Je tire cet article de l'édition du vendredi 9 novembre 2001 du bihebdomadaire politique Nouvelle Solidarité. C'est le journal de Solidarité et Progrès, le parti politique de Jacques Cheminade, représentant en France du parti américain LPAC de Lyndon LaRouche, anciennement Labour Party et à présent affilié au Parti Démocrate. LaRouche a dénoncé le 911 comme une opération stratégique et un coup d'État contre les États-Unis dirigés par des éléments corrompus du renseignement, de la sécurité et de l'armée à l'intérieur des États-Unis et avec l'appoint logistique d'alliés stratégiques. Cet article est éclatant pour comprendre ce que fut vraiment le 911 et à quel point la version officielle repose sur des billevesées et des fadaises. Terroristes!
"Comme nous l’avions prévu, l’Afghanistan est un bourbier pour les Américains. Face à cette réalité, certaines forces politiques européennes et arabes laissent filtrer des informations confirmant que la version officielle des attentats du 11 septembre – «Ben Laden et Al-Qaida seuls responsables» – ne tient pas.
Quelques heures à peine après les attentats dramatiques du 11 septembre, le gouvernement américain, qui disait n’avoir rien vu venir, annonçait qu’Oussama Ben Laden et l’organisation Al-Qaida en étaient les responsables. Sur la base de cette accusation, relayée par tous les médias du monde et reprise par les membres de la «coalition anti- terrorisme», on a en toute hâte préparé et lancé la guerre contre l’Afghanistan. Nouvelle Solidarité a aussitôt relevé les contradictions les plus
flagrantes de cette ligne. Cependant, depuis fin octobre, certains milieux européens, inquiets de la tournure que prennent les événements avec les bombardements sans objectif clair sur l’Afghanistan,ont décidé de mettre en garde le président Bush via des révélations fracassantes qui vont à l’encontre de la version officielle à
propos des auteurs des attentats.Une série d’articles parus dans la presse européenne met en avant quelques contradictions fondamentales de cette version officielle ;
* l’offensive de guerre irrégulière lancée le 11 septembre, sans parler des attaques à l’anthrax, dépasse de loin les capacités dont disposent les réseaux «terroristes» mis en accusation ;
* les noms et les activités des «terroristes» semblent clairement avoir été connus du FBI et d’autres services de renseignement bien avant les attaques ;
* le renseignement américain connaissait non seulement les réseaux d’Al-Qaida, mais leur fournissait – et leur fournit encore aujourd’hui– une couverture et un soutien pour leurs opérations dans les Balkans, au sein de l’UCK et d’autres guérillas albanaises.
* enfin, le plus choquant de tout, le renseignement américain était encore en contact avec Ben Laden en personne quelques semaines avant le 11 septembre.
Au-delà de l’importance des «faits nouveaux» en tant que tels, ces fuites reflètent surtout une crainte bien fondée des alliés des Etats-Unis : les liens entre les services secrets américains, britanniques et israéliens d’une part, et Al-Qaida et d’autres «Afghans» d’autre part, indiquent que les attentats du 11 septembre marquaient le début d’un coup d’Etat fomenté par des forces corrompues à l’intérieur même des Etats-Unis, dans un contexte de désintégration économique internationale. Exactement ce que Lyndon LaRouche avait affirmé dans les premières heures suivant la destruction des deux tours du World Trade Center.
Alors que la guerre en Afghanistan entrait dans sa quatrième semaine, il n’y avait plus aucun doute pour les élites européennes et russes que l’opération menait à la catastrophe, tant sur le plan militaire que politique. Certains ont alors décidé de laisser filtrer dans la presse des «faits» retentissants, dans l’espoir de limiter les dégâts.
Ben Laden et la CIA
Le 31 octobre, Radio France Internationale et Le Figaro rapportaient que Ben Laden avait été contacté par un responsable de la CIA en juillet dernier, alors qu’il était en traitementpour des problèmes rénaux à l’hôpital américain de Dubaï. Arrivé le 4 juillet, Ben Laden était «accompagné de son médecin personnel et fidèle lieutenant, qui pourrait être l’Egyptien Ayman al-Zawahari, de quatre gardes du corps, ainsi que d’un infirmier algérien». L’agent de la CIA en question, un certain Larry Mitchell, devait-on apprendre, lui a rendu visite le 12 juillet et s’est vanté de cette rencontre devant quelques amis, avant d’être rappelé à Washington le 15, le lendemain du départ de Ben Laden.
«A la fin juillet, continue Le Figaro, les douaniers des émirats arrêtent à l’aéroport de Dubaï un activiste islamiste franco-algérien, Djamel Beghal. Début août, les autorités françaises et américaines sont alertées. Interrogé par les autorités locales à Abu Dhabi, Beghal raconte qu’il a été convoqué en Afghanistan fin 2000 par Abou Zoubeida– un responsable militaire de l’organisation de Ben Laden, Al Quaida. La mission de Beghal : faire sauter l’ambassade des Etats-Unis» à Paris.
Plus loin, le quotidien résume les relations entre l’agence américaine et celui qui est aujourd’hui devenu l’ennemi public numéro 1. Ces relations remontent à 1979. Le FBI aurait notamment découvert que les traces laissées par les charges ayant servi aux attentats de Nairobi et Dar-es-Salaam en 1998, «proviennent d’un explosif militaire de l’armée américaine (...) qui avait été livré trois ans auparavant à des Afghans arabes». En somme, «la rencontre de Dubaï ne serait donc que la suite logiqued’une „certaine politique américaine“».
Ces révélations se veulent un message clair de la part des Français mais pas seulement. Une source de la Commission trilatérale nous a confié qu’elles reflètent une méfiance, voire une colère, commune aux dirigeants d’Europe continentale. Ils ont surtout l’impression d’être mal informés par les Américains et n’apprécient guère les ingérences commises en particulier par le FBI, au nom de l’enquête sur les réseaux terroristes.
D’une révélation à l’autre
En fait, l’intervention du Figaro représente l’aboutissement d’une subtile campagne de presse visant à contrecarrer l’information américaine officielle. Dans le journal danois Ekstra Bladet du 23 octobre, Kenan Seeberg rapportait qu’il avait obtenu fortuitement une liste confidentielle de 370 personnes, suspectées par le FBI de complicité dans les attaques du 11 septembre.
Cette liste fut remise à Wayne Madsen, ancien fonctionnaire de l’Agence de sécurité nationale américaine, qui estime que certains suspects sont sans doute surveillés depuis
longtemps par les services secrets. En outre, il existe probablement de «nombreux indices et pistes» qui n’ont pas été suivis. Ekstra Bladet a interviewé Fred Stoc, de l’ancien Canadian Communications Security Establishment (CSE), le renseignement militaire canadien, qui révéla qu’une photo de Mohamed Atta, le dirigeant des pirates de l’air, «était suspendue au mur du siège du CSE en 1993».
De son côté, le président égyptien Hosni Moubarak, qui a déjà remis en cause la crédibilité des rapports selon lesquels les pirates de l’air n’étaient pas des pilotes professionnels, est revenu à la charge fin octobre, dans une interview accordée à l’hebdomadaire Al Ahram. «Il
est difficile de croire que des gens qui ont appris à piloter en Floride puissent, en un an et demi, piloter de gros avions de ligne et atteindre avec précision les tours du World Trade Center qui, vues du ciel par un pilote, sont de la tailled’un crayon, a-t-il déclaré. Seul un pilote professionnel pourrait mener à bien une telle mission, non quelqu’un qui a appris à voler pendant dix-huit mois en Floride. Pour votre information, sachez qu’un permis de pilotage comporte de nombreuses conditions en termes d’études et de formation. De nombreuses heures de vol sont nécessaires pour se qualifier en tant que copilote, sans parler de pilote, pour ce genre d’avions.»
Le président égyptien a profité de l’occasion pour renouveler ses attaques contre les pays abritant les terroristes, notamment la Grande-Bretagne. «J’ai dit aux dirigeants occidentaux
: si vous protégez des terroristes qui ont fui leur pays, un jour viendra où ils se retourneront contre vous. L’Occident pensait que le problème du terrorisme était limité à l’Egypte et à l’Algérie. Maintes fois j’ai appelé à une conférence internationale pour combattre le terrorisme, mais ces appels sont tombés dans l’oreille d’un sourd. Certaines capitales occidentales ont continué à accorder l’asile à des terroristes, sous couvert de droits de l’homme.»
Il a confirmé qu’il visait avant tout Londres. Cette question de la complicité anglo-américaine dans les réseaux Ben Laden a été aussi reprise dans un article paru dans le quotidien suisse Neue Zuercher Zeitung du 25 octobre. Cet article rapportait les nombreuses activités des militants d’Al-Qaida au Royaume-Uni et au Kosovo, occupé par l’OTAN. Après
avoir résumé l’histoire de la branche égyptienne d’Al-Qaida, qui a organisé l’assassinat du président Anouar el Sadat, ainsi que la «carrière » d’un frère du lieutenant de
Ben Laden, Zawahiri, le NZZ écrit :
«Selon les services secrets égyptiens et français, Ben Laden, qui a été l’hôte des talibans avec bien d’autres islamistes recherchés, a amené, à la fin des années 90, 500 moudjahidines arabes à Tirana [capitale de l’Albanie]. Ils auraient combattu aux côtés de l’UCK au Kosovo et auraient été impliqués dans les actes de vengeance les plus brutaux contre des civils serbes.» Cela veut dire, bien sûr, que ce réseau et l’OTAN se battaient côte à côte au Kosovo.
A propos des terroristes islamistes opérant depuis Londres, il poursuit : «Plusieurs islamistes égyptiens ont trouvé refuge en Grande-Bretagne. Zawahiri aurait vécu pendant un certain
temps dans la villa de Ben Laden au nord de Londres, dans les années 90. Certains islamistes n’y ont pas seulement fait un court séjour mais ont demandé le droit d’asile. De 1993 à 1999, sept des membres les plus recherchés du Djihad et du Jamaa se sont vus accorder le droit d’asile en Grande-Bretagne.
(...) Yasir as-Sirri, qui avait été condamné par deux fois à mort en Egypte, a dirigé, sans être inquiété, le Islamic Media Monitor Center.» Avec cette série de révélations, la ligne officielle attribuant à Ben Laden la seule responsabilité dans les attaques du 11 septembre ne tient plus.
Muriel Mirak-Weissbach."
"Comme nous l’avions prévu, l’Afghanistan est un bourbier pour les Américains. Face à cette réalité, certaines forces politiques européennes et arabes laissent filtrer des informations confirmant que la version officielle des attentats du 11 septembre – «Ben Laden et Al-Qaida seuls responsables» – ne tient pas.
Quelques heures à peine après les attentats dramatiques du 11 septembre, le gouvernement américain, qui disait n’avoir rien vu venir, annonçait qu’Oussama Ben Laden et l’organisation Al-Qaida en étaient les responsables. Sur la base de cette accusation, relayée par tous les médias du monde et reprise par les membres de la «coalition anti- terrorisme», on a en toute hâte préparé et lancé la guerre contre l’Afghanistan. Nouvelle Solidarité a aussitôt relevé les contradictions les plus
flagrantes de cette ligne. Cependant, depuis fin octobre, certains milieux européens, inquiets de la tournure que prennent les événements avec les bombardements sans objectif clair sur l’Afghanistan,ont décidé de mettre en garde le président Bush via des révélations fracassantes qui vont à l’encontre de la version officielle à
propos des auteurs des attentats.Une série d’articles parus dans la presse européenne met en avant quelques contradictions fondamentales de cette version officielle ;
* l’offensive de guerre irrégulière lancée le 11 septembre, sans parler des attaques à l’anthrax, dépasse de loin les capacités dont disposent les réseaux «terroristes» mis en accusation ;
* les noms et les activités des «terroristes» semblent clairement avoir été connus du FBI et d’autres services de renseignement bien avant les attaques ;
* le renseignement américain connaissait non seulement les réseaux d’Al-Qaida, mais leur fournissait – et leur fournit encore aujourd’hui– une couverture et un soutien pour leurs opérations dans les Balkans, au sein de l’UCK et d’autres guérillas albanaises.
* enfin, le plus choquant de tout, le renseignement américain était encore en contact avec Ben Laden en personne quelques semaines avant le 11 septembre.
Au-delà de l’importance des «faits nouveaux» en tant que tels, ces fuites reflètent surtout une crainte bien fondée des alliés des Etats-Unis : les liens entre les services secrets américains, britanniques et israéliens d’une part, et Al-Qaida et d’autres «Afghans» d’autre part, indiquent que les attentats du 11 septembre marquaient le début d’un coup d’Etat fomenté par des forces corrompues à l’intérieur même des Etats-Unis, dans un contexte de désintégration économique internationale. Exactement ce que Lyndon LaRouche avait affirmé dans les premières heures suivant la destruction des deux tours du World Trade Center.
Alors que la guerre en Afghanistan entrait dans sa quatrième semaine, il n’y avait plus aucun doute pour les élites européennes et russes que l’opération menait à la catastrophe, tant sur le plan militaire que politique. Certains ont alors décidé de laisser filtrer dans la presse des «faits» retentissants, dans l’espoir de limiter les dégâts.
Ben Laden et la CIA
Le 31 octobre, Radio France Internationale et Le Figaro rapportaient que Ben Laden avait été contacté par un responsable de la CIA en juillet dernier, alors qu’il était en traitementpour des problèmes rénaux à l’hôpital américain de Dubaï. Arrivé le 4 juillet, Ben Laden était «accompagné de son médecin personnel et fidèle lieutenant, qui pourrait être l’Egyptien Ayman al-Zawahari, de quatre gardes du corps, ainsi que d’un infirmier algérien». L’agent de la CIA en question, un certain Larry Mitchell, devait-on apprendre, lui a rendu visite le 12 juillet et s’est vanté de cette rencontre devant quelques amis, avant d’être rappelé à Washington le 15, le lendemain du départ de Ben Laden.
«A la fin juillet, continue Le Figaro, les douaniers des émirats arrêtent à l’aéroport de Dubaï un activiste islamiste franco-algérien, Djamel Beghal. Début août, les autorités françaises et américaines sont alertées. Interrogé par les autorités locales à Abu Dhabi, Beghal raconte qu’il a été convoqué en Afghanistan fin 2000 par Abou Zoubeida– un responsable militaire de l’organisation de Ben Laden, Al Quaida. La mission de Beghal : faire sauter l’ambassade des Etats-Unis» à Paris.
Plus loin, le quotidien résume les relations entre l’agence américaine et celui qui est aujourd’hui devenu l’ennemi public numéro 1. Ces relations remontent à 1979. Le FBI aurait notamment découvert que les traces laissées par les charges ayant servi aux attentats de Nairobi et Dar-es-Salaam en 1998, «proviennent d’un explosif militaire de l’armée américaine (...) qui avait été livré trois ans auparavant à des Afghans arabes». En somme, «la rencontre de Dubaï ne serait donc que la suite logiqued’une „certaine politique américaine“».
Ces révélations se veulent un message clair de la part des Français mais pas seulement. Une source de la Commission trilatérale nous a confié qu’elles reflètent une méfiance, voire une colère, commune aux dirigeants d’Europe continentale. Ils ont surtout l’impression d’être mal informés par les Américains et n’apprécient guère les ingérences commises en particulier par le FBI, au nom de l’enquête sur les réseaux terroristes.
D’une révélation à l’autre
En fait, l’intervention du Figaro représente l’aboutissement d’une subtile campagne de presse visant à contrecarrer l’information américaine officielle. Dans le journal danois Ekstra Bladet du 23 octobre, Kenan Seeberg rapportait qu’il avait obtenu fortuitement une liste confidentielle de 370 personnes, suspectées par le FBI de complicité dans les attaques du 11 septembre.
Cette liste fut remise à Wayne Madsen, ancien fonctionnaire de l’Agence de sécurité nationale américaine, qui estime que certains suspects sont sans doute surveillés depuis
longtemps par les services secrets. En outre, il existe probablement de «nombreux indices et pistes» qui n’ont pas été suivis. Ekstra Bladet a interviewé Fred Stoc, de l’ancien Canadian Communications Security Establishment (CSE), le renseignement militaire canadien, qui révéla qu’une photo de Mohamed Atta, le dirigeant des pirates de l’air, «était suspendue au mur du siège du CSE en 1993».
De son côté, le président égyptien Hosni Moubarak, qui a déjà remis en cause la crédibilité des rapports selon lesquels les pirates de l’air n’étaient pas des pilotes professionnels, est revenu à la charge fin octobre, dans une interview accordée à l’hebdomadaire Al Ahram. «Il
est difficile de croire que des gens qui ont appris à piloter en Floride puissent, en un an et demi, piloter de gros avions de ligne et atteindre avec précision les tours du World Trade Center qui, vues du ciel par un pilote, sont de la tailled’un crayon, a-t-il déclaré. Seul un pilote professionnel pourrait mener à bien une telle mission, non quelqu’un qui a appris à voler pendant dix-huit mois en Floride. Pour votre information, sachez qu’un permis de pilotage comporte de nombreuses conditions en termes d’études et de formation. De nombreuses heures de vol sont nécessaires pour se qualifier en tant que copilote, sans parler de pilote, pour ce genre d’avions.»
Le président égyptien a profité de l’occasion pour renouveler ses attaques contre les pays abritant les terroristes, notamment la Grande-Bretagne. «J’ai dit aux dirigeants occidentaux
: si vous protégez des terroristes qui ont fui leur pays, un jour viendra où ils se retourneront contre vous. L’Occident pensait que le problème du terrorisme était limité à l’Egypte et à l’Algérie. Maintes fois j’ai appelé à une conférence internationale pour combattre le terrorisme, mais ces appels sont tombés dans l’oreille d’un sourd. Certaines capitales occidentales ont continué à accorder l’asile à des terroristes, sous couvert de droits de l’homme.»
Il a confirmé qu’il visait avant tout Londres. Cette question de la complicité anglo-américaine dans les réseaux Ben Laden a été aussi reprise dans un article paru dans le quotidien suisse Neue Zuercher Zeitung du 25 octobre. Cet article rapportait les nombreuses activités des militants d’Al-Qaida au Royaume-Uni et au Kosovo, occupé par l’OTAN. Après
avoir résumé l’histoire de la branche égyptienne d’Al-Qaida, qui a organisé l’assassinat du président Anouar el Sadat, ainsi que la «carrière » d’un frère du lieutenant de
Ben Laden, Zawahiri, le NZZ écrit :
«Selon les services secrets égyptiens et français, Ben Laden, qui a été l’hôte des talibans avec bien d’autres islamistes recherchés, a amené, à la fin des années 90, 500 moudjahidines arabes à Tirana [capitale de l’Albanie]. Ils auraient combattu aux côtés de l’UCK au Kosovo et auraient été impliqués dans les actes de vengeance les plus brutaux contre des civils serbes.» Cela veut dire, bien sûr, que ce réseau et l’OTAN se battaient côte à côte au Kosovo.
A propos des terroristes islamistes opérant depuis Londres, il poursuit : «Plusieurs islamistes égyptiens ont trouvé refuge en Grande-Bretagne. Zawahiri aurait vécu pendant un certain
temps dans la villa de Ben Laden au nord de Londres, dans les années 90. Certains islamistes n’y ont pas seulement fait un court séjour mais ont demandé le droit d’asile. De 1993 à 1999, sept des membres les plus recherchés du Djihad et du Jamaa se sont vus accorder le droit d’asile en Grande-Bretagne.
(...) Yasir as-Sirri, qui avait été condamné par deux fois à mort en Egypte, a dirigé, sans être inquiété, le Islamic Media Monitor Center.» Avec cette série de révélations, la ligne officielle attribuant à Ben Laden la seule responsabilité dans les attaques du 11 septembre ne tient plus.
Muriel Mirak-Weissbach."
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