Tiens, moi qui aime tellement la chanson, et tellement peu le rock, en particulier le boum-boum hexagonal, totalement récupéré par le système du show-business et totalement calqué sur le modèle ultralibéral et américain, j'ai beaucoup ri du coup pendard qu'un chanteur que je ne connais pas, et dont je me désintéresse, Saez, a produit aux Victoires de la Musique.
Après la présentation sobre de Nagui, Saez monte sur scène et entonne deux chansons pour dénoncer les désaxés qui prétendent gérer le système financier et monétaire dans le monde. On écoutera notamment la seconde, qui débute environ à 5' 48''. C'est peut-être seulement du rock français, trop de bruit et de cris, mais c'est largement mieux que le collarock Johnny H., qui, quand il ne snife pas des lignes de coco, appelle à voter Sarko & Co.
J'aimerais ajouter qu'il serait fâcheux que l'on tombe dans la démagogie comme prolongement de la démocratie. C'est ce contre quoi avertissaient les Anciens. Que l'on passe de l'admiration inconditionnelle à l'opprobre universelle. Ce qu'il faut, c'est du discernement. Non pas brûler et détruire, non pas le chaos et la haine, mais le jugement et le discernement. Non pas brûler les Bourses des banquiers. Ce serait le meilleur moyen de leur donner une nouvelle légitimité. Leur faire la peau pour leur fournir une nouvelle peau. Pas de pot d'ours. Il est largement plus constructif de juger les banquiers, les financiers et toute la clique des spéculateurs et des profiteurs qui escomptent que leurs désirs correspondent au reél.
Il est temps de condamner les coupables et de comprendre qu'avant que les extrémistes ulcérés par l'injustice du mondialisme et du Nouvel Ordre Mondial déclenchent des révolutions, des insurrections et des massacres, avant que le Sud ne renverse le Nord occidental, la culture humaine peut profiter de la crise systémique qui se profile pour échapper au mondialisme et transformer la mondialisation comme processus irréversible en force constructive et progressiste.
Pour ce faire, pour sauver l'espèce des espèces frelatées, l'homme du diable, je ne distingue qu'un seul chemin, la réconciliation de deux soi-disant antipodes : la réhabilitation de l'Afrique; la voie de l'espace. Comme l'a dit un anonyme je crois, les premiers seront les derniers. Sans doute que quelques esprits dérangés auront entendu à tort : les premiers seront les deniers. Qu'ils mettent leur erreur à profit (c'est le cas de le dire) et que nos croupiers décrépis aillent croupir - en prison!
Après la présentation sobre de Nagui, Saez monte sur scène et entonne deux chansons pour dénoncer les désaxés qui prétendent gérer le système financier et monétaire dans le monde. On écoutera notamment la seconde, qui débute environ à 5' 48''. C'est peut-être seulement du rock français, trop de bruit et de cris, mais c'est largement mieux que le collarock Johnny H., qui, quand il ne snife pas des lignes de coco, appelle à voter Sarko & Co.
J'aimerais ajouter qu'il serait fâcheux que l'on tombe dans la démagogie comme prolongement de la démocratie. C'est ce contre quoi avertissaient les Anciens. Que l'on passe de l'admiration inconditionnelle à l'opprobre universelle. Ce qu'il faut, c'est du discernement. Non pas brûler et détruire, non pas le chaos et la haine, mais le jugement et le discernement. Non pas brûler les Bourses des banquiers. Ce serait le meilleur moyen de leur donner une nouvelle légitimité. Leur faire la peau pour leur fournir une nouvelle peau. Pas de pot d'ours. Il est largement plus constructif de juger les banquiers, les financiers et toute la clique des spéculateurs et des profiteurs qui escomptent que leurs désirs correspondent au reél.
Il est temps de condamner les coupables et de comprendre qu'avant que les extrémistes ulcérés par l'injustice du mondialisme et du Nouvel Ordre Mondial déclenchent des révolutions, des insurrections et des massacres, avant que le Sud ne renverse le Nord occidental, la culture humaine peut profiter de la crise systémique qui se profile pour échapper au mondialisme et transformer la mondialisation comme processus irréversible en force constructive et progressiste.
Pour ce faire, pour sauver l'espèce des espèces frelatées, l'homme du diable, je ne distingue qu'un seul chemin, la réconciliation de deux soi-disant antipodes : la réhabilitation de l'Afrique; la voie de l'espace. Comme l'a dit un anonyme je crois, les premiers seront les derniers. Sans doute que quelques esprits dérangés auront entendu à tort : les premiers seront les deniers. Qu'ils mettent leur erreur à profit (c'est le cas de le dire) et que nos croupiers décrépis aillent croupir - en prison!
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