des explosions immédiatement avant la chute des deux tours, il y a eu un silence total des médias. «Après que les avions eurent percuté le WTC, il y avait des explosions à l’intérieur des bâtiments qui ont causé leur chute», a dit Van Romero, un expert en explosifs et ancien directeur du centre de recherche et d’essai d’énergie de matériaux du New Mexico à Albuquerque Journal, quelques minutes après l’effondrement des deux tours.
La chute des structures était «très méthodique pour être un résultat de la collision des avions avec la structure», a-t-il ajouté. Dix jours après l’attaque et sans la moindre explication, l’expert Romero fait une volte-face dans son analyse: «Certainement le feu est la cause de la chute des bâtiments», a-t-il dit au même journal, le 21 septembre suivant. Un témoin qui était avec un groupe de personnes à Church Street, à quelques centaines de mètres de la tour Sud, affirme avoir vu «un nombre de sources de brèves lumières émises de l’intérieur de la bâtisse entre les étages 10 et 15". Il affirme avoir vu «quelque six de ces brefs flashs accompagnés de bruit de craquement, immédiatement avant la chute du building».
Louie Cacchioli, un sapeur-pompier de 51 ans, a dit au magazine People qu’il a été témoin d’explosions dans la tour Sud. «J’emmenais des pompiers dans l’ascenseur au 24e étage pour évacuer des employés; au cours de notre dernière montée, une bombe explosa. Nous pensons qu’il y avait des bombes installées dans le bâtiment». Les témoignages décrivant des explosions ont tous été ignorés par les médias même quand ils provenaient de leurs propres envoyés sur les lieux. Stephen Evans de la BBC, la chaîne de télévision britannique, par exemple, était à la tour Sud quand il a décrit «une série d’explosions» et senti «une forte explosion provenant du dessous».
La BBC comme les médias américains n’ont pas jugé utile d’enquêter davantage. Trois, quatre et cinq semaines après le drame, lorsque les gravats étaient déménagés, des contractants ont découvert la présence de métal fondu sous les décombres du WTC, au fond des sept étages inférieurs du sous-sol, à quelque 70 pieds sous la surface où prennent naissance les fondations des tours jumelles. La présence de métal fondu dénote l’élévation de températures externes de l’ordre de 1535 °C que ne peuvent atteindre les feux générés par le kérosène, papier et autre mobilier de bureau, d’autant plus qu’à des profondeurs pareilles, le manque d’oxygène ne favorise nullement la combustion.
Les articles écrits par Bollyn sur le sujet ont suscité l’intérêt scientifique d’un professeur d’université. Après étude des échantillons de métal fondu, Steven E. Jones, professeur de physique à l’université de Birgham Young, Utah, conclut que des charges de coupe de type thermite ont été utilisées pour faciliter la destruction des tours jumelles et du WTC 7. Le thermite est un explosif coupe acier créé à partir de la poudre d’aluminium, oxyde de fer et soufre et agit comme un couteau dans le beurre. Le WTC 7 est un bâtiment de 47 étages qui s’est effondré tard dans l’après-midi vers 17 heures bien après les deux tours jumelles qui, elles, se sont effondrées vers les coups de 9 heures du matin.
L’effondrement du bâtiment WTC 7 a été également passé sous silence par les médias. Par ailleurs, la fumée blanchâtre qui a été vue sortir du 81e étage de la tour Sud en flammes avant et pendant l’effondrement est une conséquence de la réaction du thermite. Les déductions de Steven E. Jones ont été confortées par une autre découverte faite par Thomas Cahill, professeur à l’université de Californie, à Davis, et expert en particules en suspension dans l’air, qui a mené une étude sur site de près de quatre mois sur la mince fumée bleuâtre qui se dégageait des gravats.
Du 02 octobre 2001 à la fin décembre de la même année, date à laquelle les derniers foyers de feu ont été éteints, les prélèvements effectués par Cahill ont révélé la présence d’aérosols infiniment petites provenant des piles de décombres. La plupart de ces particules étaient comprises entre 0,26 et 0,09 microns. Le degré extrêmement élevé de ces aérosols ultra-fines requiert des températures extrêmement élevées en mesure de faire bouillir le métal. La thèse que des explosifs ont été utilisés est renforcée davantage pour des relevés sismiques effectués par l’université de Columbia de New York.
Situés à Palisade, à une vingtaine de kilomètres au nord du WTC, les sismométries de l’observatoire de la terre Lamont-Doherty ont enregistré le jour de l’attentat une formidable débauche d’énergie et des «pointes» sismiques qui ont coïncidé avec le début d’effondrement de chacune des tours. Cette activité sismique apporte une preuve supplémentaire que des explosions souterraines massives se sont produites et rend par conséquent caduque la version officielle des faits.
ODIGO ET HUNTLEIGH
USA Odigo est une entreprise israélienne de messagerie de texte dont le quartier général est situé à New York, à quelques encablures du WTC. Selon des rapports de presse brefs et vite oubliés, les employés de cette entreprise ont reçu des messages les avertissant de l’imminence d’une attaque sur le WTC, quelques heures avant que le premier avion ne percute la tour Nord. Deux semaines après le 11 Septembre, Alex Diamantis, le vice-président d’Odigo, a dit «les messages ont annoncé que quelque chose d’important va se produire dans quelques instants, et ça s’est produit, presque dans les minutes qui ont suivi».
«Il est possible que l’avertissement sur l’attaque ait été émis à d’autres membres Odigo, mais la compagnie n’a pas reçu de rapports sur d’éventuels autres receveurs du message», a-t-il ajouté. 4.000 Israéliens étaient supposés rejoindre leur lieu de travail au WTC le 11 septembre. Un seul a été porté disparu dans le complexe. Odigo, qui offre une messagerie en temps réel, offre un service appelé «People Finder» qui permet à un utilisateur d’envoyer un message instantané à un groupe plus large sur la base d’un critère commun tel que la nationalité.
«People Finder» permet aux usagers de rechercher des amis en ligne avec des filtres tout en préservant leurs données privées. L’adresse internet de l’envoyeur de l’avertissement a été donnée au FBI. Deux mois plus tard, des rapports de presse ont fait état que la police fédérale continuait à enquêter sur la question puis le sujet a été complètement oublié. Par ailleurs, les avions qui ont percuté les deux tours jumelles du WTC ont décollé quelques dizaines de minutes auparavant de l’aéroport Logan de Boston tandis que l’avion qui se serait écrasé en Pennsylvanie partait de l’aéroport de Newark.
Huntleigh USA, la firme de sécurité chargée du filtrage des passagers dans ces deux aéroports, est une filiale, acquise en 1999 par ICTS (International Consultant on Targeted Security), une compagnie israélienne de sécurité de l’aviation et des transports basée en Hollande. L’un des fondateurs et dirigeant de cette compagnie le jour du 11 septembre 2001 est Menahem Atzmon, co-trésorier du parti Likoud avec Ehud Olmert, actuel Premier ministre israélien, et mêlés tous deux, vers la fin des années 1980, à un scandale sur le financement de leur parti. Des familles de victimes du 11 Septembre ont intenté des actions en justice contre Huntleigh USA lui reprochant une négligence excessive.
Huntleigh USA avec deux autres compagnies étrangères de sécurité ont reçu la protection du Congrès américain en 2002, et la compagnie n’a été appelée devant aucun tribunal US pour rendre compte de ses responsabilités dans le drame. Quelque 6.600 procès ont été intentés contre les compagnies aériennes et les compagnies de sécurité aux aéroports mais aucun d’eux n’a abouti. Une évolution pour le moins surprenante dans une société américaine extrêmement litigieuse.
DOMMAGES COLLATERAUX
Steven E. Jones, le professeur de physique à la prestigieuse université Birgham Young de Utah, qui a confirmé l’usage du thermite pour faciliter la destruction du WTC, a été invité par une radio locale à l’une de ses émissions. Moult questions lui ont été posées sur le sujet durant cette rencontre et il a répondu avec la spontanéité et la sincérité propres aux hommes de science. Après cette émission radiophonique qui a tout l’air d’être un piégé tendu, c’est une tempête médiatique qui s’abat sur lui contraignant son employeur à le licencier.
Le 11 septembre 2001 demeure un crime non encore résolu. L’ampleur de l’oeuvre destructrice et la précision avec laquelle ont été menées les opérations nécessitent des années de préparation qui requièrent à leur tour un cadre fixe d’un service secret d’Etat, selon des ex-parlementaires européens cités par Bollyn. L’absence de fuites, six ans après l’événement, plaide pour cette grille de lecture. Les quelques tentatives d’investigation crédibles et désintéressées sont aussitôt réprimées.
Un journaliste poussé à la clandestinité et à l’exil et un professeur d’université licencié par son employeur, tel est, en ce sixième anniversaire du 11 septembre 2001, le bilan des victimes d’une guerre silencieuse qui ne fait que commencer entre ceux qui cherchent à faire éclater la vérité et d’autres qui cherchent à l’étouffer.
Synthèse de l'article - Equipe Algerie-Monde.com
D'après le Quotidien Oran, A. A. D. le 11 septembre 2007."
2) Le Mossad a t-il joué un rôle dans l'attaque du World Trade Center?http://www.nonalaguerre.com/articles/article43.htm"David DUKE, ancien élu du parlement de l'état de la Louisiane entend le démontrer. Le personnage est sulfureux à cause de ses idées politiquement incorrectes, et il serait dénoncé en France comme "paranoïaque de la conspiration". En attendant ses arguments tiennent la route, et c'est tout ce qui nous intéresse. Une thèse troublante. Le 10 septembre 2001, soit la veille de l'attentat, le Washington Times a fait paraître un article sur un rapport de 68 pages réalisée pour l'U.S. Army par l'École pour les Recherches Militaires Avancées (SAMS).Cette étude, rédigée par l'élite de l'école des officiers de l'armée américaine analyse les possibilités d'une éventuelle prise de position au Moyen-Orient par l'armée américaine. Voici ce que cette étude affirme sur le Mossad, la centrale des services secrets d'Israël : " Au sujet du Mossad ? le service de renseignements israélien ? les officiers du SAMS disent: " Imprévisible. Impitoyable et rusé. Il a la capacité de viser des cibles de l'armée américaine et de faire croire que c'est un attentat Palestinien ou Arabe. " Par ironie du sort dans les 24 heures qui ont suivi la parution de cet article, le World Trade Center et le Pentagone furent attaqués. Serait-il possible que " l'impitoyable et rusé Mossad ", comme le décrivent les officiers de l'armée américaine, ait été à l'arrière-plan de l'attaque ? Le Mossad est la plus cruelle organisation terroriste du monde. C'est également la plus puissante et la plus sophistiquée des centrales de renseignement Aucun autre pays ne peut rivaliser avec son pouvoir dans la région du Moyen-Orient. Le Mossad se vante de pouvoir infiltrer n'importe quel groupe militant Palestinien comme n'importe quelle organisation Arabe à travers le monde. Sachant cela, on ne peut douter que le Mossad n'ait profondément infiltré une des plus anciennes, des plus importantes, et celle que l'on considère comme la plus dangereuse de toutes les organisations terroristes Arabes : l'Al-Qaïda de Bin Laden. Par ailleurs, le FBI et la CIA ont clairement démontré que l'attaque contre le World Trade Center et le Pentagone fut une immense opération secrète qui a nécessité un réseau de communication international et au moins une centaine de terroristes répartis à travers trois continents. Est-il possible que les agents du Mossad infiltrés dans l'Al-Qaïda ainsi que le vaste réseau de milliers d'agents et d'informateurs du Mossad n'aient rien su sur la plus ambitieuse opération terroriste de toute l'histoire ? Il est bien entendu extrêmement difficile de prouver avec précision l'implication d'un service de renseignements secret comme le Mossad dans une action terroriste; ils ne se vantent pas de leurs exploits sur Internet. Mais, une forte évidence montre que les Israéliens avaient connaissance de l'attaque du 11 septembre sur l'Amérique. Et s'ils avaient vraiment connaissance de ces actes criminels et qu'ils eurent assez de dureté de cœur pour ne pas prévenir les États-Unis, parce qu'ils voyaient qu'un massacre de milliers d'Américains était profitable pour la politique d'Israël ? Il en résulte qu'ils n'auraient eu aucune restriction pour préparer et collaborer à ce plan terroriste par l'intermédiaire de leurs propres agents. Nous devons donc admettre avec une grande évidence que le Mossad avait connaissance de l'attaque du 11 septembre.
L'évidence de la perfidie du Mossad dans l'attaque du WTC ?
Le jour de l'attaque du World Trade Center, le Jerusalem Post qui est le plus réputé et le plus célèbre des journaux israéliens dans le monde, rapporta que 4000 Israéliens étaient portés disparus après l'attentat. Le ministre des Affaires Étrangères compta le nombre de proches de ces Israéliens ayant contacté le ministère Israélien des Affaires Étrangères dans les heures qui suivirent l'attaque. Ces gens inquiets fournirent les noms de parents ou d'amis travaillant au World Trade Center ou qui étaient en contact avec les tours ou leurs structures adjacentes. Même sans avoir lu l'article du Jerusalem Post, la simple logique nous fait dire qu'il devait y avoir plusieurs centaines si ce n'est plusieurs milliers d'Israéliens dans le World Trade Center au moment des attaques. L'implication internationale des Juifs dans la banque et la finance est légendaire. Par exemple, deux des plus riches sociétés de New-York sont la Goldman-Sachs et la Salomon Brothers, et ces deux firmes avaient des bureaux dans les Tours Jumelles. De nombreux cadres de ces sociétés font régulièrement l'aller-retour en Israël. New-York est le centre de la finance juive dans le monde entier, et le World Trade Center en était l'épicentre. On aurait donc pu s'attendre à ce que le bilan funèbre soit catastrophique pour Israël. Le Jérusalem Post le croyait certainement lorsque le 12 septembre, il annonça le chiffre alarmant de disparus. Voici le début de cet article :
"DES MILLIERS D'ISRAÉLIENS DISPARUS PRÈS DU WORLD TRADE CENTER ET DU PENTAGONE : "Le ministère des affaires étrangères à Jérusalem a déjà recueilli les noms de 4000 israéliens supposés se trouver dans la zone du World Trade Center et du Pentagone au moment de l'attaque. "
Lorsque George Bush prononça son discours devant le Congrès, il semble qu'il ait commis une erreur plus importante qu'en déclarant que les attaquants du WTC avaient agi par " haine de la liberté ". Bush ne manqua pas de préciser qu'en plus des milliers d'Américains, il y avait 130 Israéliens morts dans le WTC. Il s'agissait de montrer qu'Israël partageait notre peine, et que les États-Unis et Israël étaient endeuillés ensemble. Dès que j'entendis le chiffre de 130 Israéliens morts, il me sembla suspect car il était très faible par rapport aux 4000 Israéliens disparus. Si 4000 Israéliens s'étaient trouvés au World Trade Center et que le bilan total de la catastrophe était de 4 500 (à peu près 10% des 45 000 personnes qui étaient normalement dans les immeubles), le bilan israélien aurait du être proportionnellement aux alentours de 400 morts et non de 130. En tant que place d'affaires et d'emploi, le World Trade Center n'était pas dans le bas de gamme ni une sorte de Mc Donald ; il y avait de gros salaires, de la haute technologie et des emplois de haut niveau, principalement dans l'encadrement de la finance internationale, la banque et les valeurs boursières. Je me suis demandé comment il se faisait qu'il n'y ait eu seulement que 130 Israéliens morts, alors qu'on estimait qu'il y avait 199 morts de Colombie et 428 des Philippines ? Dans les précédents articles que j'ai écrit sur la terreur du 11 septembre, je n'ai pas fait allusion à ces suspicions, car j'ai toujours tiré fierté de ne rien écrire dont je ne sois absolument convaincu. Mais, alors que je cherchais cet article sur le terrorisme israélien contre la Palestine et l'Amérique, j'ai découvert le fait le plus scandaleux que j'ai percuté durant toutes mes années de recherches. J'ai découvert un simple fait qui a d'énormes ramifications en relation avec l'attaque du 11 septembre. En recherchant à travers des centaines d'articles pour découvrir le véritable bilan des morts Israéliens, j'ai trouvé un extrait du New-York Times qui clarifie le chiffre des Israéliens morts dans l'attaque du World Trade Center. Ce chiffre évince les 130 Israéliens que le président Bush prétendait: morts dans le WTC, car 129 d'entre eux. sont encore vivants. Seulement UN seul israélien avait péri. C'était incroyable. Je me suis dit : "Bon Dieu, seulement un Israélien!". Voici l'extrait très explicite du New-York Times :
" Les enquêtes opérées vendredi auprès de nombreux consulats montrent que "les listes de personnes disparues qu'ils ont collectées varient énormément. Par exemple, la municipalité (de New-York) a reçu tant bien que mal des comptes-rendus au sujet de nombreux Israéliens portés disparus sur le site, et mardi soir, le président Bush, lors de son allocution au pays, a mentionné que près de 130 israéliens étaient morts pendant l'attaque. Mais vendredi, Alon Pinkas, le consul général d'Israël à New-York, a déclaré que les listes de disparus comportaient des appels de personnes qui avaient appelé parce que leurs proches résidant à New-York n'avaient pas répondu à leurs appels de téléphone en provenance d'Israël. Il n'y avait en fait que trois Israéliens dont la mort était confirmée : deux dans les avions et un autre qui était dans les tours pour ses affaires, et qui a été identifié et enterré." (New-York Times, 220902).
Le faible bilan de 130 morts suggéraient qu'un certain nombre d'Israéliens avaient été avertis au World Trade Center avant l'attaque. Lorsque j'ai découvert la vérité, c'est à dire qu'un seul israélien était mort il n'était plus possible de douter qu'il y avait eu un avertissement préalable pour de nombreux Israéliens. N'avoir qu'une seule victime israélienne parmi les 4500 morts du WTC est une impossibilité statistique. Même si le Ministre des Affaires Étrangères et le Jerusalem Post avaient surestimé le nombre d'Israéliens présents au World Trade Center, par exemple 3000, il y aurait encore eu 1000 Israéliens au moment de l'attaque. Dès lors, même si seulement quelques centaines d'Israéliens étaient présents au moment de l'attaque, le seul mort Israélien qui apparaît est statistiquement une absurdité. Soit le 11 septembre est une jour férié pour les Juifs, ou bien un nombre d'Israéliens a été prévenu d'avance d'une attaque imminente.
Les Israéliens prévenus de déguerpir.
Messages d'avertissement urgents à Israël.
Les responsables de la messagerie d'urgence Odigo confirment aujourd'hui que deux employés ont reçu des textes de messages avertissant d'une attaque sur le World Trade Center deux heures avant que les terroristes n'écrasent les avions à l'intérieur de la zone de New-York.
Alex Dimmandis, vice président des ventes et du marketing, confirma que les employés du centre de recherche et des ventes internationales d'Odigo en Israël ont reçu un avertissement d'un utilisateur d'0digo deux heures approximativement avant la première attaque. (Washington Post's Newbytes)
J'ai également cherché à savoir s'il y avait confirmation des avertissements donnés aux Israéliens avant l'attaque. J'ai aussitôt trouvé un article dans Newsbytes, un nouveau service du Washington Post, intitulé "Messages urgents à Israël pour prévenir de l'attaque du World Trade Center". Ha'aretz, le quotidien israélien, confirma également les avertissements préalables à Israël, ajoutant que le FBI analysait ces avertissements. Ces articles expliquent que la société de messagerie Israélienne Odigo qui a des bureaux en Israël et au World Trade Center, a reçu un certain nombre d'avertissements juste deux heures avant l'attaque. Nous avons à présent la preuve convaincante, émanant d'une source stable, qu'Israël avait été prévenu de l'attaque. Premièrement s'ils n'avaient pas été avertis, ils n'auraient pas eu qu'une seule victime au World Trade Center. Deuxièmement la confirmation est claire qu'une compagnie ayant des bureaux à la fois en Israël et au WTC de New-York a reçu des avertissements un peu avant l'attaque. Qui aurait pu prévenir des Israéliens, si ce n'est le Mossad d'Israël ? Le fait que le gouvernement d'Israël ait eu une connaissance préalable de l'attaque en cours, et qu'il ait prévenu les éventuelles victimes Israéliennes, mais qu'il a laissé délibérément mourir des milliers d'Américains rend les Israéliens responsables du carnage autant que les terroristes arabes.
Messages d'avertissement urgents à Israël.
Les responsables de la messagerie d'urgence Odigo confirment aujourd'hui que deux employés ont reçu des textes de messages avertissant d'une attaque sur le World Trade Center deux heures avant que les terroristes n'écrasent les avions à l'intérieur de la zone de New-York.
Alex Dimmandis, vice-président des ventes et du marketing confirma que les employés du centre de recherche et des ventes internationales d'Odigo en Israël ont reçu un avertissement d'un utilisateur d'0digo deux heures approximativement avant la première attaque. (Washington Post's Newbytes).
Bon pour Israël ?
Vous pouvez être assurés que la joie a envahi le cœur de tous les terroristes israéliens lorsqu'ils ont contemplé la fumée s'élevant des tours jumelles. Le FBI a même arrêté cinq Israéliens sur le toit d'un immeuble proche des tours jumelles. Ils filmaient la scène en fêtant joyeusement l'événement. Ils savaient que la résistance à la suprématie d'Israël venait de s'effondrer en même temps que les tours du World Trade Center. La preuve la plus probante en est la déclaration de l'ex premier ministre d'Israël Benjamin Netanyahu qui se confia à chaud à un reporter du New York Times.
" Interrogé cette nuit sur le sens de cette attaque en ce qui concerne les relations entre les États-Unis et Israël, Benjamin Netanyahu, l'ex premier ministre, répondit: " C'EST TRES BON ! " Puis il se corrigea lui-même, et ajouta : " C'est à dire, pas très bon, mais cela génère de la sympathie mutuelle. "
L'attaque du World Trade Center était d'évidence un bonne chose pour la politique d'Israël; en fait Israël est la seule nation qui pouvait en bénéficier. Les cinquante années de terrorisme israélien furent complètement éclipsés par l'horreur et l'ampleur visuelle de cette seule attaque spectaculaire. Lorsque les médias américains appartenant à des Juifs montrèrent sans interruption des images de quelques Palestiniens célébrant joyeusement les attentats, les Palestiniens furent immédiatement dénoncés comme responsables de la terreur du WTC, quand bien même les organisations palestiniennes l'avaient. fermement condamné, et qu'aucun Palestinien n'était impliqué dans l'acte terroriste. Bien entendu, c'est l'Amérique qui a le plus souffert avec des milliers de victimes, une économie affaiblie, et les [pires (?)] restrictions aux libertés publiques de toute l'histoire américaine.
David Duke
SOURCE : Site web : www.davidduke.com, revue UNDERCOVER, n°1, mai 2002."
3) Oh, dis, go!http://forum.reopen911.info/p109657-06-01-2008-04-26-12.html
"Ha’aretz (17 août 2004) traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier.
http://www.haaretz.com/hasen/pages/ShAr … ID=/has%5C
"La société israélienne Odigo affirme que deux de ses employés ont (bien) été avertis des attentats du 11 septembre 2001
La société israélienne de messagerie électronique Odigo a fait savoir que deux de ses employés ont (bien, effectivement) reçu des messages, deux heures avant l’attentat contre les tours jumelles (Twin Towers) du World Trade Center de New York (le 11 septembre 2001), les avertissant que l’attaque allait avoir lieu. Odigo a ajouté qu’elle coopère, depuis lors, avec les services judiciaires israéliens et américains (notamment, le FBI - Federal Bureau of Investigation), afin de retrouver l’émetteur premier du message avertissant de l’attaque.
Micha Macover, PDG de la compagnie, a indiqué que les deux employés avaient reçu ces messages et avaient informé la direction de l’entreprise, immédiatement après l’attentat. La direction avait alors immédiatement pris contact avec les services israéliens de sécurité, lesquels avaient immédiatement mis le FBI au courant.
« Je n’ai aucune idée de la raison pour laquelle ce message a été envoyé à nos deux employés, qui n’en connaissent pas du tout l’expéditeur. Il pourrait s’agir de quelqu’un qui plaisantait simplement, et dont la plaisanterie se serait avérée prémonitoire par un pur effet du hasard. Je ne sais d’ailleurs pas si notre information a joué un rôle éventuel dans l’une quelconque des arrestations opérées par le FBI », a déclaré M. Macover.
Odigo, compagnie (israélienne) sise aux Etats-Unis, a son siège à New York et ses bureaux à Herzliya (Israël).
Les utilisateurs de la messagerie Odigo ne sont pas limités dans l’expédition de leurs messages à la seule liste de leurs « copains » [contacts], comme c’est le cas pour les clients d’ICQ, l’autre serveur bien connu de messagerie instantanée (elle aussi) israélienne.
Généralement, Odigo protège jalousement la confidentialité de ses utilisateurs dûment catalogués, a indiqué M. Macover, mais, dans le cas d’espèce, la compagnie a pris l’initiative de fournir aux services judiciaires l’adresse Internet initiale (de l’émetteur) du message, afin que le FBI puisse retrouver le fournisseur d’accès Internet utilisé par l’émetteur effectif du message original, et donc l’identité de cet expéditeur. "
L'info avait été archivée sur le site suivant http://www.libertes-internets.net/archi … 40715.html , mais la version archivée contient une info supplémentaire visiblement effacée sur la page de Haaretz.
An Israeli Instant Messaging company’s workers were warned of the attacks two hours before they happened, and it it has supplied the IP address of the sender of the message but the FBI has not followed up this lead to find out who sent the message.
Autre bizarrerie, quand je tape Odigo sur le moteur de recherche de Ha'arezt aucun resultat ne ressort malgré que l'info soit titrée "Odigo says workers were warned of attack".
4) 11 Septembre : On vous a presque tout dit !
http://www.lemague.net/dyn/article.php3?id_article=2405
" par Nicolas Velardiére.
Dans le contexte du rapport du sénat américain qui révèle l’absence totale de lien entre Al-Qaida et Saddam Hussein, l’interview exclusive effectuée il y a quelques mois, du Milliardaire américain Jimmy Walter (créateur du site Reopen.org pour la réouverture des enquêtes du 11 Septembre) prend toute sa dimension. Un Américain qui réclame toute la vérité sur le 11 Septembre et dénonce de nombreuses incohérences.
Rappel de faits troublants : Les esprits ont étés frappés, suite aux attentats du 11 Septembre 2001, de la découverte du passeport intact de Mohammed Atta dans les gravats, tandis que CNN soulignait par ses enquêtes, que le nom de Atta ne figurait pas dans la liste des passagers. Elément important du doute qui s’ est installé, Michel Peyrard, grand reporter à "Paris Match", rapporte « des témoignages croisés » qui attestent que « Oussama Ben Laden est sorti de Jalalabad en deux convois de cent cinquante à deux cent voitures sous le nez des satellites états-uniens, voire de soldats sur place » !
Voilà pour les évènements passés, auxquels, il faut ajouter, les mensonges de l’administration américaine au sujet des armes de destruction massive.
N.V Natif de Tampa, en Floride, étudiant diplômé en Caroline du Nord, vous avez un parcours atypique, vous touchez à la recherche sur l’énergie solaire dans les années 70, vous créez une entreprise de vente d’ ordinateur et maintenance dans les années 80, vous vous investissez dans le domaine culturel, en Chine et à Taiwan dans les années 90, et en 97 vous êtes Responsable de Production au cinéma, dans le The Mouse, film avec John Savage, Burt Young ...
Vous êtes impliqué dans la vie culturelle à travers des musées à New York, ou encore la vie associative, avec « Ethics and Meaning », association sur l’éthique du financement des parti politiques aux USA, et également créateur « Walden 3 », sorte de projet visionnaire sur l’ avenir de l'organisation société ; vous vous impliquez aussi dans les TV et radio de l'université de Floride « WEDU Foundation » .
Jimmy Walter, quel est le secret de ce parcours professionnel et associatif très riche , et d’où viens votre fortune personnelle ?
J.W. La plupart de mon argent provient de l’héritage de mon père, Jim Walter, à qui appartenait Industries Walter ; néanmoins l’essentiel de l’argent que j’ utilise m’appartient. J’ai toujours souhaité faire quelque chose pour l’humanité, par conséquent j’ai dévoué ma vie pour ce genre de projet.
N.V Le travail sur Reopen.org, le site que vous avez créé pour obtenir la réouverture des enquêtes du 11 Septembre, et sur lequel vous annoncez un financement personnel à plus de 90 % , est - il devenu votre objectif majeur ?
J.W. Oui et non. Mon objectif principal est de trouver, juger et stopper les vrais terroristes. La Ré-ouverture de l’enquête n’est qu’un moyen d’y parvenir.
N.V Etant impliqué à la gauche même du parti démocrate, doit-on considérer que votre combat a une portée politique à l’encontre des républicains et de l’administration Bush ?
J.W. Oui et non. Je m’oppose actuellement au Parti Démocrate à cause de leur complicité ou incroyable stupidité. Dans la dissimulation du 11 septembre. Leur politique économique actuelle est beaucoup trop à droite, elle est essentiellement capitalistes.
Je supporte ce qu’on appelle les « économies justes » , un équilibre entre socialisme et capitalisme. Sur ce point je m’oppose à Hillary Clinton, John Kerry et le leadership des démocrates. Alors que je m’oppose à George Bush dans pratiquement tous les domaines, la transformation de la Présidence américaine par George Bush en une dictature virtuelle .
Républicains, indépendants, écologistes, libertaires, réalistes, un grand nombre de gens tous les partis s’opposent à la présidence impériale de Bush.
N.V Dans le film que vous avez produit, Faire face aux preuves (« Confronting the evidence »), vous témoignez que vous pensiez, comme tout les américains que les bâtiments du World Trade Center s’étaient effondrés suite aux chocs des avions et suite aux incendies.
Puis viennent, les doutes que vous ressentez, en lisant la presse étrangère, quand à l'existence d’armes de destruction massive en Irak, et enfin un ami qui vous incite à regarder un film de Eric Hufschmid Déceptions Douloureuses" ("Painful Deceptions"). Qu’avez vous ressenti, en découvrant ce film, qui révèle de nombreuses informations fortes comme par exemple, l’effondrement par explosif des tours, et comment est née l’idée du site Reopen.org ?
J.W. Ce que j’ai ressenti en regardant le film de E. Hufschmind, c’était un sursaut, de l’étonnement. Une perte de naïveté.
Après avoir visionné le film d’Éric et concluant qu’il n’y avait pas d’événement du 11 septembre, j’ai fait mon propre événement à New York City où j’ai essayé de m’allier avec d’autres groupes.
Néanmoins ils étaient tous tellement fractionnés que j’ai décidé de créer mon propre site. De plus leur sites ne se focalisaient pas sur le visuel et censuraient des personnes, comme Dave von Kleist et Eric Hufschmind.
N.V L’actualité autour des attaques du W.T.C., c’est tout d’abord, la réunion en Belgique, les 17 et 18 novembre derniers de l’axe de la paix. Cet évènement accueillait entre autres Boutros Boutros Ghali, Ancien Secrétaire général de l’ONU ou encore Andreas von Bülow (ancien secrétaire d’État et ministre allemand Helmut Schmitt). Cette rencontre se concluait par une déclaration commune montrant du doigt les USA et sa coalition : « Pour justifier ses conquêtes, elle crée et manipule des groupes terroristes, fabrique des prétextes, propage la théorie du complot islamique mondial et fomente un clash des civilisations. » « Elle masque ses ambitions en intoxiquant les médias et en trompant les institutions internationales ».
Quelle est votre analyse de l’action de l’axe de la paix et envisagez-vous une collaboration avec cet organisme ?
J.W. Je soutiens tous les programmes pour la Paix. Si celui de Thierry Meyssian en fait partie, alors j ai un grand respect pour lui. J’étudierai toute proposition allant dans ce sens.
N.V Nouvelles pièces au dossier des attentats, selon un article du quotidien Israélien Haaretz du 8 Décembre,(ici) [des] personnes qui travaillaient dans le périmètre du WTC auraient étés prévenues des attaques par le service « Odigo », logiciel de messagerie instantané gérée par une société israélienne. Evénement aussi, l’article du Capitol Hill Blue journal de nouvelles politique, qui cite un mémo confidentiel selon lequel des attaques terroristes sur le sol états-unien pourraient restaurer l’image de leader du président Bush !
Actualité encore, l’étude scientifique faite par S.E. Jones (ici ) rapporte aussi des éléments scientifiques qui renforcent l’ hypothèse de l’ utilisation d’explosif, (présence de métal fondu dans les ruines, plus de trois jours après les attaques), fait corroboré avec le film (et livre) d’ enquête d’Eric Hufschmid , « Déceptions Douloureuses » (« Painful Deceptions »), dont vous distribuez le DVD gratuitement , et disponible également en consultation directe sur votre site (et téléchargeable sur E mule et autres Peer to Peer) où il est rapporté preuves de photos satellites à l’appui, des températures anormalement élevées plusieurs jours après les attaques. Pensez - vous que ces nouveaux éléments (et d’autres éléments nouveaux dont vous pourriez parler à l’occasion de cette interview), participent à un début de véritable réveil du peuple américain ?
J.W. Non. Les médias américains, démocrates et républicains, refusent de permettre toute discussion réaliste sur le sujet. Tant qu’il n’y aura pas une personnalité politique ou un procureur qui embrassera cette cause, cela ne bougeras pas, et ce quelque soit la preuve ! Le rapport de la FEMA, celui du NIST, et celui du 11 septembre comportent des dissimulations criantes, des mensonges et omissions évidentes.
N.V La démarche de votre site reopen.org, semble développer une analyse qui se démarque de certaines thèses dites « conspirationnistes » en restant factuelle, quelle est votre éthique d’enquête ?
J.W. Oui, cette éthique se nomme Science ! Comme je l’ai dit auparavant, cette enquête est une enquête de crime, Ma philosophie personnelle ne s’applique pas, il s’agit de justice et de patriotisme.
N.V Entrons dans les faits ! Vous parlez sur votre site du bâtiment 7, cet immeuble s’est effondré sans avoir été touché par un avion et qui était en proie à un feu d’importance très relative. De plus, dans les dernières années, de nombreux feux bien plus sévères de tours comparables, comme ceux par exemple du Meridian Plaza de Philadelphie en 1991 et aussi de l’hôtel Windsor à Madrid en février 2005, n’ont pas provoqué d’effondrement. Certaines sources indiquent que les pompiers auraient décidé, en accord avec le propriétaire de faire sauter l’immeuble, comment réagissez-vous à cette hypothèse ?
J.W. Considérons le fait qu’aucun building à structure en métal avant le 11 Septembre n’a connu d’effondrement dû à un incendie, incluant un test extrême de Cardington Group ! A ce jour aucune agence du gouvernement n’a essayé d’expliquer les raisons de l’effondrement du building 7. D’après le rapport de la FEMA, on peut lire « Les spécifications des incendies du building 7 et comment elles ont conduits à l’effondrement demeurent inconnues à ce jour ».
N.V Sur votre site Internet, vous revenez sur le Pentagone, dossier épineux sur de nombreux points, notamment quand à la trajectoire en arc de cercle empruntée par l’avion autour du bâtiment, et décrite a basse altitude avec un pilote assez peu expérimenté, et tout cela pour venir frapper une zone du bâtiment en réfection.
J.W. Un de nos conseillers scientifiques s’interroge aussi sur les communications téléphoniques passées depuis l’avion, étant donné que cette pratique ne serait jamais observée à sa connaissance dans les autres crashs.
N.V Eric Hufschmid, dans Déceptions Douloureuses, présente une information selon laquelle des anomalies existent entre les relevés de secousse sismique résultant du « crash » du Pentagone et ceux du W.T.C. Quelle est votre analyse sur ce qui est devenu « l’affaire du Pentagone » ?
J.W. Les preuves physiques, les principes scientifiques et 80 % des témoignages l’affirment : que ce soit un avion ou un missile qui a frappé le Pentagone, c’était trop petit pour être un 757 !
Le Pentagone et le FBI refusent de rendre public les vidéos qui pourraient mettre fin à tout discussion. Alors que le silence n’est pas une preuve de culpabilité, refuser de témoigner est un indice de culpabilité.
N.V Vous dites que les bâtiments du WTC ont été abattus par des explosifs. Quels sont vos éléments de preuves ?
J.W. Personnellement je n’ai pas de preuves autres que celles disponibles sur Internet, dans les livres et les vidéos tournées. Pour moi, la preuve irréfutable est le métal fondu se trouvant dans les fondations des buildings. La structure métallique fond à une température de 2 500 degrés Fahrenheit. Et la température maximale que l’incendie aurait pu atteindre est de 1 800 degrés Fahrenheit.
N.V Y a-t-il réellement, sur certains aspects financiers de la commission d’enquête américaine sur le 11 Septembre, un véritable manque de volonté de faire toute la vérité sur ces évènements, et pourquoi ?
J.W. Oui, tous les membres de la commission avaient des liens avec les entrepreneurs de la défense. Ils refusent aussi d’enquêter sur les options de ventes des compagnies aériennes, où apparemment un ancien membre de la CIA et bien d’autres ont réalisés d’énormes bénéfices.
N.V. Vous allez jusqu'à offrir 1 millions de $ à toute personne pouvant prouver que le WTC n’a pas été abattus par des explosifs. Avez-vous reçu des réponses, et pourquoi ne pas les publier sur votre site, ainsi que les études et analyses scientifiques sur lesquelles vous vous basez ?
J.W. Seulement une candidature a été faite, qui n’est pas réaliste ou sérieuse. Elle ne fournit pas de croquis, de durée, ou de calculs précis comme le concours le requiert. En plus, il y avait des absurdités, revendiquant que l’incendie a atteint une température de plus de 3000 degrés fahrenheit. N’importe quel physicien, ingénieur ou métallurgiste réfuterai un tel non-sens.
N.V. De nombreuses sources indiquent aussi que des exercices de simulation militaire auraient eu lieu aussi le 11 Septembre, ce qui pourrait expliquer une réaction inefficace des militaires. Que vous inspire ce type de hasard ?
J.W. Si certains m’appellent « le conspirateur », je les nomme « coïncidence ». Ils affirment qu’il y avait 3 exercices militaires impliquant des détournements d’avions ce même jour, que 4 des appareils détournés avaient un nombre très limité de passagers, coïncidence pour le moins suspecte.
Que des entreprises israéliennes, BATF et d’autres agences, n’ont pas eu d’activité ce jour de septembre. Et Dick Cheney, Paul Wolfowitz, Paul Rumsfeld et d’autres ont signé un document appelant à un nouveau Pearl Harbor pour démarrer une guerre et cela se passe au moment même où ils sont au pouvoir...
N.V. Tout ces faits et bien d’autres font que les sondages sont édifiants. D’après un sondage publié en juillet 2003 par l’hebdomadaire Die Zeit, 19 % des Allemands estiment que le gouvernement américain a commandité les attentats.
J.W. Un sondage Zogby (grand institut de sondage américain) effectué à votre demande, demande a indiqué que 66% des New-yorkais souhaitent une réouverture de l’enquête sur le 11 septembre et que 49% d’entre eux pensent que les autorités gouvernementales étaient au courant bien avant l’attaque mais n’ont rien fait pour l’empêcher.
N.V. Lorsque vous apprenez ensuite que ce sondage ne constituait pas aux dires de la Presse (New York Times) « une information méritant publication », quelle a été votre réaction ?
J.W. « Censure ! Trahison ! »
N.V. Doutez-vous de l’indépendance de la presse ?
J.W. Non. Mais en dehors des principaux médias il y en a une poignée qui offre une information non biaisée.
N.V. Certaines décisions historiques américaines comme celles d’envoyer une deuxième bombe sur Nagasaki pendant la deuxième guerre mondiale, ou plus généralement un comportement américain jugé impérialiste par les Européens ont modifié au fil du temps l’image des USA à l’étranger .
Suite aux divers mensonges de l’administration Bush et à la décision obstinée de faire la guerre en Irak, un antiaméricanisme profond s’est renforcé dans le monde, que ressentez-vous vis-à-vis de cela en tant que citoyen américain ?
J.W. De la honte et de la peur ! J’ai honte de ce qui [est] perpétré en mon nom et au nom de tous les Américains.
La torture, les mensonges, les meurtres de gens innocents, les arrestations arbitraires... ce n’est pas le style américain !
Mais j’ai aussi peur des vrais terroristes, ceux qui torturent, bombardent les innocents, ceux qui se trouvent dans la Maison Blanche.
N.V. De nombreuses zones d’ombre entourent certains grands drames aux USA comme l’assassinat de Kennedy ou encore l’attaque de Pearl Harbor, pensez vous que cette fois Internet va permettre l’essor d’un réel débat public et populaire, autour des attentats du 11 Septembre ?
J.W. Non. Le fait est que ce qui est arrivé à JFK était de la trahison, et pas le fait isolé d’un Lee Harvey Oswald. Des preuves écrasantes exigent une enquête sur ces actes de trahisons, de meurtres ! Personne dans le gouvernement n’en réclame une ! C’était il y a 40 ans. Je pense que vous pouvez voir la tendance générale ...
Le site REOPEN"