Si après cette nouvelle, vous ne comprenez pas qui est Sarkozy, ni qui est son gouvernement... Il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Il n'est pire illusionné que celui qui ne veut pas se désillusionner. Reste à préciser un détail pour être bien clair, bien compris et pour démentir les rumeurs plus ou moins nauséabondes, plus ou moins simplistes qui circulent sur la Toile et dont on a vu récemment l'émergence trouble et manipulée autour des discours de la liste antisioniste en France pour les élections pseudo-européennes.
Alain Soral, l'une des têtes d'affiche de cette liste, un nationaliste de gauche proche de l'humoriste de plus en plus politicard Dieudonné, n'a pas hésité à expliquer que le sionisme était l'emblème dominant de l'atlantisme. Si l'on entend réellement hiérarchiser les problèmes, ainsi que Soral l'appelle à la suite de Marx, on expliquera exactement l'inverse. Je sais bien qu'il est plus efficace d'avancer que ce sont les sionistes qui dominent le monde - que de rentrer dans la complexité historique, stratégique et intellectuelle du problème : en réalité, le sionisme est une idéologie qui découle directement de l'impérialisme occidentaliste, en particulier britannique.
Ce sont les atlantistes, la mouvance ultralibérale, qui utilisent comme cheval de Troie et marionnettes peu avisées les agents sionistes pour mettre en place, non pas l'agenda sioniste, mais le programme occidentaliste, impérialiste, atlantiste, ultralibéral. Schématiquement, le sionisme est le masque actuel le plus visible de l'impérialisme occidentaliste, qui, depuis la chute du Mur de Berlin, a pris le visage quais exclusif de l'atlantisme et de l'ultralibéralisme. Israël est l'agent de l'impérialisme britannique, qui s'est commué en factions oligarchiques et financières de type post-colonialistes.
Si l'on en doute, que l'on regarde quels sont les principaux bénéficiaires de la politique sioniste : les factions financières atlantistes issues de l'Empire britannique; et quels sont les premiers accusés de cette politique violente et prédatrice : les saumâtres sionistes. D'après des prévisions stratégiques qui ont valeur d'avertissement préventif, l'État d'Israël pourrait disparaître ou traverser de graves turbulences dans les vingt ans qui viennent. Qui en payerait le prix? Les populations israéliennes? Si le sionisme s'effondre, qui en payera le prix? Les gogos idéologues sionistes? Les derniers à subir le vent du boulet sont les premiers agitateurs, les francs tireurs cupides et manipulateurs : les factions atlantistes financières.
Ce qu'on nomme l'Empire britannique est le conglomérat d'une méthode oligarchique de domination et de prédation dont les racines sont éparses et diverses : Venise, les Pays-Bas, les Empires européens - pour la modernité... Il est très important de comprendre qu'aucun peuple ni aucun État-nation moderne ne sont responsables de cet impérialisme. Le comportement intolérable, violent, pervers, destructeur d'Israël ne doit jamais conduire à n'incriminer que ses responsables pseudo-démocratiques - ou l'idéologie qui sous-tend cet État si bizarre et instable. Quand vous voyez le sioniste crypto-fasciste Netanyahu, n'oubliez jamais que ces dernières années, le Blaireau était chargé de la Paix au Proche-Orient, sous l'égide notamment des intérêts bancaires Morgan (les vrais maîtres du faix maître David Rockefeller).
Sentez l'odeur, oubliez les couleurs! Ce sont les intérêts financiers regroupés (symboliquement) à la City de Londres qui contrôlent l'État d'Israël, ce qui fait que le sionisme n'est qu'une idéologie de plus, manipulée, comme toutes les idéologies, spécifiquement par un cartel de financiers sans scrupule. Historiquement, c'est la Déclaration de Lord Balfour en 1917, qui reconnaît l'existence d'un foyer national juif sur le sol palestinien. L'Empire ottoman (allié des Empires centraux) détient les territoires palestiniens jusqu'en octobre 1917 et les perd dans le cadre de la Première guerre mondiale au profit de l'Empire britannique.
La "reconnaissance Balfour" émane d'un aristocrate britannique qui est engagé dans la politique impérialiste au plus haut niveau. A cette époque troublée, où l'impérialisme politique s'effondre au profit de l'impérialisme financier de type libéral, Balfour est ministre des Affaires étrangères du gouvernement de David Lloyd George. Son action diplomatique vise autant à déstabiliser l'ennemi ottoman qu'à rallier à la cause des Alliés les États-Unis contre la puissance allemande. Diviser pour détruire : tient dans cet adage la stratégie finaliste de l'Empire britannique, en particulier de son aristocratie tapie dans les strates du Foreign Office.
Petit aparté : la véritable dénomination du Foreign Office est "Foreign and Commonweath Office". Ses attributions officielles sont les affaires étrangères, mais aussi la construction européenne et les relations avec les pays membres du Commonwealth. Tout un programme qui montre que la décolonisation signifie en faits le passage du colonialisme politique de type classique au néocolonialisme libéral de type économique. Quant à la référence à la construction européenne, les résultats récents de cette élaboration fédérale montrent que l'on se situe dans une vision impérialiste et oligarchique du fédéralisme, où la fédération d'inspiration atlantiste est à la botte des intérêts financiers ultralibéraux et cherchent à s'opposer à la volonté souveraine des peuples et de leurs représentants modernes les plus adéquats, les États-nations.
C'est ainsi qu'agissent les États-Unis depuis les années 1960 et c'est ainsi que leurs pendants européens entendent agir, autour des intérêts impérialistes britanniques représentés de manière emblématique par l'ECFR. Les sionistes détenaient une certaine influence, notamment sur le courant des sionistes chrétiens, dont la mouvance émane du restaurationnisme britannique. Lord Balfour était peut-être un sympathisant, mais c'est surtout un diplomate pragmatique. Sa Lettre s'adresse au véritable leader du sionisme de l'époque, Lord Lionel Walter Rothschild. C'est un banquier issu d'une famille fameuse de banquiers, dont la mentalité exprime typiquement les visées et les menées de l'impérialisme britannique et occidentaliste. Rothschild est ainsi le banquier qui supervise la création d'Israël. Cette filiation est transparente : Rothschild n'est que le devant de conglomérats financiers - plus opaques et hétéroclites.
Derrière les sionistes, voyez les affairistes, les financiers, les banquiers. Derrières les banquiers sionistes et/ou juifs, même si vous établissez sainement la distinction entre un banquier juif et un juif, entre du business et une religion, voyez l'impérialisme occidentaliste, en particulier sa mouture britannique. Enfin, n'oubliez jamais que le but de l'impérialisme réside dans la domination. Israël est l'instrument de cette domination. C'est un pantin, nullement la tête pensante.
http://lafeuilledemanioc.20minutes-blogs.fr/archive/2009/08/28/hoffenberg-la-tres-speciale-representante-de-la-france.html
Alain Soral, l'une des têtes d'affiche de cette liste, un nationaliste de gauche proche de l'humoriste de plus en plus politicard Dieudonné, n'a pas hésité à expliquer que le sionisme était l'emblème dominant de l'atlantisme. Si l'on entend réellement hiérarchiser les problèmes, ainsi que Soral l'appelle à la suite de Marx, on expliquera exactement l'inverse. Je sais bien qu'il est plus efficace d'avancer que ce sont les sionistes qui dominent le monde - que de rentrer dans la complexité historique, stratégique et intellectuelle du problème : en réalité, le sionisme est une idéologie qui découle directement de l'impérialisme occidentaliste, en particulier britannique.
Ce sont les atlantistes, la mouvance ultralibérale, qui utilisent comme cheval de Troie et marionnettes peu avisées les agents sionistes pour mettre en place, non pas l'agenda sioniste, mais le programme occidentaliste, impérialiste, atlantiste, ultralibéral. Schématiquement, le sionisme est le masque actuel le plus visible de l'impérialisme occidentaliste, qui, depuis la chute du Mur de Berlin, a pris le visage quais exclusif de l'atlantisme et de l'ultralibéralisme. Israël est l'agent de l'impérialisme britannique, qui s'est commué en factions oligarchiques et financières de type post-colonialistes.
Si l'on en doute, que l'on regarde quels sont les principaux bénéficiaires de la politique sioniste : les factions financières atlantistes issues de l'Empire britannique; et quels sont les premiers accusés de cette politique violente et prédatrice : les saumâtres sionistes. D'après des prévisions stratégiques qui ont valeur d'avertissement préventif, l'État d'Israël pourrait disparaître ou traverser de graves turbulences dans les vingt ans qui viennent. Qui en payerait le prix? Les populations israéliennes? Si le sionisme s'effondre, qui en payera le prix? Les gogos idéologues sionistes? Les derniers à subir le vent du boulet sont les premiers agitateurs, les francs tireurs cupides et manipulateurs : les factions atlantistes financières.
Ce qu'on nomme l'Empire britannique est le conglomérat d'une méthode oligarchique de domination et de prédation dont les racines sont éparses et diverses : Venise, les Pays-Bas, les Empires européens - pour la modernité... Il est très important de comprendre qu'aucun peuple ni aucun État-nation moderne ne sont responsables de cet impérialisme. Le comportement intolérable, violent, pervers, destructeur d'Israël ne doit jamais conduire à n'incriminer que ses responsables pseudo-démocratiques - ou l'idéologie qui sous-tend cet État si bizarre et instable. Quand vous voyez le sioniste crypto-fasciste Netanyahu, n'oubliez jamais que ces dernières années, le Blaireau était chargé de la Paix au Proche-Orient, sous l'égide notamment des intérêts bancaires Morgan (les vrais maîtres du faix maître David Rockefeller).
Sentez l'odeur, oubliez les couleurs! Ce sont les intérêts financiers regroupés (symboliquement) à la City de Londres qui contrôlent l'État d'Israël, ce qui fait que le sionisme n'est qu'une idéologie de plus, manipulée, comme toutes les idéologies, spécifiquement par un cartel de financiers sans scrupule. Historiquement, c'est la Déclaration de Lord Balfour en 1917, qui reconnaît l'existence d'un foyer national juif sur le sol palestinien. L'Empire ottoman (allié des Empires centraux) détient les territoires palestiniens jusqu'en octobre 1917 et les perd dans le cadre de la Première guerre mondiale au profit de l'Empire britannique.
La "reconnaissance Balfour" émane d'un aristocrate britannique qui est engagé dans la politique impérialiste au plus haut niveau. A cette époque troublée, où l'impérialisme politique s'effondre au profit de l'impérialisme financier de type libéral, Balfour est ministre des Affaires étrangères du gouvernement de David Lloyd George. Son action diplomatique vise autant à déstabiliser l'ennemi ottoman qu'à rallier à la cause des Alliés les États-Unis contre la puissance allemande. Diviser pour détruire : tient dans cet adage la stratégie finaliste de l'Empire britannique, en particulier de son aristocratie tapie dans les strates du Foreign Office.
Petit aparté : la véritable dénomination du Foreign Office est "Foreign and Commonweath Office". Ses attributions officielles sont les affaires étrangères, mais aussi la construction européenne et les relations avec les pays membres du Commonwealth. Tout un programme qui montre que la décolonisation signifie en faits le passage du colonialisme politique de type classique au néocolonialisme libéral de type économique. Quant à la référence à la construction européenne, les résultats récents de cette élaboration fédérale montrent que l'on se situe dans une vision impérialiste et oligarchique du fédéralisme, où la fédération d'inspiration atlantiste est à la botte des intérêts financiers ultralibéraux et cherchent à s'opposer à la volonté souveraine des peuples et de leurs représentants modernes les plus adéquats, les États-nations.
C'est ainsi qu'agissent les États-Unis depuis les années 1960 et c'est ainsi que leurs pendants européens entendent agir, autour des intérêts impérialistes britanniques représentés de manière emblématique par l'ECFR. Les sionistes détenaient une certaine influence, notamment sur le courant des sionistes chrétiens, dont la mouvance émane du restaurationnisme britannique. Lord Balfour était peut-être un sympathisant, mais c'est surtout un diplomate pragmatique. Sa Lettre s'adresse au véritable leader du sionisme de l'époque, Lord Lionel Walter Rothschild. C'est un banquier issu d'une famille fameuse de banquiers, dont la mentalité exprime typiquement les visées et les menées de l'impérialisme britannique et occidentaliste. Rothschild est ainsi le banquier qui supervise la création d'Israël. Cette filiation est transparente : Rothschild n'est que le devant de conglomérats financiers - plus opaques et hétéroclites.
Derrière les sionistes, voyez les affairistes, les financiers, les banquiers. Derrières les banquiers sionistes et/ou juifs, même si vous établissez sainement la distinction entre un banquier juif et un juif, entre du business et une religion, voyez l'impérialisme occidentaliste, en particulier sa mouture britannique. Enfin, n'oubliez jamais que le but de l'impérialisme réside dans la domination. Israël est l'instrument de cette domination. C'est un pantin, nullement la tête pensante.
http://lafeuilledemanioc.20minutes-blogs.fr/archive/2009/08/28/hoffenberg-la-tres-speciale-representante-de-la-france.html
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