http://www.alterinfo.net/La-loi-martiale,-le-plan-de-sauvetage-financier_a29455.html
Que l'on consulte cet article. Il est rédigé par un ancien diplomate canadien. Quelqu'un qui connaît les coulisses du pouvoir. Que nous explique cet universitaire? Que les transitions présidentielles servent à contraindre le nouveau président élu à suivre la voie des intérêts oligarchiques. En gros, ces intérêts oligarchiques pencheraient vers le républicanisme, puisque le nouveau président est contraint s'il est démocrate, alors qu'il est soutenu s'il est républicain.
Une autre précision est des plus pertinentes. Concernant Kissinger, qui est un K bien plus marquant que le cas Kouchner de France. A quand une enquête de Péan sur Kissinger? Quoi qu'il en soit, Kissinger était déjà conseiller sous Johnson, le trouble président démocrate qui succéda à JFK assassiné. On murmure que Johnson faisait partie de la conjuration (conjuration longtemps déniée et aujourd'hui largement reconnue).
On connaît la rengaine : Kissinger a trahi les démocrates qu'il conseillait pour tuyauter les conservateurs de l'administration Nixon. Plus tard, Kissinger le secrétaire d'État et Prix Nobel de la Paix sera fortement soupçonné d'avoir trahi Nixon en étant indirectement impliqué dans l'affaire du Watergate. Kissinger se sert ainsi des trahisons, des complots et des coups tordus pour affaiblir les politiciens et s'en servir comme boucs émissaires et fusibles. Comme paravents aussi.
Pour le compte de qui agit Kissinger? Il serait fortement simpliste d'estimer que Kissinger agit pour ses intérêts et qu'il est le maître du monde. Il en va de même avec la croyance que les sionistes dominent le monde. Les juifs sionistes et les chrétiens sionistes fanatiques, certainement pas. Ceux qui manipulent les sionistes, certainement. Ce sont les mêmes qui manipulent les sionistes et qui manipulent Kissinger (sioniste convaincu et extrémiste). En ce sens, l'on peut dire que Kissinger est le laquais et le valet de ces intérêts, qui sont les intérêts de l'oligarchie. Kissinger est le représentant diplomatique, le conseiller et l'expert de ces milieux. La compétence de Kissinger est diplomatique dans la mesure où elle est sécuritaire.
Ancien directeur du NSC, Kissinger diplomate ne ce que sa compétence s'exprime dans les questions stratégiques d'ordre sécuritaire. On se souviendra que Kissinger est soupçonné fortement d'avoir conspiré dans le 911 et qu'à l'aune d'un pareil soupçon (étayé), il conviendrait de se demander de quel type de sécurité il s'agit.
Sécurité : pas la sécurité des nations ou des peuples que Kissinger méprise. La sécurité des factions. Des factions de l'oligarchie. Kissinger n'est jamais que le représentant des factions oligarchiques financières. Comme tel, il n'a jamais vraiment quitté la scène depuis ses débuts dans les années soixante. Il est intéressant de constater que Kissinger est l'employé explicite des intérêts Rockefeller, dont la puissance dépasse de très loin l'apparence somme toute assez modeste. Les Rockefeller appartiennent typiquement à l'oligarchie financière américaine, dont le siège se situe symboliquement à Wall Street, mais pourrait également être déplacé dans le même temps à Chicago, temple de la pensée ultralibérale et du soutien au régime de Pinochet.
Kissinger a joué un rôle majeur dans ce soutien, ce qui montre que les intérêts oligarchiques financiers ne fonctionnent que parce qu'ils sont à la tête de la diplomatie et des questions stratégiques. Qui dit stratégie implique le contrôle de l'armée. Finalement, le 11 septembre 2001 ne fut que la réplique d'un autre sinistre 11 septembre, chilien celui-là. Peut-on penser que c'est un hommage pervers et historique qui poussa les planificateurs du 911 à retenir une date chargée d'émotion et pour eux de succès?
Les Rockefeller ne sont pas plus les fantasmatiques maîtres du monde que Kissinger. Par contre, Kissinger est le représentant des intérêts Rockefeller depuis les années soixante. Il a ainsi collaboré au Rockefeller Brothers Fund et il appartint en tant que secrétaire d'État à l'administration Ford, dont Nelson Rockefeller était le Vice-Président. Par la suite, il collabora avec David Rockefeller, le banquier de la Chase Manhattan Bank, dont la fortune est de très loin inférieure à l'influence effective dans les milieux des affaires et dans les clubs de pensée qui servent de prétexte et de caution intellectuelles à l'oligarchie financière et la mentalité impérialiste.
On retrouve ainsi les complices David et Henry (orthographe anglaise s'il vous plaît) dans de nombreux think tanks.
- Le CFR, qui est le lieu de décision de la politique étrangère américaine et qui a pour spécialité depuis la Seconde guerre mondiale de réécrire l'histoire du côté des vainqueurs, soit des intérêts oligarchiques.
- Le Bilderberg, qui fut créé par David Rockefeller, le prince Bernard de Hollande (un ancien officier nazi) et d'autres protagonistes du même tonneau (oligarchique).
Deux exemples qui pourraient être assortis d'une multitude d'autres illustrations, notamment la Trilatérale, qui fut fondée par Rockefeller David, Brzezinski et Kissinger. Au fait, Brzezinski est le conseiller inspirateur d'Obama.
Contre ceux qui pensent que l'oligarchie fonctionne sur un modèle aristocratique classique, avec des dominateurs et des maîtres, je rappellerai que le modèle de l'identité immanentiste suppose l'éclatement, le morcèlement et la différance. Autrement dit, le milieu de l'oligarchie n'est pas un milieu uni et homogène, forcément d'accord sur tous les points et soumis au même prince des ténèbres cachés.
A chaque fois que l'on soulève le problème du complot en démocratie et que l'on parvient à la question cruciale de l'oligarchie (et du nihilisme en ontologie), la propagande oligarchique discrédite l'analyse en présentant un modèle de complot fou et simpliste. C'est ainsi que le complotiste (ce qui met en lumière un complot) aura forcément une vision politique simpliste et folle, selon laquelle les comploteurs sont toujours les mêmes et toujours d'accord. C'est exactement l'inverse qui est vrai.
Si les comploteurs existent bel et bien, les exemples historiques pullulent, ils ne sont d'accord sur rien et ils ne maîtrisent pas le complot qu'ils ont intenté et qu'ils croient dans leur grande folie ou leur égarement comique susciter pour changer le cours des choses. Le milieu de l'oligarchie financière n'est pas une structure pyramidale qui serait ainsi inféodée in fine à la famille des Rockefeller aux États-Unis.
On retrouve énormément de dynasties financières, sur le modèle des soap feuilletons comme Dallas ou Santa Barbara, qui font du sensationnalisme à partir de la connaissance que les scénaristes ont de la société américaine et du milieu des affaires. Mais on retrouve toujours des individus dont l'identité est toujours incomplète ou morcelée. Ils expriment à leur corps défendant l'inverse de leur fantasme de toute-puissance. en tant que mentalités de l'oligarchie, ils aimeraient dominer, se situer au-dessus de la mêlée humaine.
Chacun est dépendant des autres et aucun en peut vraiment présenter la structure de l'identité complète. Ils se trouvent victime du syndrome de Dracula ou des vampires, qui ne peuvent vivre normalement et qui sont condamnés à vivre de nuit et à obéir des règles extrêmement strictes et préjudiciables. Derrière leur aspect tyrannique et nuisible, ces êtres mutants expriment en fait le châtiment qui s'attache aux semelles de ceux qui veulent remplacer les lois du réel par celles de leur désir.
On passe de l'identité classique et assumée à l'identité nihiliste et différante. Il n'est pas question de passer d'un extrême à l'autre. De verser dans l'insignifiance des Rockefeller après avoir soutenu leur omnipotence. Ni l'un, ni l'autre. Les Rockefeller sont emblématiques de l'oligarchie américaine. Ils représentent par leur fortune, leur nom et leur gloire une parte de l'histoire américaine, du capitalisme et de la réussite.
D'un côté, les Rockefeller sont omniprésents dans l'histoire de l'oligarchie depuis le siècle, de John D. à David, en passant par la Chase, l'ONU, la Trilatérale, Kissinger, etc. De l'autre, il est certain que dans la mentalité du déni (qui est la définition de l'oligarchie travestie en démocratie, de l'oligarchie qui ne peut prospérer que sur le lit de la démocratie, comme le pirate ou le parasite ne prospèrent que dans le nid des institutions), les noms qui sont mis en avant ne sont pas les plus influents.
Est-ce la raison pour laquelle on retrouve si souvent les Rockefeller dès qu'on se pique de comprendre les rouages et le fonctionnement de l'oligarchie américaine? En tout cas, David Rockefeller est partout et Kissinger aussi. Quant aux enfants, on les voit peu, si bien qu'on peut supposer que leur influence est soit inexistante, soit s'exprime par le truchement de la philanthropie et de l'engagement caritatif. Notamment avec la question de l'écologie, qui permet sous couvert de sauver la planète de renforcer l'emprise oligarchique et d'imposer la politique malthusienne (entériner le déclin de l'homme par l'exigence écologique).
On pourrait ainsi sans peine ajouter le nom d'autres dynasties plus discrètes de la vie industrielle et financière américaine. De la vie oligarchique. C'est ainsi que les amis de LaRouche dénoncent souvent les menées de Shultz, le parrain de l'administration W., ou de Rohatyn, le banquier de Lazard, un démocrate pur jus. Cette myriade disparate de noms et d'identités incomplète suffit à contredire une bonne fois pour toutes les arguments (de mauvaise foi pour toutes) selon lesquels les dénonciateurs de complots verraient de manière hallucinatoire des complots partout sous prétexte que les complots ne peuvent être fondés sur les accords, l'unité, la communauté, etc.
En réalité, l'oligarchie est un monde de requins, de crocodiles ou de caïmans. Les Rockefeller en sont ainsi qu'une influe,ce, non négligeable, de l'oligarchie, version américaine. Evidemment, les Rockefeller sont puissants parce que l'oligarchie américaine est puissante. Le symbole Wall Street (incomplet lui aussi) en atteste. Kissinger est l'homme de main de cette faction de banquiers qui s'agitent autour des Rockefeller. De ce fait, Kissinger n'est pas le valet de l'oligarchie unifiée, mais le valet d'une faction oligarchique, il est vrai puissante. Particulièrement élitiste et symbolique de ce qu'on nomme les WASP.
Maintenant, si l'on examine le lien entre le mondialisme comme idéologie perverse, la mondialisation comme phénomène historique recoupant le mondialisme, il appert que l'oligarchie est par essence liée au mondialisme. Il suffira de citer le concept de Nouvel Ordre Mondial, qui est l'expression de ce mondialisme débridé. L'oligarchie financière n'est pas cantonnée aux États-Unis. Une fois que l'on a compris que Kissinger représentait des intérêts américains et atlantistes, regroupés symboliquement (et hâtivement) sous le nom de la légende Rockefeller, avec le ténébreux et répugnant David, il faut comprendre les liens entre les oligarchies mondialisées.
Les oligarchies ne remontent pas, tels les fils de la toile, vers les États-Unis et les intérêts Rockefeller. Ces intérêts existent bel et bien, mais outre qu'ils sont extrêmement diversifiés et disparates, ils dépassent de loin les factions américaines. En fait, la seconde illusion, après l'illusion de la domination sioniste, consiste à croire que ce sont les factions oligarchiques américaines qui dominent.
En réalité, ce sont toujours les plus exposés qui sot les moins influents. C'est ainsi que les Israéliens sont les pantins manipulés de ce système oligarchique. Restent à savoir qui sont les manipulateurs des pantins - les marionnettistes. Les Américains sont une options trop courte. Comme les Rockefeller sont un raccourci présomptueux. A fortiori Kissinger, qui exprime plus le reflet d'une mentalité et qui est el conseiller de cette mentalité.
Le conseiller principal? Pas même. Un conseiller influent seulement. J'en veux pour preuve le discours que Kissinger émit à Chatham House. Le RIIA est le pendant anglais du CFR américain. On pourrait estimer selon la grille de lecture biaisée précédente que c'est le CFR qui inspire le RIIA. Eh bien, pas du tout! C'est le CFR qui est inspiré par Chatham House. Kissinger en 1982, au moment où il a passé la main et où il acquiert le pouvoir de l'ombre, qui est plus important que le pouvoir en pleine lumière, se rend à Chatham House prononcer un discours historique, dans lequel il fait allégeance aux factions financières nées de la mutation de l'Empire britannique.
Kissinger est un agent britannique, si l'on comprend que désormais le coeur de l'Empire postimpérialiste se nomme la City.
Dès lors, il faut relier les agissements de Kissinger à l'oligarchie dont le centre se tient à la City de Londres - et non à Londres en tant que capitale du Royaume-Uni. Kissinger est un agent de l'oligarchie britannique aux États-Unis. si l'on voulait s'amuser à situer Kissinger, on pourrait oser qu'il dépend étroitement d'un Bernard Lewis comme inspirateur de la politique diplomatique oligarchique. Il serait temps de comprendre à quel point Kissinger est un valet et un fantoche.
On approche de la réalité quand on relie Kissinger aux cercles oligarchiques américains en connexion avec les cercles britanniques postimpérialistes, dont Chatham House est le porte-voix et le porte-étendard. Encore faut-il comprendre que la City comme symbole (et ses excroissances parallèles comme les paradis fiscaux et les produits dérivés aux noms exotiques) est el symbole de la mutation postcoloniale et postimpérialiste dont le cent de gravité historique se trouve sur le Vieux Continent.
Ce n'est pas que l'Empire britannique soit inférieur, tant s'en faut. C'est que les factions financières postimpérialistes se trouvent sur l'ensemble du Vieux Continent et ont des structures très précises chaque fois que des Empires classiques et politiques ont eu lieu. C'est ainsi qu'il serait négligent d'oublier que l'Empire français a vu le jour et a connu des jours florissants. L'existence avérée de la Françafrique atteste de la mutation effective de l'Empire politique en factions impérialistes d'ordre économique et financier.
C'est ainsi que l'on peut regrouper dans le Nouvel Ordre oligarchique mondial (il manque au NOM breveté la précision de l'oligarchie) des intérêts de factions qui sont issus des Empires modernes et politiques et qui sont la mutation impérialiste vers des factions impérialistes, soit la forme mutante d'empire financier et économique. Dans le fond, il s'agit d'une réduction derrière le processus décrit de mutation.
Qui sait? Kissinger se rend-il compte qu'il est le sous-traitant diplomatique de factions qui ne sont pas seulement des factions anglo-saxonnes, comme il aime à le rappeler, mais des factions réellement mondialistes, dont certaines expriment directement l'écho de l'Empire français. Je pense notamment à l'influence de Rohatyn en tant qu'ancien banquier de Lazard, mais aussi à des intérêts allemands ou italiens - notamment. C'est ainsi que Kissinger a ouvert un bureau de renseignements privés qui travaillent concrètement à assurer la liaison entre les renseignements oligarchiques américains (dont l'emblématique Kroll Associates, mais aussi Mac Larty Associates) et les factions oligarchiques du Vieux Continent.
Que l'on consulte cet article. Il est rédigé par un ancien diplomate canadien. Quelqu'un qui connaît les coulisses du pouvoir. Que nous explique cet universitaire? Que les transitions présidentielles servent à contraindre le nouveau président élu à suivre la voie des intérêts oligarchiques. En gros, ces intérêts oligarchiques pencheraient vers le républicanisme, puisque le nouveau président est contraint s'il est démocrate, alors qu'il est soutenu s'il est républicain.
Une autre précision est des plus pertinentes. Concernant Kissinger, qui est un K bien plus marquant que le cas Kouchner de France. A quand une enquête de Péan sur Kissinger? Quoi qu'il en soit, Kissinger était déjà conseiller sous Johnson, le trouble président démocrate qui succéda à JFK assassiné. On murmure que Johnson faisait partie de la conjuration (conjuration longtemps déniée et aujourd'hui largement reconnue).
On connaît la rengaine : Kissinger a trahi les démocrates qu'il conseillait pour tuyauter les conservateurs de l'administration Nixon. Plus tard, Kissinger le secrétaire d'État et Prix Nobel de la Paix sera fortement soupçonné d'avoir trahi Nixon en étant indirectement impliqué dans l'affaire du Watergate. Kissinger se sert ainsi des trahisons, des complots et des coups tordus pour affaiblir les politiciens et s'en servir comme boucs émissaires et fusibles. Comme paravents aussi.
Pour le compte de qui agit Kissinger? Il serait fortement simpliste d'estimer que Kissinger agit pour ses intérêts et qu'il est le maître du monde. Il en va de même avec la croyance que les sionistes dominent le monde. Les juifs sionistes et les chrétiens sionistes fanatiques, certainement pas. Ceux qui manipulent les sionistes, certainement. Ce sont les mêmes qui manipulent les sionistes et qui manipulent Kissinger (sioniste convaincu et extrémiste). En ce sens, l'on peut dire que Kissinger est le laquais et le valet de ces intérêts, qui sont les intérêts de l'oligarchie. Kissinger est le représentant diplomatique, le conseiller et l'expert de ces milieux. La compétence de Kissinger est diplomatique dans la mesure où elle est sécuritaire.
Ancien directeur du NSC, Kissinger diplomate ne ce que sa compétence s'exprime dans les questions stratégiques d'ordre sécuritaire. On se souviendra que Kissinger est soupçonné fortement d'avoir conspiré dans le 911 et qu'à l'aune d'un pareil soupçon (étayé), il conviendrait de se demander de quel type de sécurité il s'agit.
Sécurité : pas la sécurité des nations ou des peuples que Kissinger méprise. La sécurité des factions. Des factions de l'oligarchie. Kissinger n'est jamais que le représentant des factions oligarchiques financières. Comme tel, il n'a jamais vraiment quitté la scène depuis ses débuts dans les années soixante. Il est intéressant de constater que Kissinger est l'employé explicite des intérêts Rockefeller, dont la puissance dépasse de très loin l'apparence somme toute assez modeste. Les Rockefeller appartiennent typiquement à l'oligarchie financière américaine, dont le siège se situe symboliquement à Wall Street, mais pourrait également être déplacé dans le même temps à Chicago, temple de la pensée ultralibérale et du soutien au régime de Pinochet.
Kissinger a joué un rôle majeur dans ce soutien, ce qui montre que les intérêts oligarchiques financiers ne fonctionnent que parce qu'ils sont à la tête de la diplomatie et des questions stratégiques. Qui dit stratégie implique le contrôle de l'armée. Finalement, le 11 septembre 2001 ne fut que la réplique d'un autre sinistre 11 septembre, chilien celui-là. Peut-on penser que c'est un hommage pervers et historique qui poussa les planificateurs du 911 à retenir une date chargée d'émotion et pour eux de succès?
Les Rockefeller ne sont pas plus les fantasmatiques maîtres du monde que Kissinger. Par contre, Kissinger est le représentant des intérêts Rockefeller depuis les années soixante. Il a ainsi collaboré au Rockefeller Brothers Fund et il appartint en tant que secrétaire d'État à l'administration Ford, dont Nelson Rockefeller était le Vice-Président. Par la suite, il collabora avec David Rockefeller, le banquier de la Chase Manhattan Bank, dont la fortune est de très loin inférieure à l'influence effective dans les milieux des affaires et dans les clubs de pensée qui servent de prétexte et de caution intellectuelles à l'oligarchie financière et la mentalité impérialiste.
On retrouve ainsi les complices David et Henry (orthographe anglaise s'il vous plaît) dans de nombreux think tanks.
- Le CFR, qui est le lieu de décision de la politique étrangère américaine et qui a pour spécialité depuis la Seconde guerre mondiale de réécrire l'histoire du côté des vainqueurs, soit des intérêts oligarchiques.
- Le Bilderberg, qui fut créé par David Rockefeller, le prince Bernard de Hollande (un ancien officier nazi) et d'autres protagonistes du même tonneau (oligarchique).
Deux exemples qui pourraient être assortis d'une multitude d'autres illustrations, notamment la Trilatérale, qui fut fondée par Rockefeller David, Brzezinski et Kissinger. Au fait, Brzezinski est le conseiller inspirateur d'Obama.
Contre ceux qui pensent que l'oligarchie fonctionne sur un modèle aristocratique classique, avec des dominateurs et des maîtres, je rappellerai que le modèle de l'identité immanentiste suppose l'éclatement, le morcèlement et la différance. Autrement dit, le milieu de l'oligarchie n'est pas un milieu uni et homogène, forcément d'accord sur tous les points et soumis au même prince des ténèbres cachés.
A chaque fois que l'on soulève le problème du complot en démocratie et que l'on parvient à la question cruciale de l'oligarchie (et du nihilisme en ontologie), la propagande oligarchique discrédite l'analyse en présentant un modèle de complot fou et simpliste. C'est ainsi que le complotiste (ce qui met en lumière un complot) aura forcément une vision politique simpliste et folle, selon laquelle les comploteurs sont toujours les mêmes et toujours d'accord. C'est exactement l'inverse qui est vrai.
Si les comploteurs existent bel et bien, les exemples historiques pullulent, ils ne sont d'accord sur rien et ils ne maîtrisent pas le complot qu'ils ont intenté et qu'ils croient dans leur grande folie ou leur égarement comique susciter pour changer le cours des choses. Le milieu de l'oligarchie financière n'est pas une structure pyramidale qui serait ainsi inféodée in fine à la famille des Rockefeller aux États-Unis.
On retrouve énormément de dynasties financières, sur le modèle des soap feuilletons comme Dallas ou Santa Barbara, qui font du sensationnalisme à partir de la connaissance que les scénaristes ont de la société américaine et du milieu des affaires. Mais on retrouve toujours des individus dont l'identité est toujours incomplète ou morcelée. Ils expriment à leur corps défendant l'inverse de leur fantasme de toute-puissance. en tant que mentalités de l'oligarchie, ils aimeraient dominer, se situer au-dessus de la mêlée humaine.
Chacun est dépendant des autres et aucun en peut vraiment présenter la structure de l'identité complète. Ils se trouvent victime du syndrome de Dracula ou des vampires, qui ne peuvent vivre normalement et qui sont condamnés à vivre de nuit et à obéir des règles extrêmement strictes et préjudiciables. Derrière leur aspect tyrannique et nuisible, ces êtres mutants expriment en fait le châtiment qui s'attache aux semelles de ceux qui veulent remplacer les lois du réel par celles de leur désir.
On passe de l'identité classique et assumée à l'identité nihiliste et différante. Il n'est pas question de passer d'un extrême à l'autre. De verser dans l'insignifiance des Rockefeller après avoir soutenu leur omnipotence. Ni l'un, ni l'autre. Les Rockefeller sont emblématiques de l'oligarchie américaine. Ils représentent par leur fortune, leur nom et leur gloire une parte de l'histoire américaine, du capitalisme et de la réussite.
D'un côté, les Rockefeller sont omniprésents dans l'histoire de l'oligarchie depuis le siècle, de John D. à David, en passant par la Chase, l'ONU, la Trilatérale, Kissinger, etc. De l'autre, il est certain que dans la mentalité du déni (qui est la définition de l'oligarchie travestie en démocratie, de l'oligarchie qui ne peut prospérer que sur le lit de la démocratie, comme le pirate ou le parasite ne prospèrent que dans le nid des institutions), les noms qui sont mis en avant ne sont pas les plus influents.
Est-ce la raison pour laquelle on retrouve si souvent les Rockefeller dès qu'on se pique de comprendre les rouages et le fonctionnement de l'oligarchie américaine? En tout cas, David Rockefeller est partout et Kissinger aussi. Quant aux enfants, on les voit peu, si bien qu'on peut supposer que leur influence est soit inexistante, soit s'exprime par le truchement de la philanthropie et de l'engagement caritatif. Notamment avec la question de l'écologie, qui permet sous couvert de sauver la planète de renforcer l'emprise oligarchique et d'imposer la politique malthusienne (entériner le déclin de l'homme par l'exigence écologique).
On pourrait ainsi sans peine ajouter le nom d'autres dynasties plus discrètes de la vie industrielle et financière américaine. De la vie oligarchique. C'est ainsi que les amis de LaRouche dénoncent souvent les menées de Shultz, le parrain de l'administration W., ou de Rohatyn, le banquier de Lazard, un démocrate pur jus. Cette myriade disparate de noms et d'identités incomplète suffit à contredire une bonne fois pour toutes les arguments (de mauvaise foi pour toutes) selon lesquels les dénonciateurs de complots verraient de manière hallucinatoire des complots partout sous prétexte que les complots ne peuvent être fondés sur les accords, l'unité, la communauté, etc.
En réalité, l'oligarchie est un monde de requins, de crocodiles ou de caïmans. Les Rockefeller en sont ainsi qu'une influe,ce, non négligeable, de l'oligarchie, version américaine. Evidemment, les Rockefeller sont puissants parce que l'oligarchie américaine est puissante. Le symbole Wall Street (incomplet lui aussi) en atteste. Kissinger est l'homme de main de cette faction de banquiers qui s'agitent autour des Rockefeller. De ce fait, Kissinger n'est pas le valet de l'oligarchie unifiée, mais le valet d'une faction oligarchique, il est vrai puissante. Particulièrement élitiste et symbolique de ce qu'on nomme les WASP.
Maintenant, si l'on examine le lien entre le mondialisme comme idéologie perverse, la mondialisation comme phénomène historique recoupant le mondialisme, il appert que l'oligarchie est par essence liée au mondialisme. Il suffira de citer le concept de Nouvel Ordre Mondial, qui est l'expression de ce mondialisme débridé. L'oligarchie financière n'est pas cantonnée aux États-Unis. Une fois que l'on a compris que Kissinger représentait des intérêts américains et atlantistes, regroupés symboliquement (et hâtivement) sous le nom de la légende Rockefeller, avec le ténébreux et répugnant David, il faut comprendre les liens entre les oligarchies mondialisées.
Les oligarchies ne remontent pas, tels les fils de la toile, vers les États-Unis et les intérêts Rockefeller. Ces intérêts existent bel et bien, mais outre qu'ils sont extrêmement diversifiés et disparates, ils dépassent de loin les factions américaines. En fait, la seconde illusion, après l'illusion de la domination sioniste, consiste à croire que ce sont les factions oligarchiques américaines qui dominent.
En réalité, ce sont toujours les plus exposés qui sot les moins influents. C'est ainsi que les Israéliens sont les pantins manipulés de ce système oligarchique. Restent à savoir qui sont les manipulateurs des pantins - les marionnettistes. Les Américains sont une options trop courte. Comme les Rockefeller sont un raccourci présomptueux. A fortiori Kissinger, qui exprime plus le reflet d'une mentalité et qui est el conseiller de cette mentalité.
Le conseiller principal? Pas même. Un conseiller influent seulement. J'en veux pour preuve le discours que Kissinger émit à Chatham House. Le RIIA est le pendant anglais du CFR américain. On pourrait estimer selon la grille de lecture biaisée précédente que c'est le CFR qui inspire le RIIA. Eh bien, pas du tout! C'est le CFR qui est inspiré par Chatham House. Kissinger en 1982, au moment où il a passé la main et où il acquiert le pouvoir de l'ombre, qui est plus important que le pouvoir en pleine lumière, se rend à Chatham House prononcer un discours historique, dans lequel il fait allégeance aux factions financières nées de la mutation de l'Empire britannique.
Kissinger est un agent britannique, si l'on comprend que désormais le coeur de l'Empire postimpérialiste se nomme la City.
Dès lors, il faut relier les agissements de Kissinger à l'oligarchie dont le centre se tient à la City de Londres - et non à Londres en tant que capitale du Royaume-Uni. Kissinger est un agent de l'oligarchie britannique aux États-Unis. si l'on voulait s'amuser à situer Kissinger, on pourrait oser qu'il dépend étroitement d'un Bernard Lewis comme inspirateur de la politique diplomatique oligarchique. Il serait temps de comprendre à quel point Kissinger est un valet et un fantoche.
On approche de la réalité quand on relie Kissinger aux cercles oligarchiques américains en connexion avec les cercles britanniques postimpérialistes, dont Chatham House est le porte-voix et le porte-étendard. Encore faut-il comprendre que la City comme symbole (et ses excroissances parallèles comme les paradis fiscaux et les produits dérivés aux noms exotiques) est el symbole de la mutation postcoloniale et postimpérialiste dont le cent de gravité historique se trouve sur le Vieux Continent.
Ce n'est pas que l'Empire britannique soit inférieur, tant s'en faut. C'est que les factions financières postimpérialistes se trouvent sur l'ensemble du Vieux Continent et ont des structures très précises chaque fois que des Empires classiques et politiques ont eu lieu. C'est ainsi qu'il serait négligent d'oublier que l'Empire français a vu le jour et a connu des jours florissants. L'existence avérée de la Françafrique atteste de la mutation effective de l'Empire politique en factions impérialistes d'ordre économique et financier.
C'est ainsi que l'on peut regrouper dans le Nouvel Ordre oligarchique mondial (il manque au NOM breveté la précision de l'oligarchie) des intérêts de factions qui sont issus des Empires modernes et politiques et qui sont la mutation impérialiste vers des factions impérialistes, soit la forme mutante d'empire financier et économique. Dans le fond, il s'agit d'une réduction derrière le processus décrit de mutation.
Qui sait? Kissinger se rend-il compte qu'il est le sous-traitant diplomatique de factions qui ne sont pas seulement des factions anglo-saxonnes, comme il aime à le rappeler, mais des factions réellement mondialistes, dont certaines expriment directement l'écho de l'Empire français. Je pense notamment à l'influence de Rohatyn en tant qu'ancien banquier de Lazard, mais aussi à des intérêts allemands ou italiens - notamment. C'est ainsi que Kissinger a ouvert un bureau de renseignements privés qui travaillent concrètement à assurer la liaison entre les renseignements oligarchiques américains (dont l'emblématique Kroll Associates, mais aussi Mac Larty Associates) et les factions oligarchiques du Vieux Continent.
2 commentaires:
Rockefeller est un comploteur dégénéré et compulsif qui est sataniste et ridicule avec sa mentalité et ses convictions eugénistes de merde!! de plus il est certain qu'il a trempé dans le coup d'état du 22 nov 1963, c'est certain pourquoi? simple: Rockefeller détient des actions de cat A; dans la FED et JFK avec son son order 11110 abolit le pouvoir de FEd de créer les NCapitaux..pour l'État..
Rockefeller est un comploteur dégénéré et compulsif qui est sataniste et ridicule avec sa mentalité et ses convictions eugénistes de merde!! de plus il est certain qu'il a trempé dans le coup d'état du 22 nov 1963, c'est certain pourquoi? simple: Rockefeller détient des actions de cat A; dans la FED et JFK avec son son order 11110 abolit le pouvoir de FEd de créer les NCapitaux..pour l'État..
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