Les Occidentaux ne comprennent pas : le seul moyen pour que l'Occident s'en sorte, c'est que la Chine s'en sorte.
Alors que de toutes parts pleuvent les informations sérieuses qui indiquent que l'hypothèse scientifique du réchauffement climatique dû à l'homme est au bas mot (Obama?) récupérée par les intérêts stratégiques financiers atlantistes, alors que la crédulité des populations occidentales n'a d'égale que l'effondrement irrémédiable du système économique de l'Empire britannique, la bonne nouvelle n'est pas tant la défaite des intérêts financiers qui composent l'Empire britannique (et leurs relais politiques) à Copenhague que le développement de la zone pacifique du monde.
Les accords entre la Chine et la Russie jumelés aux accords entre l'Inde et la Chine indiquent (entre autres) que l'économie physique est en train de repartir en terre pacifique alors qu'elle est condamnée à céder le pas devant l'hydre monétariste en terre atlantique. Les Occidentaux ne comprennent pas : ils ont perdu la main - et c'est une bonne nouvelle. Nous sommes dans un monde impérialiste qui est perdu en tant que tel. L'impérialisme a lancé sa folie furieuse vers l'anéantissement. La décroissance, le péril vert et autres effets de menace mortelle imminente constituent les moyens de propagande cherchant à traumatiser les populations pour justifier de politiques prédatrices qui n'ont rien de généreuses.
On agite un avatar raciste du Péril Jaune avec la menace chinoise qui pèserait sur l'Occident. Le pire est que la technique fonctionne - encore. Les Occidentaux pétris de bonne conscience citoyenne (le maître-mot quand on se veut au-dessus des partis politiques) avalisent des engagements qui leur sont défavorables et qui profitent en Occident à de petites minorités oligarchique. La vérité n'est pas seulement que le Péril chinois n'existe pas davantage que le Père Noël. La vérité est que seul ce qui nous est présenté comme le péril peut nous sauver. Ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est Hölderlin : "Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve".
Magistral. Soit l'Occident poursuit sa couse folle oligarchique et impérialiste en s'inventant des ennemi imaginaires (les Chinois, les terroristes islamistes d'Al Quaeda...) - et l'Occident périra; soit la zone pacifique du monde se développe selon des critères physiques anti-monétaristes - et l'Occident aura une chance de se relever. Dans la configuration actuelle du monde, le monde est condamné parce que le monétarisme en décomposition est le spectre de l'impérialisme terminal. Dans sa configuration actuelle, l'Occident est condamné parce qu'il obéit aux pulsions suicidaires de l'oligarchisme et de l'impérialisme faisandés.
Non seulement le péril ne vient pas de Chine, d'Asie ou du Pacifique, mais le salut vient du Pacifique, d'Asie et de Chine. La transformation de l'Occident d'un principe oligarchique vers un principe républicain ne peut se faire que par le truchement et l'entremise de la transformation du Pacifique, en particulier de la Chine. Transformation qui est républicaine et anti-impérialiste. Soit le péril oligarchique domine en Chine suivant le processus oligarchique occidental; soit la Chine se sort des griffes oligarchiques occidentales actuelles suivant un processus républicain.
C'est dans une vision occidentaliste, impérialiste et oligarchique qu'on oppose les intérêts occidentaux démocratiques aux intérêts eurasiatiques (Russie, Chine, Inde...). C'est quand on sert la vile propagande impérialiste aux relents racistes et biaisés qu'on tombe dans le panneau. En réalité, le seul moyen pour que l'Occident s'en sorte, c'est que la Chine s'en sorte. C'est que la zone pacifique s'en sorte. Pour que l'Occident reprenne une direction républicaine antioligarchique, il est nécessaire que le salut vienne du Pacifique. Non seulement, l'ennemi n'est pas chinois, mais en plus le Chinois est notre ami.
A tous les détraqué qui par perversité, mimétisme ou impérialisme propagent le virus du péril chinois : vous voulez vraiment changer l'Occident? Changer le monde? Vous êtes vraiment contre l'impérialisme? Contre l'oligarchisme? Contre le colonialisme? Vous êtes vraiment pour le développement de l'humanité? Rien ne vous met plus en colère que la mainmise écœurante des factions financières occidentales sur le restant du monde (au nom du péril rouge, du péril jaune, du péril vert...?)? Alors vous devez comprendre la situation actuelle : par le Pacifique, l'humanité dispose de l'opportunité capitale d'échapper à l'emprise oligarchique - dont la capitale symbolique est sise à la City de Londres.
Soit une vision antagonistes oligarchique où l'Occident s'oppose au Pacifique (le fantasmatique Orient); soit une vision fédératrice et progressiste où l'Occident profite du développement économique pacifique. Désolé pour les Cassandre, mais la bonne nouvelle contemporaine existe pourtant (dans un monde où l'effondrement systémique est palpable et le sera de plus en plus) : c'est le salut pacifique. C'est le salut chinois. Le jour où la Chine s'éveillera, l'Occident pourra alors s'éveiller. S'il veut demeurer dans ses problématiques impérialistes, son illusion sidérante selon laquelle le progrès passe par la décroissance? Eh bien, l'homme a une porte de salut. L'Occident aussi. Cette bonne nouvelle ne signifie pas que l'Occident est sauvé d'office. Elle signifie que l'Occident ne peut se sauver que par la salut du Pacifique.
Alors que de toutes parts pleuvent les informations sérieuses qui indiquent que l'hypothèse scientifique du réchauffement climatique dû à l'homme est au bas mot (Obama?) récupérée par les intérêts stratégiques financiers atlantistes, alors que la crédulité des populations occidentales n'a d'égale que l'effondrement irrémédiable du système économique de l'Empire britannique, la bonne nouvelle n'est pas tant la défaite des intérêts financiers qui composent l'Empire britannique (et leurs relais politiques) à Copenhague que le développement de la zone pacifique du monde.
Les accords entre la Chine et la Russie jumelés aux accords entre l'Inde et la Chine indiquent (entre autres) que l'économie physique est en train de repartir en terre pacifique alors qu'elle est condamnée à céder le pas devant l'hydre monétariste en terre atlantique. Les Occidentaux ne comprennent pas : ils ont perdu la main - et c'est une bonne nouvelle. Nous sommes dans un monde impérialiste qui est perdu en tant que tel. L'impérialisme a lancé sa folie furieuse vers l'anéantissement. La décroissance, le péril vert et autres effets de menace mortelle imminente constituent les moyens de propagande cherchant à traumatiser les populations pour justifier de politiques prédatrices qui n'ont rien de généreuses.
On agite un avatar raciste du Péril Jaune avec la menace chinoise qui pèserait sur l'Occident. Le pire est que la technique fonctionne - encore. Les Occidentaux pétris de bonne conscience citoyenne (le maître-mot quand on se veut au-dessus des partis politiques) avalisent des engagements qui leur sont défavorables et qui profitent en Occident à de petites minorités oligarchique. La vérité n'est pas seulement que le Péril chinois n'existe pas davantage que le Père Noël. La vérité est que seul ce qui nous est présenté comme le péril peut nous sauver. Ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est Hölderlin : "Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve".
Magistral. Soit l'Occident poursuit sa couse folle oligarchique et impérialiste en s'inventant des ennemi imaginaires (les Chinois, les terroristes islamistes d'Al Quaeda...) - et l'Occident périra; soit la zone pacifique du monde se développe selon des critères physiques anti-monétaristes - et l'Occident aura une chance de se relever. Dans la configuration actuelle du monde, le monde est condamné parce que le monétarisme en décomposition est le spectre de l'impérialisme terminal. Dans sa configuration actuelle, l'Occident est condamné parce qu'il obéit aux pulsions suicidaires de l'oligarchisme et de l'impérialisme faisandés.
Non seulement le péril ne vient pas de Chine, d'Asie ou du Pacifique, mais le salut vient du Pacifique, d'Asie et de Chine. La transformation de l'Occident d'un principe oligarchique vers un principe républicain ne peut se faire que par le truchement et l'entremise de la transformation du Pacifique, en particulier de la Chine. Transformation qui est républicaine et anti-impérialiste. Soit le péril oligarchique domine en Chine suivant le processus oligarchique occidental; soit la Chine se sort des griffes oligarchiques occidentales actuelles suivant un processus républicain.
C'est dans une vision occidentaliste, impérialiste et oligarchique qu'on oppose les intérêts occidentaux démocratiques aux intérêts eurasiatiques (Russie, Chine, Inde...). C'est quand on sert la vile propagande impérialiste aux relents racistes et biaisés qu'on tombe dans le panneau. En réalité, le seul moyen pour que l'Occident s'en sorte, c'est que la Chine s'en sorte. C'est que la zone pacifique s'en sorte. Pour que l'Occident reprenne une direction républicaine antioligarchique, il est nécessaire que le salut vienne du Pacifique. Non seulement, l'ennemi n'est pas chinois, mais en plus le Chinois est notre ami.
A tous les détraqué qui par perversité, mimétisme ou impérialisme propagent le virus du péril chinois : vous voulez vraiment changer l'Occident? Changer le monde? Vous êtes vraiment contre l'impérialisme? Contre l'oligarchisme? Contre le colonialisme? Vous êtes vraiment pour le développement de l'humanité? Rien ne vous met plus en colère que la mainmise écœurante des factions financières occidentales sur le restant du monde (au nom du péril rouge, du péril jaune, du péril vert...?)? Alors vous devez comprendre la situation actuelle : par le Pacifique, l'humanité dispose de l'opportunité capitale d'échapper à l'emprise oligarchique - dont la capitale symbolique est sise à la City de Londres.
Soit une vision antagonistes oligarchique où l'Occident s'oppose au Pacifique (le fantasmatique Orient); soit une vision fédératrice et progressiste où l'Occident profite du développement économique pacifique. Désolé pour les Cassandre, mais la bonne nouvelle contemporaine existe pourtant (dans un monde où l'effondrement systémique est palpable et le sera de plus en plus) : c'est le salut pacifique. C'est le salut chinois. Le jour où la Chine s'éveillera, l'Occident pourra alors s'éveiller. S'il veut demeurer dans ses problématiques impérialistes, son illusion sidérante selon laquelle le progrès passe par la décroissance? Eh bien, l'homme a une porte de salut. L'Occident aussi. Cette bonne nouvelle ne signifie pas que l'Occident est sauvé d'office. Elle signifie que l'Occident ne peut se sauver que par la salut du Pacifique.
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