lundi 20 juillet 2009

Fiction des Brutes Initiées

Encore une pièce à conviction qui confirme l'inanité de la version officielle du 911. Au lieu d'insister sur les mensonges patents de cette version officielle, je me cantonnerai à examiner un élément troublant dans les réactions : comment se fait-il que le secrétaire à la Justice d'Obama, le réputé progressiste et honnête Holder, cautionne l'omerta et l'absence d'enquête? C'est que les pressions doivent être bien fortes et que les suspects ne sont pas inculpables. Imaginez par exemple que Kissinger, Scowcroft ou Brzezinski soient, d'une manière ou d'une autre, impliqués dans la conception du 911. Ce sont actuellement des conseillers fort influents de l'administration Obama. Depuis combien de temps les juges sont les parties?
Par ailleurs, la complicité de Holder n'a pas besoin de se révéler active. Aucun institutionnel américain ne peut échapper au piège institutionnel, qui consiste à cautionner le 911 si l'on veut sauvegarder les institutions américaines. Ne nous y trompons pas : c'est dans cette perspective sardonique que les concepteurs du 911 ont monté leur coup - avec une connaissance parfaite des rouages institutionnels, dont ils sont les familiers. Dans un moment alarmant où la pérennité des États-Unis est sérieusement envisagée, notamment d'un point de vue monétaire, dénoncer les mensonges du 911 reviendrait à détruire la constitution américaine (dans tous les sens du terme).
On comprend cette complicité indirecte et sans doute emplie de désaccords : elle revient à sauver coûte que coûte le malade, y compris en taisant les graves erreurs médicales. J'ai bien peur que cette stratégie de bonne foi repose sur une erreur tragique : dans ce genre de situation, le seul moyen de sauver le système corrompu et mensonger consiste précisément à injecter la dose de vérité qui se révélera mortelle - pour le mensonge. Essayer de taire l'évidence et passer à autre chose relève de la duplication fantasmatique : on ne peut passer à autre chose tant qu'on tait.
Le seul moyen de passer à autre chose, c'est de reconnaître la vérité, de juger les coupables (encore en vie) et d'empêcher que ce type de dérive institutionnelle puisse se reproduire. Les mesures pour y parvenir ne sont pas si insurmontables. Elles tournent autour d'un maître-mot : l'émission de la monnaie (soit du dollar) doit être effectuée par l'Etat américain - par aucun intérêt privé.

http://www.voltairenet.org/article161127.html


"L’administration Obama fait interdire le témoignage du FBI sur le 11-Septembre.



Poursuivies en Justice par des familles de victimes des attentats du 11 Septembre 2001, les compagnies d’aviation ont fait valoir que, même si elles avaient multiplié les mesures de sécurité, les attentats auraient réussi.

Selon leurs avocats, l’inaction des autorités suffit à expliquer le bilan désastreux de cette journée. Pour développer leur raisonnement, les défenseurs ont souhaité appeler à comparaître des agents du FBI.

En effet, suite aux attentats le FBI a procédé à une vaste enquête. Des éléments rassemblés montreraient que le gouvernement n’a pas pris ce jour-là les mesures réglementaires qui auraient pu empêcher la multiplication des attentats.

Cependant, sur intervention de l’Attorney General des États-Unis Éric Holder, le juge Alvin Hellerstein a interdit l’audition des agents du FBI, empêchant ainsi les compagnies d’aviation de développer leur défense. L’audience reprendra le 28 juillet.

8 ans après les faits criminels, l’enquête du FBI, qui comprend 155 000 pièces à convictions et 167 000 procès-verbaux d’interrogatoire, n’a pu être examinée par aucun tribunal. Son contenu n’est connu qu’au travers de procès relatifs à des affaires connexes [1] et de déclarations d’agents à la presse. Ceux-ci assurent que leur enquête dément la version gouvernementale des évènements [2].

Contredisant les propos des responsables de la CIA et des secrétaires à la Justice successifs, le FBI a toujours refusé d’imputer ces attentats à Oussama Ben Laden, qu’il ne recherche pas à ce titre.

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[1] Par exemple, lors du procès du Français Zacarias Mousaoui, accusé d’avoir conspiré en vue de participer au détournement du vol 93 d’American Arlines, le FBI a rejeté les conversations téléphoniques échangées ce jour-là entre des passagers des avions détournés et leurs proches au sol. Les fonctionnaires assermentés ont indiqué que —selon leur enquête— ces appels, si souvent cités, n’ont jamais existé et sont des faux.

[2] « 41 anciens responsables états-uniens de l’anti-terrorisme et du renseignement mettent en cause la version officielle du 11-Septembre », par Alan Miller, Réseau Voltaire, 9 juin 2009."


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