Allez, pour rire un bon petit coup, Guillon le satiriste au vitriol allume DSK le patron du FMI et figure du progressisme mondialiste et oligarchique.
Stéphane Guillon humilie DSK sur France Inter - Le Matin Video
L'humoriste du 7/10 sur France Inter a écrit un billet au vitriol qui n'a pas du tout plus à Dominique Strauss Kahn, l'invité du jour.
L'humoriste du 7/10 sur France Inter a écrit un billet au vitriol qui n'a pas du tout plus à Dominique Strauss Kahn, l'invité du jour.
Video de matinonline
Et la réponse de DSK, qui n'est pas content du tout du tout. De la vérité?
En tout cas, DSK commence par s'indigner, puis par raconter des histoires peu galantes et reluisantes à ses interlocuteurs : encore un économiste qui débite des âneries? Rappelez-vous : en 2008, on vous a expliqué que la crise avait été dure mais qu'elle était jugulée. Elle était imprévisible et foudroyante. Elle découlait de la crise des subprimes. Désormais, les mêmes experts incompétents admettent que la crise n'en est qu'à ses débuts. Spéciale dédicace à un autre expert pontifiant et incompétent, Attali de Lazard (ça fait chic, le patronyme aristo-bancaire?). Je renvoie à ce que dit un véritable expert en économie, soit quelqu'un qui a averti de la crise depuis belle lurette et avec précision pédagogique, Lyndon LaRouche : il existe des millions de milliards de dollars de produits dérivés, soit d'argent toxique dans le monde. Le seul moyen de remédier à la crise qui menace de virer au chaos est de déclarer en faillite les activités de spéculation démente des financiers.
L'option des bad banks est une mesurette inefficace, qui retardera l'échéance seulement et qui épargne (c'est le cas de le dire) les factions bancaires aux abois. Dernière petite précision à l'adresse de DSK le prophète du FMI : la crise ne provient pas du tout d'une crise du crédit, soit de crédits inconsidérés émis dans un système viable. La crise des crédits, dont les subprimes seraient l'étincelle, n'est que la conséquence visible et prévisible de la politique monétaire folle qui consiste à avoir découplé la valeur de l'argent et la valeur de l'économie réelle (depuis 1971 et la sortie des accords de Bretton Woods conçus par F.D. Roosevelt). La création de dettes est inévitable dans un système qui endette l'économie physique au profit de spéculations virtuelles. Le FMI en sait quelque chose depuis qu'il sévit, notamment dans les pays du Tiers monde. Les monétaristes inconséquents, qui croient que c'est l'argent qui crée la valeur, et non l'inverse, ont accordé des crédits inconsidérés parce que leur système était au bout du rouleau.
Il ne s'agit pas d'un accident, mais d'une crise systémique, dont DSK s'empresse de dissimuler le vrai visage. Question : pourquoi DSK joue-t-il ce jeu pervers, qui consiste à pratiquer une fausse critique pour mieux empêcher la vraie critique? Divertir avec une explication superficielle et parcellaire pour éluder l'explication fondamentale et essentielle? DSK se fourvoie parce qu'il appartient à cette génération d'économistes au service des théories oligarchiques, selon lesquelles la valeur de l'argent se mesure par le volume des échanges autour de la monnaie, notamment d'une devise comme le dollar. La crise du crédit s'explique par la crise de cette conception désaxée, et non par trop de crédits ou trop de dettes. D'ailleurs, d'où viendrait cette erreur subite? D'où vient la dette, hein?
DSK est l'une des cautions intellectuelles de l'économiste savant de type progressiste, qui ne peut pas défendre les élites bancaires parce qu'il est progressiste et qu'il veut le Bien des peuples mondialisés. Pas de l'oligarchie financière. La preuve.
L'option des bad banks est une mesurette inefficace, qui retardera l'échéance seulement et qui épargne (c'est le cas de le dire) les factions bancaires aux abois. Dernière petite précision à l'adresse de DSK le prophète du FMI : la crise ne provient pas du tout d'une crise du crédit, soit de crédits inconsidérés émis dans un système viable. La crise des crédits, dont les subprimes seraient l'étincelle, n'est que la conséquence visible et prévisible de la politique monétaire folle qui consiste à avoir découplé la valeur de l'argent et la valeur de l'économie réelle (depuis 1971 et la sortie des accords de Bretton Woods conçus par F.D. Roosevelt). La création de dettes est inévitable dans un système qui endette l'économie physique au profit de spéculations virtuelles. Le FMI en sait quelque chose depuis qu'il sévit, notamment dans les pays du Tiers monde. Les monétaristes inconséquents, qui croient que c'est l'argent qui crée la valeur, et non l'inverse, ont accordé des crédits inconsidérés parce que leur système était au bout du rouleau.
Il ne s'agit pas d'un accident, mais d'une crise systémique, dont DSK s'empresse de dissimuler le vrai visage. Question : pourquoi DSK joue-t-il ce jeu pervers, qui consiste à pratiquer une fausse critique pour mieux empêcher la vraie critique? Divertir avec une explication superficielle et parcellaire pour éluder l'explication fondamentale et essentielle? DSK se fourvoie parce qu'il appartient à cette génération d'économistes au service des théories oligarchiques, selon lesquelles la valeur de l'argent se mesure par le volume des échanges autour de la monnaie, notamment d'une devise comme le dollar. La crise du crédit s'explique par la crise de cette conception désaxée, et non par trop de crédits ou trop de dettes. D'ailleurs, d'où viendrait cette erreur subite? D'où vient la dette, hein?
DSK est l'une des cautions intellectuelles de l'économiste savant de type progressiste, qui ne peut pas défendre les élites bancaires parce qu'il est progressiste et qu'il veut le Bien des peuples mondialisés. Pas de l'oligarchie financière. La preuve.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire