Kata strophe.
Après le pari de Pascal ou l'Éternel Retour de Nietzsche, un autre test - plus considérable car moins considéré par les pompeux cornichons : le 911. Les individualistes aveugles et dépolitisés d'Occident ne croient pas dans les contestations de la VO du 911. Complotistes! C'est fâcheux, car cette VO criblée de mensonges exhale la carcasse exsangue. Quand ils ne veulent plus parler du sujet et qu'ils cherchent à l'évacuer en contemporains avatars d'Œdipe, les mous thons d'Occident observent narquois qu'en plus d'être obsessionnels (toujours ressasser le 911), les complotistes ou les anticomploteurs (c'est selon) sont de fieffés énervés : peuchère, le 911 est passé et ne signifie presque plus rien.
Bien entendu, il faut vivre dans le déni pour sortir de pareils argu-ments tant il suffit de constater que le 911 a été le pré-texte (story telling en anglais) à lancer ce bouleversement mondialisé de la stratégie politique baptisé guerre contre le terrorisme, qui a engendré des millions de morts, plusieurs guerres atroces et des conceptions politiques fort nouvelles. La guerre contre le terrorisme est la réponse à la terrible crise financière qui tous les trois mois touche à sa fin et qui ne cesse de gangréner le grand corps malade de l'humanité mondialisée. Cette volonté d'évacuer l'essentiel (la signification du 911) pour en revenir à l'accidentel (les occupations privées, individualistes et souvent ridicules des citoyens individualistes mondialisés d'Occident) est significatif de la mentalité immanentiste.
A cet égard, le 911 joue le rôle de révélateur. Comme l'épée d'Excalibur permit selon une certaine tradition (avec Robert de Boron) de découvrir qui était le chevalier digne d'occuper le trône du royaume de Bretagne, en l'occurrence le vaillant Arthur de la légende chevaleresque, le 911 est un puissant translucide, de facture tout aussi guerrière (les armes se sont quelque peu modernisées depuis l'épée). Dans la conception immanentiste de Nietzsche, l'Éternel Retour joue ce test : si l'on est capable d'accepter que revienne l'ensemble de son existence, y compris les pires événements, alors on est digne de figurer au titre des Surhommes Artistes et Créateurs (rien à voir avec le SAC de Pasqua et Consorts).
C'est du moins l'appellation que Nietzsche donne de son brevet d'immanentisme tardif et dégénéré, dont l'étalon ontologique véritable tiendra dans la mutation du réel (rien que ça). Pour le 911, son point commun avec le test de Nietzsche tient dans l'aune de cette mesure révélatrice. Pour le reste, il s'agit d'un test au résultat exactement antithétique. Si le test nietzschéen est d'obédience immanentiste (tardive et dégénérée), le test du 911 s'avère par excellence antiimmanentiste. Le 911 révèle la chute de l'immanentisme que signifie symboliquement la chute des Tours.
Le 911 est l'événement qui montre l'identité de ses contemporains. Qui sont ceux qui ont assisté à ce spectacle tragique et monstrueux? Sont-ils des monstres ou des esprits critiques? Sont-ils capables de remise en question ou ont-ils sombré de manière irrémédiable dans le déni, voire la stupidité? Le 911 révèle les esprits capables de prendre la température de leur époque.
Celui qui comprend que la VO du 911 est fausse, voire que les vrais commanditaires sont des factions financières apatrides et pirates, celui-là se montre au niveau de son histoire. Il affronte l'immanentisme et il fera partie de ceux qui donnent l'impulsion pour l'avenir, pour le changement, pour la croissance. Celui qui n'est pas capable de remettre en cause l'évidence, le mensonge énorme de la VO, celui-là est trop rivé à son rocher occidental, à la bonne parole de l'institutionnel, à l'autorité de l'officiel, pour mesurer à quel point le système auquel il appartient, constitution politique, groupe social, mentalité religieuse, est en crise, en déclin (je sais, le déclin n'existe pas), en effondrement.
Dans quelques siècles, l'évidence aura tellement imprégné les esprits que les hommes de l'espace ne saisiront pas comment des esprits pourtant intelligents, pourtant critiques, pourtant curieux, ont pu avaliser les sornettes du 911, les conséquences systémiques du 911, la médiocrité de l'individualisme, les valeurs nauséabondes attachées à l'immanentisme. Il est plus facile de manifester un zèle parfois obstiné que d'oser sortir la tête de l'eau, de prendre la température et de se rendre compte que le roi est nu - totalement à poil!
Dans cette histoire d'avaleur et de valeur(s), le 911 est un précieux autant que précis sésame. Il indique qui appartient aux élus et qui relève des damnés. Les damnés sont les suiveurs souvent confortablement installés et engoncés dans leur réussite académique et mimétique (au moins partielle, quoique selon eux toujours insuffisante au regard de leurs mérites éclatants). Ils se montrent du coup incapables de changer. Ils sont conservateurs jusqu'au cou, de mentalité ankylosée, voire sclérosée. Prévisibles et terriblement conformistes.
Les élus ont un costume de marginaux et d'incompris. Ils n'appartiennent pas aux rangs des parias de leur société, mais leur mentalité n'est pas enfermée dans les codes de leur époque ou de leur rang social. Ils sont pour l'instant à part, bien que d'ici quelques décennies, leur position apparaîtra comme l'expression du bon sens et de l'évidence. Il est facile de se fourvoyer. Il est encore plus simple de se révéler. Il est précieux de tenter un test fiable, quoique impitoyable. Le tentateur détenteur de la tente au temps. Pour la VO 911? Tu es de l'Occident terminal, moutonnier et gangrené. Tu es d'hier et de jamais. Contre la VO 911? Ne ferme pas le ban. Tu vis pour demain. Tel est le 911, ses causes et ses conséquences : quand on est contre, on est pour. Contre la VO d'Occident, on est pour l'homme, pour l'avenir, pour la vie.
Après le pari de Pascal ou l'Éternel Retour de Nietzsche, un autre test - plus considérable car moins considéré par les pompeux cornichons : le 911. Les individualistes aveugles et dépolitisés d'Occident ne croient pas dans les contestations de la VO du 911. Complotistes! C'est fâcheux, car cette VO criblée de mensonges exhale la carcasse exsangue. Quand ils ne veulent plus parler du sujet et qu'ils cherchent à l'évacuer en contemporains avatars d'Œdipe, les mous thons d'Occident observent narquois qu'en plus d'être obsessionnels (toujours ressasser le 911), les complotistes ou les anticomploteurs (c'est selon) sont de fieffés énervés : peuchère, le 911 est passé et ne signifie presque plus rien.
Bien entendu, il faut vivre dans le déni pour sortir de pareils argu-ments tant il suffit de constater que le 911 a été le pré-texte (story telling en anglais) à lancer ce bouleversement mondialisé de la stratégie politique baptisé guerre contre le terrorisme, qui a engendré des millions de morts, plusieurs guerres atroces et des conceptions politiques fort nouvelles. La guerre contre le terrorisme est la réponse à la terrible crise financière qui tous les trois mois touche à sa fin et qui ne cesse de gangréner le grand corps malade de l'humanité mondialisée. Cette volonté d'évacuer l'essentiel (la signification du 911) pour en revenir à l'accidentel (les occupations privées, individualistes et souvent ridicules des citoyens individualistes mondialisés d'Occident) est significatif de la mentalité immanentiste.
A cet égard, le 911 joue le rôle de révélateur. Comme l'épée d'Excalibur permit selon une certaine tradition (avec Robert de Boron) de découvrir qui était le chevalier digne d'occuper le trône du royaume de Bretagne, en l'occurrence le vaillant Arthur de la légende chevaleresque, le 911 est un puissant translucide, de facture tout aussi guerrière (les armes se sont quelque peu modernisées depuis l'épée). Dans la conception immanentiste de Nietzsche, l'Éternel Retour joue ce test : si l'on est capable d'accepter que revienne l'ensemble de son existence, y compris les pires événements, alors on est digne de figurer au titre des Surhommes Artistes et Créateurs (rien à voir avec le SAC de Pasqua et Consorts).
C'est du moins l'appellation que Nietzsche donne de son brevet d'immanentisme tardif et dégénéré, dont l'étalon ontologique véritable tiendra dans la mutation du réel (rien que ça). Pour le 911, son point commun avec le test de Nietzsche tient dans l'aune de cette mesure révélatrice. Pour le reste, il s'agit d'un test au résultat exactement antithétique. Si le test nietzschéen est d'obédience immanentiste (tardive et dégénérée), le test du 911 s'avère par excellence antiimmanentiste. Le 911 révèle la chute de l'immanentisme que signifie symboliquement la chute des Tours.
Le 911 est l'événement qui montre l'identité de ses contemporains. Qui sont ceux qui ont assisté à ce spectacle tragique et monstrueux? Sont-ils des monstres ou des esprits critiques? Sont-ils capables de remise en question ou ont-ils sombré de manière irrémédiable dans le déni, voire la stupidité? Le 911 révèle les esprits capables de prendre la température de leur époque.
Celui qui comprend que la VO du 911 est fausse, voire que les vrais commanditaires sont des factions financières apatrides et pirates, celui-là se montre au niveau de son histoire. Il affronte l'immanentisme et il fera partie de ceux qui donnent l'impulsion pour l'avenir, pour le changement, pour la croissance. Celui qui n'est pas capable de remettre en cause l'évidence, le mensonge énorme de la VO, celui-là est trop rivé à son rocher occidental, à la bonne parole de l'institutionnel, à l'autorité de l'officiel, pour mesurer à quel point le système auquel il appartient, constitution politique, groupe social, mentalité religieuse, est en crise, en déclin (je sais, le déclin n'existe pas), en effondrement.
Dans quelques siècles, l'évidence aura tellement imprégné les esprits que les hommes de l'espace ne saisiront pas comment des esprits pourtant intelligents, pourtant critiques, pourtant curieux, ont pu avaliser les sornettes du 911, les conséquences systémiques du 911, la médiocrité de l'individualisme, les valeurs nauséabondes attachées à l'immanentisme. Il est plus facile de manifester un zèle parfois obstiné que d'oser sortir la tête de l'eau, de prendre la température et de se rendre compte que le roi est nu - totalement à poil!
Dans cette histoire d'avaleur et de valeur(s), le 911 est un précieux autant que précis sésame. Il indique qui appartient aux élus et qui relève des damnés. Les damnés sont les suiveurs souvent confortablement installés et engoncés dans leur réussite académique et mimétique (au moins partielle, quoique selon eux toujours insuffisante au regard de leurs mérites éclatants). Ils se montrent du coup incapables de changer. Ils sont conservateurs jusqu'au cou, de mentalité ankylosée, voire sclérosée. Prévisibles et terriblement conformistes.
Les élus ont un costume de marginaux et d'incompris. Ils n'appartiennent pas aux rangs des parias de leur société, mais leur mentalité n'est pas enfermée dans les codes de leur époque ou de leur rang social. Ils sont pour l'instant à part, bien que d'ici quelques décennies, leur position apparaîtra comme l'expression du bon sens et de l'évidence. Il est facile de se fourvoyer. Il est encore plus simple de se révéler. Il est précieux de tenter un test fiable, quoique impitoyable. Le tentateur détenteur de la tente au temps. Pour la VO 911? Tu es de l'Occident terminal, moutonnier et gangrené. Tu es d'hier et de jamais. Contre la VO 911? Ne ferme pas le ban. Tu vis pour demain. Tel est le 911, ses causes et ses conséquences : quand on est contre, on est pour. Contre la VO d'Occident, on est pour l'homme, pour l'avenir, pour la vie.
2 commentaires:
A propos des factions financières du 911, de nouvelles révélations semblent possibles :
http://latelelibre.fr/index.php/2010/01/les-inities-du-11-septembre-teaser/
Du vrai délire. Vouloir faire croire que le coup du 9/11 est arrangé avec le gars des vues, sans aucune preuve, montre que vous êtes contre les démocraties. S'il y a un nihiliste c'est bien vous!
Et ce n'est pas d'hier que le terrorisme existe en passant.
En plus Saddam est mort et là les Taliban prennent le bord. Wow quel complot satanique "impérialiste".
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