En se penchant sur le cas AIG, 150 milliards de renflouement suite au plan Paulson s'il vous plaît, on subit en pleine poire les effluves putrides du 911. En effet, Greenberg Sr., également surnommé Hank en toute modestie, et en référence à un célèbre joueur de base-ball, a le profil typique du financier trouble ayant trempé dans le 911 et à présent poursuivi pour ses malversations et ses turpitudes. Avec qui se trouve-t-il poursuivi? Warren Buffett, qui est également impliqué dans le 911 (lui, c'est le golf, sans E et sans majuscule, en compagnie de Scowcroft, complice distingué de Kissinger, et d'éminences fort sombres et financières usuellement hébergées dans le WTC).
Pourquoi les suspects réels du 911 sont-ils poursuivis tôt ou tard, quand le principal et écrasant suspect aux yeux de la version officielle, Oussama, est aussi introuvable que les morts et les vampires? Serait-ce qu'Oussama serait un mort utilisé comme ventriloque par des vampires fort peu islamistes et fort atlantistes? En attendant de comprendre la malédiction qui s'abat sur les épaules des cerveaux du 911, quelques constatations, factuelles, sur l'ami Greenberg : Greenberg est un proche de Kissinger, qui lui n'est pas poursuivi par un procureur lui reprochant des malversations (c'est le cas de Hank et de Jeffrey Greenberg, en compagnie de Warren Buffett); Greenberg est impliqué dans de nombreuses et concordantes rumeurs l'associant aux services secrets américains depuis trente ans, notamment la CIA en Asie et en Amérique latine (en Asie, Greenberg était conseillé par Kissinger en personne et occupe de nombreux postes honorifiques); Greenberg dirigeait Kroll, compagnie de renseignements privés bien connue de Wall Street, accessoirement compagnie de sécurité s'occupant du WTC (1&2). Pour le Number Seven, c'était Blackstone qui s'y collait.
Outre ces faits écrasants et peu reluisants, surtout après effondrement des cours après les tours, Greenberg possède une autre particularité instructive : il fut le directeur de la Réserve fédérale de New York entre 1988 et 1995. Une des particularités de cette banque est qu'elle possède la réputation (récurrente) d'agir en tant que bras influent de la politique anglo-américaine en matière de politique financière.
Autrement dit, il est clair que Greenberg travaille pour les milieux financiers oligarchiques sis entre Wall Street et la City et qu'il est le bras armé d'une politique dont Kissinger est depuis longtemps le diplomate en chef officieux et fantasque. Bien entendu, Kissinger est plus haut placé que Greenberg, car aucune poursuite ne peut être intentée contre lui, malgré ses nombreux crimes pourtant reconnus, qui l'empêchent de voyager de par le monde. Naturel. Il erre dans la galaxie comme un astre qui sera d'ici quelques temps happé par un trou noir, en compagnie de Shultz et d'autres barons issus de l'ère Nixon.
Kissinger est l'un des conseillers/experts/intellectuels qui oeuvrent pour le compte des intérêts anglo-saxons, ainsi que son discours de Chatham House en 1982 l'enseigne. Rappelons que Chatham House (ou RIIA) est le pendant anglais et royal du CFR américain, le think tank dans lequel opère Greenberg, Peterson, Kissinger et Rockefeller David. Rappelons que Kissinger tire son influence, non de ses coups de génie eugéniste, mais de sa position prééminente dans la galaxie Rockefeller. Evidemment, il faudrait définir ce qu'est la compétence selon le label Rockefeller.
Ce n'est pas que Kissinger soit une nullité, c'est qu'il est du côté des experts, à dominante diplomates, encore baptisables du sobriquet d'oligarques interventionnistes de haut vol. Kissinger est conseiller, selon la terminologie des cercles intellectuels de tradition anglo-saxonne. Il est le double de Brzezinski, c'est-à-dire qu'il est à la fois intellectuel et politique, alors que Fukuyama ou Huntington sont uniquement des intellectuels, comme Daniel Pipes ou le fort influent islamologue islamophobe Bernard Lewis.
Sans citer toute la filiation et se perdre dans des distinctions, il importe de comprendre que le poste de directeur, de secrétaire général ou de membre du conseil de la Reserve Federal Bank de New York est un poste clé dans les échanges entre les élites oligarchiques du Royaume-Uni et des États-Unis, soit entre les élites WASP de Wall Street et de la City. Il est certain qu'historiquement la filiation entre les États-Unis et le Royaume-Uni coule de source. Mais il est primordial de comprendre qu'un des leviers primordiaux de la politique monétaire et bancaire entre les États-Unis et le Royaume-Uni réside dans la Réserve fédérale de New York.
Je ne prendrai qu'un exemple qui illustre l'identité véritable d'Obama, soit le représentant progressiste parce que noir de l'oligarchie que l'on retrouve devant Brzezinski, encore un conseiller issu de la mouvance Rockefeller : Timothy Geithner. Ce banquier présente un pédigrée d'enfer (c'est le cas de le dire) : il est "l'actuel directeur général de la Banque de la Réserve fédérale de New York (FRBNY), la plus puissante institution financière privée d’Amérique. Il est aussi ancien fonctionnaire des Finances de l'administration Clinton. Il fut aussi en poste au FMI. La FRBNY joue un rôle en coulisses dans la mise au point de la politique financière. Geithner agit pour le compte de puissants financiers derrière la FRBNY. Il est en plus membre du Council on Foreign Relations (CFR)". Je cite un article de l'excellent analyste produite par Michel Chossudovsky.
Nous pourrions avancer sans risque que le successeur de Greenberg à la Réserve de New York est un proche de Kissinger au vu de son seul parcours professionnel. Mais Geithner fut membre de Kissinger Associates, ce que résume mieux qu'un long discours l'histoire de la CIA, fondée après guerre sur les dépouilles de l'OSS par des banquiers et des financiers. Si l'on résume, la Réserve de New York abrite la mouvance Rockefeller qui orchestre la politique monétaire américaine en concertation avec les oligarques anglais (famille Rothschild en particulier). La City et Wall Street se retrouvent schématiquement au point de convergence de New York, qui n'a pas seulement couvert les pires attentats de l'histoire, mais qui gère l'économie immanentiste. Kissinger conseille Greenberg et le successeur de Greenberg à la Réserve de New York n'est autre que Geithner.
Tous ces cercles manipulent à l'envi les politiciens depuis l'assassinat de JFK au moins, avant avec Trumann. Kissinger opère au CFR depuis la fin des années soixante et se trouve aux avants-postes dans les années soixante-dix, notamment sous l'ineffable Nixon. Depuis, comprendre la mouvance Rockefeller pour le compte de laquelle travaille Kissinger, c'est comprendre des circuits comme AIG/Greenberg (père et fils) ou Blackstone/Peterson. C'est aussi mesurer les mécanismes financiers de contrôle et de pouvoir, comme celui de la Réserve de New York.
J'espère que l'on notera que la présence de Geithner ou de Summers dans les rangs des conseillers financiers d'Obama montre s'il en était besoin que les choses ne risquent pas de changer, sauf révolution de palais, soit fin de la crise immanentiste : au contraire, les mêmes remèdes inefficaces provoqueront le maintien et l'aggravation du mal mal diagnostiqué et mal soigné. C'est-à-dire traité et soigné par des pirates qui ne peuvent que détruire ce qu'ils entreprennent et dont il serait fou d'attendre le changement, l'amélioration ou la guérison.
Pourquoi les suspects réels du 911 sont-ils poursuivis tôt ou tard, quand le principal et écrasant suspect aux yeux de la version officielle, Oussama, est aussi introuvable que les morts et les vampires? Serait-ce qu'Oussama serait un mort utilisé comme ventriloque par des vampires fort peu islamistes et fort atlantistes? En attendant de comprendre la malédiction qui s'abat sur les épaules des cerveaux du 911, quelques constatations, factuelles, sur l'ami Greenberg : Greenberg est un proche de Kissinger, qui lui n'est pas poursuivi par un procureur lui reprochant des malversations (c'est le cas de Hank et de Jeffrey Greenberg, en compagnie de Warren Buffett); Greenberg est impliqué dans de nombreuses et concordantes rumeurs l'associant aux services secrets américains depuis trente ans, notamment la CIA en Asie et en Amérique latine (en Asie, Greenberg était conseillé par Kissinger en personne et occupe de nombreux postes honorifiques); Greenberg dirigeait Kroll, compagnie de renseignements privés bien connue de Wall Street, accessoirement compagnie de sécurité s'occupant du WTC (1&2). Pour le Number Seven, c'était Blackstone qui s'y collait.
Outre ces faits écrasants et peu reluisants, surtout après effondrement des cours après les tours, Greenberg possède une autre particularité instructive : il fut le directeur de la Réserve fédérale de New York entre 1988 et 1995. Une des particularités de cette banque est qu'elle possède la réputation (récurrente) d'agir en tant que bras influent de la politique anglo-américaine en matière de politique financière.
Autrement dit, il est clair que Greenberg travaille pour les milieux financiers oligarchiques sis entre Wall Street et la City et qu'il est le bras armé d'une politique dont Kissinger est depuis longtemps le diplomate en chef officieux et fantasque. Bien entendu, Kissinger est plus haut placé que Greenberg, car aucune poursuite ne peut être intentée contre lui, malgré ses nombreux crimes pourtant reconnus, qui l'empêchent de voyager de par le monde. Naturel. Il erre dans la galaxie comme un astre qui sera d'ici quelques temps happé par un trou noir, en compagnie de Shultz et d'autres barons issus de l'ère Nixon.
Kissinger est l'un des conseillers/experts/intellectuels qui oeuvrent pour le compte des intérêts anglo-saxons, ainsi que son discours de Chatham House en 1982 l'enseigne. Rappelons que Chatham House (ou RIIA) est le pendant anglais et royal du CFR américain, le think tank dans lequel opère Greenberg, Peterson, Kissinger et Rockefeller David. Rappelons que Kissinger tire son influence, non de ses coups de génie eugéniste, mais de sa position prééminente dans la galaxie Rockefeller. Evidemment, il faudrait définir ce qu'est la compétence selon le label Rockefeller.
Ce n'est pas que Kissinger soit une nullité, c'est qu'il est du côté des experts, à dominante diplomates, encore baptisables du sobriquet d'oligarques interventionnistes de haut vol. Kissinger est conseiller, selon la terminologie des cercles intellectuels de tradition anglo-saxonne. Il est le double de Brzezinski, c'est-à-dire qu'il est à la fois intellectuel et politique, alors que Fukuyama ou Huntington sont uniquement des intellectuels, comme Daniel Pipes ou le fort influent islamologue islamophobe Bernard Lewis.
Sans citer toute la filiation et se perdre dans des distinctions, il importe de comprendre que le poste de directeur, de secrétaire général ou de membre du conseil de la Reserve Federal Bank de New York est un poste clé dans les échanges entre les élites oligarchiques du Royaume-Uni et des États-Unis, soit entre les élites WASP de Wall Street et de la City. Il est certain qu'historiquement la filiation entre les États-Unis et le Royaume-Uni coule de source. Mais il est primordial de comprendre qu'un des leviers primordiaux de la politique monétaire et bancaire entre les États-Unis et le Royaume-Uni réside dans la Réserve fédérale de New York.
Je ne prendrai qu'un exemple qui illustre l'identité véritable d'Obama, soit le représentant progressiste parce que noir de l'oligarchie que l'on retrouve devant Brzezinski, encore un conseiller issu de la mouvance Rockefeller : Timothy Geithner. Ce banquier présente un pédigrée d'enfer (c'est le cas de le dire) : il est "l'actuel directeur général de la Banque de la Réserve fédérale de New York (FRBNY), la plus puissante institution financière privée d’Amérique. Il est aussi ancien fonctionnaire des Finances de l'administration Clinton. Il fut aussi en poste au FMI. La FRBNY joue un rôle en coulisses dans la mise au point de la politique financière. Geithner agit pour le compte de puissants financiers derrière la FRBNY. Il est en plus membre du Council on Foreign Relations (CFR)". Je cite un article de l'excellent analyste produite par Michel Chossudovsky.
Nous pourrions avancer sans risque que le successeur de Greenberg à la Réserve de New York est un proche de Kissinger au vu de son seul parcours professionnel. Mais Geithner fut membre de Kissinger Associates, ce que résume mieux qu'un long discours l'histoire de la CIA, fondée après guerre sur les dépouilles de l'OSS par des banquiers et des financiers. Si l'on résume, la Réserve de New York abrite la mouvance Rockefeller qui orchestre la politique monétaire américaine en concertation avec les oligarques anglais (famille Rothschild en particulier). La City et Wall Street se retrouvent schématiquement au point de convergence de New York, qui n'a pas seulement couvert les pires attentats de l'histoire, mais qui gère l'économie immanentiste. Kissinger conseille Greenberg et le successeur de Greenberg à la Réserve de New York n'est autre que Geithner.
Tous ces cercles manipulent à l'envi les politiciens depuis l'assassinat de JFK au moins, avant avec Trumann. Kissinger opère au CFR depuis la fin des années soixante et se trouve aux avants-postes dans les années soixante-dix, notamment sous l'ineffable Nixon. Depuis, comprendre la mouvance Rockefeller pour le compte de laquelle travaille Kissinger, c'est comprendre des circuits comme AIG/Greenberg (père et fils) ou Blackstone/Peterson. C'est aussi mesurer les mécanismes financiers de contrôle et de pouvoir, comme celui de la Réserve de New York.
J'espère que l'on notera que la présence de Geithner ou de Summers dans les rangs des conseillers financiers d'Obama montre s'il en était besoin que les choses ne risquent pas de changer, sauf révolution de palais, soit fin de la crise immanentiste : au contraire, les mêmes remèdes inefficaces provoqueront le maintien et l'aggravation du mal mal diagnostiqué et mal soigné. C'est-à-dire traité et soigné par des pirates qui ne peuvent que détruire ce qu'ils entreprennent et dont il serait fou d'attendre le changement, l'amélioration ou la guérison.
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