Le raisonnement de l'oligarchie financière mondialisée repose sur un postulat : le système oligarchique est vi(v)able. Si l'on étudie les fondements religieux de l'oligarchie, c'est le nihilisme qui inspire l'oligarchie. Contre le pessimisme qui saisit les mentalités soumises à l'oligarchie, pessimisme selon lequel on ne peut rien faire contre la domination quasi toute-puissante du mal, il est urgent (en pleine désintégration culturelle de la société mondialisée) de dénoncer l'équilibre oligarchique.
Pour justifier l'inégalitarisme croissant qui découle du système oligarchique, les théoriciens (regroupés sous la bannière de l'impérialisme) expliquent que l'impérialisme a toujours existé et que son fonctionnement a toujours été pérenne. Rien n'est plus faux autant que fou, puisque le fonctionnement des Empires était régional, alors qui nous nous situons dans une configuration mondialisée inédite. Au passage, l'évolution constante de l'humanité vers la globalisation, qui ridiculise l'apologie de la décroissance, indique que ce sont des principes anti-oligarchiques et anti-impérialistes qui régissent le développement culturel et identitaire humain.
Des principes religieux et républicains? Dans une société mondialisée, la promotion de l'oligarchie universelle implique l'effondrement rapide de ce type de société. Le système oligarchique mondialisé repose sur l'exploitation dévastatrice et croissante de la majorité du monde par une minorité. Cette exploitation à première vue est le fait d'un territoire, l'Occident. L'Occident domine le monde, l'exploite et provoque dans les autres parties des dévastations qui se mesurent en termes d'instabilité et de déliquescence.
L'acmé de la dégradation se situe dans les pays africains, qui sont les boucs émissaires de l'impérialisme mondialisé. L'équilibre oligarchique précaire actuel se fonde sur une luxuriance injuste du cœur du système oligarchique (l'Occident) aux détriments des parties exploitées et soumises (le restant du monde). Comme la mentalité immanentiste et oligarchique dénie le changement, mais que le déni n'empêche nullement la réalité déniée d'exister, l'évolution déniée du système oligarchique entraîne une désintégration culturelle qui après avoir ravagé les parties revient, tel un boomerang, s'en prendre au cœur.
C'est l'expérience que les populations occidentales subissent à l'heure actuelle, et contre laquelle elles sont plus que démunies, puisqu'elles vivotent dans un rêve désaxé d'individualisme consumériste. En attendant de vérifier qui est qui, qui un mouton, qui un fasciste, qui un résistant, le raisonnement pour cautionner l'effondrement du cœur est le même que celui qui légitimait la dévastation des parties : on peut vivre de cette manière - approche souhaitable.
Elle repose sur la théorie ultra-libérale, développée par von Mises notamment, selon laquelle la promotion forcenée des meilleurs (au sens contestable de financiers) aboutit à l'amélioration de la race, dans un raisonnement néo-darwinien aussi raciste que fallacieux. Selon cette conception simpliste, l'universalisation du modèle oligarchique est possible. Dans la configuration précédente, où le cœur prospérait sur l'exploitation des parties, l'équilibre était fondé sur l'inégalitarisme. A partir du moment où cet équilibre de toute façon précaire (sort du droit du plus fort) s'effondre, que reste-t-il? Pour parodier un idéologue, un "fascisme universel". Dans ce système, l'équilibre même précaire n'existe plus.
Le cœur du système dévasté après les parties, l'équilibre inexistant indique que le système oligarchique mondialisé n'est pas viable et qu'il mène vers l'anéantissement de l'homme. L'arnaque consiste à oublier que le cœur ne peut s'effondrer sans entraîner l'effondrement de l'ensemble du système. Tant que c'était les parties qui étaient dévastées, le système tenait grâce à la bonne santé du cœur. A partir du moment où c'est le cœur qui devient attaqué, le raisonnement précédent ne vaut plus et n'est plus viable. Le système en question est promis à une chute évidente.
C'est dire que l'expérience oligarchique ne peut se perpétuer dans une configuration universelle. Elle réclame toujours l'exploitation d'une majorité (les parties) par une minorité (le cœur) pour tenir le coup. Quand le cœur vient (inexorablement) à être attaqué à son tour, comme les parties l'avaient été en premier, le système oligarchique s'écroule. Système qui n'est viable que sur le court terme, dans l'exploitation croissante de la majorité par une minorité immorale et éhontée. Dès le cœur à son tour attaqué, l'équilibre précaire est rompu, impossible, sans retour. Pourtant, ce stade ultime était inexorable et prévisible. Au passage, nous y sommes.
Reste à préciser que le cœur n'a jamais été un ensemble uni et homogène, mais un repaire de pirates, où les factions s'arrangent pour protéger leur antre à partir duquel ils peuvent se terrer et se masquer. Les pirates des factions oligarchiques utilisent comme otages plus ou moins consentants les populations occidentales qui y trouvent un intérêt matériel immédiat (et qui oublient qu'à terme cet intérêt matériel immoral fera place à une déchéance plus importante et durable). La justification de l'oligarchie mondialisée repose sur un énorme bobard : le système oligarchique mondialisé serait nécessaire - la seule issue. A d'autres. En réalité, il n'est pas seulement immoral; il est carrément invivable.
Pour justifier l'inégalitarisme croissant qui découle du système oligarchique, les théoriciens (regroupés sous la bannière de l'impérialisme) expliquent que l'impérialisme a toujours existé et que son fonctionnement a toujours été pérenne. Rien n'est plus faux autant que fou, puisque le fonctionnement des Empires était régional, alors qui nous nous situons dans une configuration mondialisée inédite. Au passage, l'évolution constante de l'humanité vers la globalisation, qui ridiculise l'apologie de la décroissance, indique que ce sont des principes anti-oligarchiques et anti-impérialistes qui régissent le développement culturel et identitaire humain.
Des principes religieux et républicains? Dans une société mondialisée, la promotion de l'oligarchie universelle implique l'effondrement rapide de ce type de société. Le système oligarchique mondialisé repose sur l'exploitation dévastatrice et croissante de la majorité du monde par une minorité. Cette exploitation à première vue est le fait d'un territoire, l'Occident. L'Occident domine le monde, l'exploite et provoque dans les autres parties des dévastations qui se mesurent en termes d'instabilité et de déliquescence.
L'acmé de la dégradation se situe dans les pays africains, qui sont les boucs émissaires de l'impérialisme mondialisé. L'équilibre oligarchique précaire actuel se fonde sur une luxuriance injuste du cœur du système oligarchique (l'Occident) aux détriments des parties exploitées et soumises (le restant du monde). Comme la mentalité immanentiste et oligarchique dénie le changement, mais que le déni n'empêche nullement la réalité déniée d'exister, l'évolution déniée du système oligarchique entraîne une désintégration culturelle qui après avoir ravagé les parties revient, tel un boomerang, s'en prendre au cœur.
C'est l'expérience que les populations occidentales subissent à l'heure actuelle, et contre laquelle elles sont plus que démunies, puisqu'elles vivotent dans un rêve désaxé d'individualisme consumériste. En attendant de vérifier qui est qui, qui un mouton, qui un fasciste, qui un résistant, le raisonnement pour cautionner l'effondrement du cœur est le même que celui qui légitimait la dévastation des parties : on peut vivre de cette manière - approche souhaitable.
Elle repose sur la théorie ultra-libérale, développée par von Mises notamment, selon laquelle la promotion forcenée des meilleurs (au sens contestable de financiers) aboutit à l'amélioration de la race, dans un raisonnement néo-darwinien aussi raciste que fallacieux. Selon cette conception simpliste, l'universalisation du modèle oligarchique est possible. Dans la configuration précédente, où le cœur prospérait sur l'exploitation des parties, l'équilibre était fondé sur l'inégalitarisme. A partir du moment où cet équilibre de toute façon précaire (sort du droit du plus fort) s'effondre, que reste-t-il? Pour parodier un idéologue, un "fascisme universel". Dans ce système, l'équilibre même précaire n'existe plus.
Le cœur du système dévasté après les parties, l'équilibre inexistant indique que le système oligarchique mondialisé n'est pas viable et qu'il mène vers l'anéantissement de l'homme. L'arnaque consiste à oublier que le cœur ne peut s'effondrer sans entraîner l'effondrement de l'ensemble du système. Tant que c'était les parties qui étaient dévastées, le système tenait grâce à la bonne santé du cœur. A partir du moment où c'est le cœur qui devient attaqué, le raisonnement précédent ne vaut plus et n'est plus viable. Le système en question est promis à une chute évidente.
C'est dire que l'expérience oligarchique ne peut se perpétuer dans une configuration universelle. Elle réclame toujours l'exploitation d'une majorité (les parties) par une minorité (le cœur) pour tenir le coup. Quand le cœur vient (inexorablement) à être attaqué à son tour, comme les parties l'avaient été en premier, le système oligarchique s'écroule. Système qui n'est viable que sur le court terme, dans l'exploitation croissante de la majorité par une minorité immorale et éhontée. Dès le cœur à son tour attaqué, l'équilibre précaire est rompu, impossible, sans retour. Pourtant, ce stade ultime était inexorable et prévisible. Au passage, nous y sommes.
Reste à préciser que le cœur n'a jamais été un ensemble uni et homogène, mais un repaire de pirates, où les factions s'arrangent pour protéger leur antre à partir duquel ils peuvent se terrer et se masquer. Les pirates des factions oligarchiques utilisent comme otages plus ou moins consentants les populations occidentales qui y trouvent un intérêt matériel immédiat (et qui oublient qu'à terme cet intérêt matériel immoral fera place à une déchéance plus importante et durable). La justification de l'oligarchie mondialisée repose sur un énorme bobard : le système oligarchique mondialisé serait nécessaire - la seule issue. A d'autres. En réalité, il n'est pas seulement immoral; il est carrément invivable.
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