mardi 25 mars 2008

True telling

« C'est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant. »
Hébreux.


J’ai fait un rêve et à mon réveil, je l’ai retranscrit. Par conséquent, les lignes qui suivent sont de pure spéculation. Elles n’ont rien à voir avec le réalisme ou avec le factuel. J’insiste sur ce point. Toute personne qui essayerait d’y voir un lien avec le factuel se trouverait de mauvaise foi : car j’ai le droit de convoquer la fiction pour dire le monde tel que je l’imagine. Ces lignes imaginaires sont le résultat d’un effort de synthèse pour concevoir le 911 dans son ensemble. Le 911 n’est pas un simple événement factuel et en ce sens seule la fiction peut prétendre le comprendre dans sa dimension extrafactuelle et véritablement réelle. C’est pour cette raison que le réalisme ne veut pas dire grand chose, sauf un renvoi à l’interprétation étriquée. Je suis ferme sur un point : la spéculation et l’imagination sont au service de l’intelligence et de la compréhension. Elles servent la tolérance et la vérité, pas la haine et l’exclusion. C’est ainsi que quand je désigne le sionisme fondamentaliste comme le cœur de l’immanentisme dégénéré qui a engendré le 911, il serait inconséquent et de mauvaise foi de hurler à l’antisémitisme et au racisme. Que veulent signifier ces termes de nos jours où les mots perdent leur sens dans des slogans superficiels et emplis d’amalgames ? D’une part, les sionistes sont loin de ne se réduire qu’à des Juifs. La plupart sont ainsi des fondamentalistes protestants chrétiens. D’autre part, le sionisme comporte des écoles fort diverses et divergentes, dont certaines admirables. Ensuite, le problème d’Israël, de son existence et de sa légitimité est étranger aux (ex)actions du sionisme fondamentaliste dans le monde. Enfin, le vrai ennemi des Juifs et des Israéliens est intérieur au judaïsme, puisqu’il renvoie aux fanatiques et aux désaxés redoutables qui prétendent servir la cause du peuple juif pour offrir une définition lamentable de l’élection divine. Si les Juifs du monde ne veulent pas que se reproduisent à leur encontre les phénomènes inqualifiables de lynchage et d’extermination, ils doivent cependant comprendre que les responsables premiers de ces vengeances inadmissibles sont des extrémistes juifs qui manipulent les leurs (façon de parler), ceux du moins dont ils se réclament à tort et à cris, pour des intérêts en réalité antagonistes aux intérêts des Juifs ou des Israéliens. Il serait temps que les Juifs modérés (l’insigne majorité) comprennent que les accusations d’antisémitisme desservent le véritable antisémitisme quand il s’agit en fait d’empêcher la critique contre des abus émanant de catégories juives qui sont stigmatisées pour leurs déviances et jamais pour leur essence (si tant est que ce terme ait un sens) juive. En ce sens, les intellectuels à la BHL qui stigmatisent le racisme et l’antisémitisme sont les meilleurs serviteurs de l’antisémitisme, du racisme véritable, dans la mesure où leur rhétorique creuse et culpabilisatrice sert surtout la cause dévoyée des extrémistes qu’ils feignent de ne pas voir dans leur propre camp (extrémistes juifs, mais aussi arabes ou africains). Ce texte est ainsi un manifeste contre l’extrémisme bien compris et pour la véritable compréhension du réel. Il ne se veut pas réaliste et accepte bien volontiers les critiques. Il prétend juste contribuer à resserrer les liens entre le monde de l’homme et le réel. Il ne cherche pas à choquer et s’excuse systématiquement chaque fois qu’il aura attristé des lecteurs, surtout en cas d’erreur (quand il a raison, c’est plus difficile). Ce texte est le produit de l’imagination et n’a rien à voir avec des situations ou des personnages réels. Il revendique le droit à l’erreur dans la mesure où il découle de l’imagination et de l’hypothèse. Il revendique le droit à la spéculation et à la fiction absolument libres dans la mesure où la spéculation et l’imagination sont les plus sûrs outils pour représenter le réel derrière la création et l’invention. Dernière précision, assez redondante : les erreurs sont imaginaires, jamais diffamatoires. Elles sont revendiquées au nom de l’effort de création. C’est un texte de littérature et de spéculation, jamais un texte journalistique, qui se réclamerait des faits. Les hypothèses n’en sont jamais et puis, l’on a le droit d’émettre des hypothèses, surtout imaginaires, à partir du moment où le caractère hypothétique est rappelé (et de quelle manière !) en préambule. De la sorte, je me meus dans la fiction (qui a toujours maille à partir d’un façon ou d’une autre avec le réel) et je peux m’autoriser toutes les largesses et les hardiesses, étant entendu que je prohibe la haine, l’intolérance, la violence. Le mensonge, la diffamation et la calomnie n’auraient rien à voir avec une démarche imaginaire et hypothétique. Le 911 est un appel à la vérité et la liberté. Il donne bien des responsabilités, mais son statut apocalyptique et millénariste en fait un événement éminemment littéraire, artistique, réflexif et médiumnique ; j’irais même jusqu’à : religieux, comme si toute la religiosité manquante de notre époque laïque avait été aspirée et surdimensionnée dans l’événement du 911. Il était tout à fait légitime que l’imaginaire soit convoqué et il serait fort dommageable que soient confondus la spéculation et le rêve avec le réalisme et le factuel. Ceci dit, bonne lecture fictive quand même !

Tout est perdu. J’ai tapé nerveusement quinze pages et tout s’est effacé par la faute de ma maladresse informatique. Tout est perdu, donc tout est sauvé. Je parle autant de mon travail, en disciple de Gogol, que du 911, en disciple de la vérité. Peu importe par où je commence, comme dirait l’autre, car je finirai ici. Dire le réel sans factuel, dans le virtuel. Le but de mon document initial, sans doute trop long et lyrique, était d’échafauder une hypothèse d’ensemble sur le 911. Comme tout est perdu, je vais faire plus court, plus synthétique, moins fiévreux. Donc tout est sauvé.

Pour commencer : le 911 est la preuve incroyable de la faiblesse du système, puisque le système est si mal qu’il a forcé les loups à sortir du bois. Désormais, ils se sont exposés, et chacun est en mesure de les retrouver.

Le 911 n’est pas survenu par hasard. C’est la conséquence d’un long processus. C’est l’impérialisme occidental qui ici s’effondre et annonce l’effondrement systémique. L’impérialisme occidental s’est effondré comme une maison en proie à un incendie : d’un coup, après un grand craquement. Rien de progressif et de continu. Le feu dévore, le feu désagrège (la structure) et l’effondrement intervient subitement. Le 911 n’est pas une tragédie structurelle, qui n’affecterait le système que de manière provisoire. Le 911 est systémique. Le 911 annonce que le système va s’effondrer.

Il n’est jamais facile d’envisager cette hypothèse depuis l’intérieur du système, mais c’est le processus de l’occidentalisme qui met en évidence le fait que le système occidentaliste, rationnel, immanentiste n’est pas viable. Il faut bien comprendre que le 911 n’a été envisageable que parce que le système d’ensemble est complice : il suit un processus de destruction qui commence par détruire les périphéries avant de s’attaquer au cœur du système. Nous y sommes.

C’est alors que l’Occidental commence à s’inquiéter. Il se fichait des souffrances qu’enduraient les marches de l’Empire. Maintenant que l’Empire s’attaque à son cœur, maintenant que la destruction approche de l’anéantissement, il est temps que l’Occidental s’inquiète. S’il avait vraiment voulu dénoncer le fonctionnement du processus, voilà longtemps qu’il aurait protesté et cherché à comprendre. Mais les moutons que l’on forme et formate à l’envi ne sont intéressés que par leurs privilèges égoïstes et leurs petits acquis individualistes. La femme, les gosses et la bagnole, c’est l’opium du peuple d’Occident. C’est une drogue à l’accoutumance ?

Jusqu’où peut-on tirer sans casser la corde ? C’est le système de l’immanentisme qui montre que la conclusion de l’immanentisme, c’est l’anéantissement. La source, c’est la mutation de la raison, l’idée que l’homme remplace Dieu et que la prospérité matérielle est supérieure à la prospérité spirituelle. Cette ineptie est indispensable à la propagande systémique, selon laquelle la prospérité matérielle sans équivalent signifierait que le système immanentiste est intrinsèquement supérieur à tous les systèmes échafaudés jusqu’alors par l’homme.

La vérité, c’est que le système immanentiste produit un mirage et une diversion, en présentant les avantages sans la contrepartie des inconvénients : c’est le mythe de Faust, dans lequel le diable propose la vie sensible rêvée contre la vie éternelle. L’autre vérité, c’est que c’est le fonctionnement du système immanentiste qui est apparu dans les rouages de sa vérité dans le processus du 911. Pas des lampistes et des boucs émissaires. Ceux qui tiennent les ficelles ont montré qu’ils avaient perdu la tête.

Le 911 ne résulte pas d’un coup de chauffe ou d’un acte inconséquent. C’est la conséquence d’une mentalité et d’une manière de penser. C’est l’entêtement dans la politique de destruction. À force de cautionner les dérives du système vers de plus en plus de destruction, on finit par frôler l’anéantissement. Voilà longtemps que le système filait vers sa perte. Son fonctionnement est évocateur de son destin : il détruit pour susciter un aiguillon.

Chaque destruction est un temps de crise qui est présenté comme passager, puisque suit la rémission et le temps du mieux-être. Mais les crises sont de plus en plus graves – vers l’anéantissement comme fin prévisible de la politique de destruction. Le vingtième siècle a montré que les temps de paix étaient des répits pendant lesquels s’aggravait la crise. Après la Seconde guerre mondiale, on a présenté le système comme ayant définitivement aboli la guerre, la violence, en allant vers la démocratie, la liberté, la justice et l’égalité. Mais le système montre que ce n’est pas du tout le fond de ses aspirations.

Que ces aspirations soient partagées par quelques admirables Occidentaux, qu’il soit des convaincus pour proposer des politiques rationnelles et des pensées rationalistes du meilleur aloi, aucun problème, mais le fonctionnement du système est vicieux et vicié. Il accroît de plus en plus la crise. Il commence par couper les membres pour soigner les maladies du tronc et de l’épicentre, puis au final il est obligé de s’attaquer aux circuits vitaux et aux organes essentiels. Les maîtres de ce système sont des êtres cupides et sans aucune conséquence qui poursuivent d’autant plus leur politique de mort, de terreur et de destruction qu’ils n’ont aucune alternative viable et salutaire à proposer. Ils sont persuadés qu’ils sont les garants du système et que de ce fait ils n’ont d’autre alternative que de lancer le 911 pour sauver les meubles.

Leur mentalité immanentiste les accule au pire : sans cesse convoquer le néant et la destruction pour stimuler le système. J’ai déjà montré comment la laïcité démocratique et libérale donnait la main au fondamentalisme pour restaurer l’élitisme mondialisé. Derrière cette alliance objective, il n’est besoin que de se rappeler que les fondamentalistes de tous pays ne sont pas offusqués par le spectre de l’apocalypse. Au contraire, ils l’appellent de leurs vœux, en particulier les sionistes fondamentalistes, qui en majorité sont désormais des protestants fanatiques persuadés que la fin du monde est le véritable objectif qui leur permettra de hâter le bonheur humain et le retour du divin dans le sensible. Sans doute les immanentistes rejoignent-ils cette conception perverse en ce qu’ils pensent que l’aiguillon du néant est seul capable de stimuler le réel. Se rendent-ils compte que c’est l'inverse ? De toute façon leur adoration du néant les conduit à légitimer la destruction et à considérer que l’anéantissement est une bonne chose.

Considérer le 911, c’est comprendre que voilà longtemps que le processus de délitement du système a commencé. À la rigueur, on pourrait le faire remonter au départ de la raison mutante, de la mort de Dieu, de la naissance conséquente de l’immanentisme en tant que puissance du mensonge, de l’hypocrisie, de la dissimulation et de la perversité. De la perversité ? Surtout de la perversité, puisque le système ne fait que reprendre l’étymologie et marcher sens dessus dessous.

Les crises sont de plus en plus graves puisque les guerres sont de plus en plus mondiales et indiquent que le processus de mondialisation n’est pas l’expression de la paix universelle et de la fin de la violence, mais l’asservissement des masses à des élites mondialisées et immanentistes. Le terrorisme est le moyen qu’utilise le système depuis longtemps pour réduire au silence ceux qui s’opposent à sa propagande. Ce ne sont pas seulement les crises belliqueuses qui sont à prendre en compte, c’est aussi les assassinats de personnalités, en particulier JFK, crime jamais résolu, alors que son explication est bien plus facile que celle du 911.

Pourquoi ? Parce que ce jour fatidique du 911, les Occidentaux ont fermé les yeux pour poursuivre un peu le mirage de leur quiétude et ne pas troubler l’écume de leurs vieux jours. La maison brûle, mais faisons la fête : nous sommes heureux. Babylone tombera pour ses péchés, ainsi que la prophétie l’annonce, et ainsi que Bob Marley, le psalmiste du vingtième siècle, l’a psalmodié. Ils ont préféré ne pas voir que d’affronter des problèmes qui reviennent avec usure et crescendo. Ils, ce sont les élites corrompues et fort peu supérieures – des médiocres arrivistes et mimétiques jusqu’à la servilité. Mais ils, ce sont aussi les suiveurs, tous ceux qui se prennent pour des élites parce qu’ils sont exploités et ferment les yeux. Ce sont aussi toutes les masses d’Occident, qui se sont tues et qui n’ont jamais été aussi peu critiques et démocratiques que depuis quinze ans, depuis que le 911 s’est explicitement mis en place. Mais qui s’est levé vraiment pour dénoncer le colonialisme et l’esclavagisme ? Qui s’est battu contre le nazisme, le fascisme et les politiques de destruction ? On ne demande pas à des moutons de se transformer en perspicaces éléphants et autres cerfs sagaces.

Le 911 annonce que si l’on ne fait rien, la suite ressemblera tristement au spectacle de l’apocalypse.

Enfin, l’effondrement du communisme est la marque de fabrique de la fin du rationalisme mutant. Tant que le système immanentiste tenait un opposant à l’intérieur de son rationalisme fallacieux, il pouvait se modérer et s’équilibrer. L’effondrement du communisme indique que l’occidentalisme n’a plus d’ennemi et que le système a accéléré son processus de décomposition vers la perte d’équilibre et d’identité (la perte d’extériorité). L’effondrement peut se produire d’un moment à l’autre et il s’effectuera au nom des nobles idéaux. La maison brûle mais l’incendie est présenté comme une bénédiction à la foule fascinée. La foule réagira seulement en étant brûlée ; comme d’habitude, il sera trop tard.

C’est dans ce contexte d’aggravation de la crise et de méthodes systémiques qui ne peuvent que conduire à l’épuisement et à l’anéantissement que le 911 est survenu ; c’est suite aux assassinats démocratiques et aux manipulations idéologiques et médiatiques tues et consenties que le 911 a pu se produire. De ce point de vue, le 911 est un châtiment, la vengeance du sang des victimes innocentes martyrisées par les prédateurs du système.

Jamais aucun groupe n’aurait pu réaliser un tel acte si le système n’était pas vicié depuis les fondations (et la cave) jusqu’au grenier. Plus tard, les historiens qui expliqueront ce triste phénomène seront attristés en définissant notre époque comme l’une des pires que l’humanité ait traversées. Orwell sera considéré comme un visionnaire et l’on s’étonnera que l’on ait pu asseoir la violence et la folie sur la liberté – de l’individu. Telle est la tromperie contemporaine. C’est la tromperie la plus fatidique et la plus poussée, intentée par le diable avec des méthodes de séduction diaboliques. Ni plus, ni moins.

On nous vend la version officielle truffée de mensonges, omissions et retouches comme le complot perpétré par le Vieux de la Montagne depuis ses grottes de Tora Bora, avec l’aide de quelques sbires, l’informatique et des relais efficaces. Cette fable ressemble étrangement au procédé récent des story tellings qui signifie : remplacer le réel par l’Hyperréel. On s’est inspiré de la légende islamiste pour vendre la responsabilité des lampistes, des boucs émissaires, des fantoches et des dérivatifs. Responsables et coupables ! Les médias se sont engouffrés dans la brèche et on a vu des experts en terrorisme surgir de leur boîte de djinn à la file hertzienne et nous expliquer doctement pourquoi les terroristes islamistes étaient capables de frapper partout de manière impressionnante et dramatique. Les terroristes étaient les vrais ennemis de la civilisation et de la liberté.

Malheureusement, les terroristes désignés ont tous ce point commun qu’ils sont manipulés par les services secrets et qu’ils n’ont jamais eu les moyens de perpétrer leurs actes seuls. C’est une galéjade impardonnable. Des attentats sophistiqués à ce degré de sophistication supposent une logistique précise et sophistiquée : des années de préparation et des milliards de financement. Quelques cellules terroristes éparses et sans relais institutionnel ne sont pas en mesure de faire le coup.

Une fois entendue l’évidence, il reste à ne pas suivre la plaisanterie de l’État américain sardonique qui aurait fait le coup, avec à sa tête le méchant W. ; ou des acolytes peu recommandables style Cheney, Rumsfeld and Co., quand l’on comprend que W. n’est qu’un fantoche, le double mimétique de ben Laden côté Bien et Cour (de tennis). Il faut comprendre qu’aucune institution, aucun État, aucun groupe officiel n’a fait le coup en tant qu’institutions établies et reconnues. Ce n’est pas l’Occident institutionnel qui a œuvré, ce sont des pirates qui se sont introduits dans les institutions et qui ont dérouté les institutions. Il serait plus rassurant de croire que les institutions et que le fonctionnement du système sont bons, mais que pendant un temps, le temps de la crise, les institutions ont été piratées et perverties. Malheureusement, ce n’est pas le cas, parce que c’est le système qui est corrompu et gangréné. Si gangréné que les pirates de l’Occident ont frappé. Qui sont ces pirates, quelle est leur identité pour qu’ils frappent l’Occident ? Comme l’a martelé un informateur américain haut placé dans l’armée de l’air, l’ennemi est intérieur à l’Occident…

La version officielle nous explique ce qui s’est passé la vérité dans le mensonge : de la même manière que l’on a détourné des appareils de leur usage civil pour les transformer en bombes (selon un processus incroyable et complexe, minutieux et professionnel), les attentats signalent que les institutions ont été piratées par les dirigeants et les personnages qui se présentent comme dignes de confiance – et qui ont fait le coup au nom de leur sens des responsabilités, jusqu’à estimer que les masses ne sont pas en mesure de comprendre le Bien essentiel et le bien dans le 911.

Qui a le pouvoir de s’incruster au cœur des institutions du plus grand appareil d’État au monde si ce n’est des pirates extrêmement bien implantés, respectés et loués ? Allons plus loin : le 911 révèle que les pirates étaient implantés au cœur des institutions occidentales (pas seulement américaines) : USA, Grande-Bretagne, mais aussi le Commonwealth, l’ancien Empire britannique. Pas seulement : l’Arabie saoudite et son pétrole sont reliés. Le Pakistan et sa bombe atomique aussi. Signification : les régimes islamistes alliés de l’Occident ont trempé dans la manœuvre, selon le même schéma : le piratage.

Le même schéma qui vaut pour Israël. De nombreux signes irréfutables indiquent que les institutions israéliennes ont collaboré au 911, avec toujours la même constante : ils ont été piratés et détournés de leur mode de fonctionnement institutionnel.

Si bien que le 911 valide le changement de paradigme et de fondement : ce sont des groupes qui ne sont pas institutionnels, mais qui sont privés qui ont fait le coup. Voilà qui dédouanent les soupçons contre des peuples en particulier. Voilà qui rend caduque toute forme de racisme, contre les Arabes et les musulmans, contre les Juifs, contre les Occidentaux. La vérité, c’est qu’aucun de ces peuples n’est responsable, puisqu’ils sont les premières victimes. Il faut comprendre l’immanentisme de manière transversale et cloisonnée, pas comme des corporations, des solidarités ethnico-tribales ou religieuses.

Tout simplement, ce sont les élites mondialisées, le cœur des élites mondialisées qui a montré qu’elles étaient prêtes à tout pour exploiter les masses. Quelles que soient les masses, y compris les masses occidentales. Désormais, l’Occidental n’est plus en sécurité, parce qu’il est Occidental. Désormais, le Juif est la première victime des machinations sionistes et fondamentalistes. Désormais, l’islamiste a raison d’être en colère parce que ses élites l’ont vraiment trahi. Les élites islamistes ont trahi Dieu et quand on trahit Dieu, la révolte n’est jamais loin. La révolte est un devoir, contre le conte, contre le mensonge, contre l’ignominie et la folie.

Il n’y a pas que les Afghans ou les Irakiens à s’être pris des bombes sur la gueule sans raison, au cours d’un mariage ou d’un enterrement, simplement parce qu’ils étaient sur la route du pétrole. En ces temps d’apocalypse, tous les peuples sont menacés et s’en rendront rapidement compte. Revenons au vrai visage du 911. Fin de l’Hyperréel et des story tellings incohérentes et retour au réel. Qui a le pouvoir en vrac de manipuler toutes les institutions occidentales et alliées ? Qui a le pouvoir de travailler sur plusieurs années pour préparer et planifier les attentats ? Qui a le pouvoir de mobiliser des équipes dans le secret, c’est-à-dire dans des groupes privés, où les mercenaires professionnels peuvent ourdir leurs plans à l’ombre du secret ? Il est certain que le complot institutionnel aurait rencontré des freins à l’intérieur des institutions.

Qui est en mesure de financer des attentats qui sont à la hauteur du plan du Nouvel Ordre Mondial : des milliards dans la discrétion ? Qui est capable de dicter ses discours et sa politique au chef de l’hyperpuissance, dont tous les signes indiquent qu’il a capitulé face à un putsch intérieur le jour du 911 ? S’il a capitulé, c’est qu’il a été effrayé par ce qu’il découvrait et qu’il s’est empressé de couvrir, à l’instar de ses collaborateurs ?

C’est donc que les pirates ont les moyens de dicter la politique aux institutionnels. De les coopter et de les choisir aussi, puisqu’il est clair que l’élection américaine de 2000 obéit à une fraude (de Floride) évidente. Les pirates ont installé à la tête de l’hyperpuissance une clique à leur botte, au moment qui convenait pour lancer la guerre contre le terrorisme, la clique dont l’idéologie permettait leur plan occidentaliste. Les néo-conservateurs ne sont pas venus au pouvoir par hasard. Ils ont été longuement étudiés et préparés. De même qu’on forme des terroristes lampistes, on forme aussi des théoriciens et des acteurs de l’impérialisme occidentaliste. Des faux penseurs, des penseurs lampistes.

Que la Lumière soit ! Qui détient le pouvoir de préparer ces cercles et ces cénacles au pouvoir et de les installer au pouvoir pour tenir sous la main les idéologies adéquates à la politique de terrorisme et de terreur ? Que l’on songe aux innombrables think tanks qui prétendent inspirer la politique américaine et européenne, bref occidentales, et qui sont en fait des outils de propagande efficaces. Qui en outre est capable de dicter le discours des médias dominants et qui de surcroît les détient majoritairement en Occident, ce qui constitue un déni de démocratie ? Qui est capable d’agir de manière transversale et entre (les institutions), dans l’illégalité mondialiste, au point de faire plier l’hyperpuissance américaine, mais aussi le gouvernement anglais, pourtant élu sur un programme différent du conservatisme anglo-saxon ? Pourquoi Toni Blair a-t-il participé plus qu’activement dans les guerres illégales contre le terrorisme, ce qui indique que les pirates avaient les moyens d’agir de manière internationale (vive l’ONU !) et sans tenir compte des couleurs politiques affichées ? Pourquoi Lord Moses, de la Haute Cour de Justice de Londres, a-t-il déclaré que les pressions exercées en son temps par le Premier ministre Tony Blair sur le procureur général du Royaume pour le contraindre à étouffer l’affaire étaient « irrésistibles » et « comparables à un pistolet posé sur sa tempe » ?

Quelles puissances ont les bras assez longs pour coordonner des actions qui mobilisent manifestement les réseaux de nombreux services occidentaux et alliés ? Le 911 n’est pas une opération plus ou moins maquillée s’appuyant sur un réseau homogène. Il suppose que les maquilleurs aient utilisé des circuits qui sont totalement épars et ne permettent jamais de remonter jusqu’à eux.

La réponse coule de source : des puissances mondialisées, élitistes, immanentistes, des puissances insaisissables, transversales, des pirates de l’entre, des coucous capables de pénétrer dans le cœur des institutions les plus performantes d’Occident : ce sont les grands banquiers et les grands financiers qui opèrent quelque part entre la City et Wall Street, ceux qui sont dans le secret des dieux, qui décident des échanges mondiaux, ceux qui évaluent les politiques de monnaie, ceux qui peuvent coordonner des actions complexes, au travers des dédales et des myriades d’institutions occidentales aussi diverses et elles-mêmes verrouillées que les administrations politiques, les services secrets, les armées, les médias, les circuits financiers, bancaires et judiciaires.

Avant le 911, les réseaux ont été patiemment tissés et mobilisés pour couvrir le 911 et permettre la politique élitiste et mondialiste qu’ils appelaient de leurs vœux. Seuls des banquiers peuvent agir de la sorte, parce que les banquiers à l’heure actuelle détiennent la monnaie, le vrai pouvoir et le vrai objet des échanges humains. L’effondrement du dollar et la fin du pétrole ont encouragé les attentats du 911 comme ultime électrochoc permettant de différer l’effondrement du système et d’accélérer en même temps le processus apocalyptique. Seuls les banquiers ont dû paniquer en découvrant que sans ce moyen/expédient, ils risquaient de perdre leur pouvoir (leur latin) et le bénéfice d’une politique qu’ils ourdissent et tissent depuis longtemps. Les banquiers et les financiers ont largement l’habitude de préparer des actes de conspiration et de terreur pour encourager les guerres quand ils le veulent. La différence entre avant et aujourd’hui, c’est qu’aujourd’hui, le 911 est un événement impliquant l’ensemble du système mondialisé parce que c’est l’événement qui indique avec une précision chirurgicale la fin du temps des banquiers.

Ceux qui estiment que les banquiers et les financiers ne sont pas habitués à ces coups de Trafalgar n’ont qu’à consulter l’histoire récente depuis 1850, notamment aux États-Unis, mais aussi les raisons de l’entrée en guerre en 1914. À chaque fois, ils trouveront l’implication (ultime) des banquiers. L’effondrement de la livre a précipité la mondialisation et l’avènement du dollar. Un jour, l’on dira que Nixon est de ceux qui ont précipité la fin de l’Occident en retirant l’indexation du dollar à l’or. À présent, dans la politique de destruction, c’est le dollar qui s’effondre, abattu par ses promoteurs apparents, pour le plus grand malheur des Américains qui sont les dindons de la farce. Les banquiers veulent lancer l’Union européenne comme alternative aux USA exsangues et ruinés.

Ce serait la fin de l’Occident et le début du Nouvel Ordre Mondial comme projet à court terme de domination par les élites des masses. À court terme, parce que la chute est accélérée encore par ce genre d’élitisme qui ne respecte pas l’équilibre social et le principe de pérennité humaine. Le terrorisme est l’arme des manipulateurs (des faibles), qui utilisent à chaque fois des lampistes qu’ils recrutent au sein des populations insatisfaites et frustrées. Aujourd’hui, l’islamisme est le terreau du mécontentement. Il serait trop long d’analyser le terrorisme. Qu’il suffise de se concentrer sur les foyers d’islamisme afghan. Ils ont été activés et financés par les Américains pour lutter contre l’invasion de l’Afghanistan par la défunte URSS.

Il me plaît de penser que l’effondrement de l’empire soviétique, du complément alternatif de l’Occident libéral et capitaliste, l’ensemble formant le grand tout du rationalisme mutant, est dû à la résistance de montagnards et d’ascètes acharnés tapis dans les montagnes et les vallées d’Afghanistan. Car ce seront les mêmes bergers de l’Etre qui à l’insu de leur plein gré seront les destructeurs manipulés de l’Occident. Je veux dire que l’Occident a eu recours à l’artifice et à la mise en scène des terroristes islamistes cooptés par des puissances afghanes pour expliquer le 911. En réalité, les cerveaux du 911 savaient qu’ils luttaient contre un péril interne bien plus grave et menaçant que quelques escouades de bravaches sans réels moyens de nuisance. Cela, ils ne pouvaient le dire, mais c’est le système, leur système qui s’effondre.

Les résistants et les moudjahidines afghans ont été financés, façonnés par les services secrets anglo-saxons, MI-6 et CIA en tête, suite à la doctrine Brzezinski servie fin 70, pour déstabiliser les Soviétiques (et leur soupe caucasienne rance). Déjà à l’époque, on use des théoriciens pour produire des idéologies comme la théorie des dominos et on lance en amont des opérateurs logistiques, des formateurs et des mercenaires qui sont chargés de créer des foyers de terrorisme et de guerriers. Les Afghans luttaient contre l’occupant. Ils furent ravis de cette aide providentielle. L’islamisme afghan est une création du système. Les cerveaux du 911 ont pioché dans les inestimables et innombrables foyers de terrorisme que les services secret forment et suscitent dans le monde pour mieux contrôler le monde par la terreur. C’est ainsi que le nationalisme arabe conséquent est annihilé par la politique de destruction.

Il faut imaginer que le foyer afghan est particulièrement complexe, mais qu’il n’est qu’un des nombreux foyers fomentés par les démocraties occidentales qui ne peuvent avouer comment elles opèrent pour contrôler les marches de l’Empire : par le terrorisme et la déstabilisation des régimes qui ont le malheur de leur résister. Le système afghan présente la particularité de réunir les Américains, les Anglo-saxons, les Israéliens et les Saoudiens, plus les Pakistanais, soit tous les protagonistes du dossier 911. C’est que les concepteurs du 911 ont utilisé le dossier afghan pour détourner à leur profit les foyers potentiellement terroristes.

I) Il est d’autant plus difficile de comprendre le fonctionnement du 911 que c’est un modus operandi occidental qui a été utilisé, dans un de ses foyers les plus représentatifs. La complexité est ténébreuse, abyssale. On se sert d’un procédé général, on cible l’endroit le plus représentatif du terrorisme sous fausse bannière et, à partir de là, on exploite à fond l’opportunité de manipulation vers le 911. Bien entendu, il faut partir des financeurs (grands financiers et grands banquiers) comme cerveaux ultimes et premiers du 911. Ce sont les décideurs, depuis que ce sont les financeurs qui décident.

II) Ensuite, il faut imaginer que ces individus qui sont prêts à tout pour sauver leur pouvoir, prolonger la domination occidentaliste et précipiter l’apocalypse ont recours à des concepteurs mondialisés, qui ont l’habitude du terrorisme. Le concept dénaturé est le cœur de la réflexion immanentiste et capitaliste (voir l’univers et la terminologie de la publicité). Qui sont ces concepteurs de la mort comme aiguillon du réel ? On peut imaginer qu’ils s’occupent du plan général et du choix. Ils ont été cooptés par les financiers et ils ont les coudées franches, ils ont carte blanche (tous les moyens) pour monter le plus spectaculaire attentat de l’histoire. Ils ont pris leur temps. Sans doute n’ont-ils pas agi ex nihilo. Il faut se rappeler que les terroristes ont été activés par des réseaux qui n’avaient pas été conçus pour le 911. Le 911 a piraté des réseaux qui étaient plus ou moins dormants et qui pouvaient être subvertis – utiliser les réseaux du terrorisme pour le 911.

Il en va de même pour les stratèges qui ont dû utiliser de nombreux plans de bataille préexistants. En tout cas, ces gens n’ont pas peur du risque, ont l’habitude des méthodes terroristes, savent penser le terrorisme en termes géopolitiques et n’agissent pas dans un but structurel. L’assassinat de JFK servait pêle-mêle la lutte contre le communisme castriste et les guerres néocoloniales d’Asie du Sud-est (pas seulement). Le 911 a sans doute réactivé ces pistes, mais avec une implication supérieure et plus directe des financiers, qui ne pouvaient plus se contenter d’observer sans agir ou d’agir indirectement. Cette fois, ils sont de la partie, puisqu’ils jouent leur peau. Ils ont retenu les individus par excellence qui ont les moyens de faire le terrorisme contre l’hyperpuissance parce qu’ils sont parfaitement bien introduits et qu’ils ont l’habitude de l’espionnage et du terrorisme.

Je pense à des sionistes fondamentalistes qui sont introduits partout dans les cercles des États-Unis, qui ont l’habitude historique de pratiquer le terrorisme et qui sont absolument à leur place de pirates. Ils piratent les institutions israéliennes comme ils piratent les réseaux occidentalistes. Ils possèdent seuls la surface pour pirater les institutions, en particulier américaines (n’oublions pas qu’Israël est tellement bien implanté aux États-Unis qu’il est souvent considéré comme un État supplémentaire).

Les sionistes fondamentalistes terroristes sont aussi totalement liés aux milieux de la haute finance et de la grande banque. Ils ont les connexions pour travailler avec ces personnages discrets et insaisissables. Dernier point : l’idéologie de la guerre contre le terrorisme vient de théoriciens qui coïncident parfaitement avec le sionisme fondamentaliste, avec le fondamentalisme immanentiste et mondialisé. Qui est désigné comme ennemi insaisissable et redoutable ? Les terroristes sont des islamistes, ce qui rejoint les préoccupations sionistes en terre d’Israël et de Palestine. Le coup est parfaitement légitime. Il reste à préciser qu’il ne s’agit bien évidemment pas de structures solides et constituées, mais de réseaux dormants et réactivés, de fraternités occultes et secrètes, de relations et d’amitiés entre la haute banque et ces sionistes fondamentalistes qui ont le savoir-faire en matière de réflexion terroriste.

Les cerveaux du 911 travaillent de manière idéologique. Ils sont persuadés de servir la cause du sionisme, la cause de leur État, de leur peuple et de leur identité (plus ou moins religieuse et mystique) comme ils l’ont toujours pensé par le passé. Ils n’en sont pas à leur coup de maître et ils s’appuient sur une longue tradition qui légitime le terrorisme au nom de motifs personnels positifs. Ce sont des extrémistes persuadés d’agir au nom de leurs croyances. Il faut encore préciser qu’ils n’ont pas été cooptés officiellement au cours de réunions par un cénacle de grands banquiers stables et désignables. Ils sont mandatés par des puissances qui financent sans se mouiller ni se tremper les mains dans le futur bain de sang. Les financiers ont agi pour des motifs financiers et monétaires. L’humain leur est étranger et leur fait peur. Ils sont les maîtres d’ouvrage dans la mesure où ils ne supervisent rien. Ils veulent juste des résultats. Entre eux et les cerveaux du 911, il y a toutes les myriades d’intermédiaires qui sont légions dans l’univers de la grande banque, de la spéculation financière, des places boursières. On trouve ces personnages à foison dans les conseils d’administration et dans les chambres capitonnées des palaces, avec plasma et vue sur le jacuzzi.

Si bien que les cerveaux mandatés pensent vraiment être les maîtres d’œuvre. Ils ne seront pas les seuls dans ce jeu de puzzle mensonger, dans ce miroir brisé aux morceaux épars et illisibles. Le culte du secret de ces milieux assure l’efficacité de leurs préparatifs, mais le cloisonnement implique aussi que chacun surestime largement la portée de ses actes. Qui se rend compte qu’il est le manipulateur manipulé ? À ce stade, personne. Les financiers sont manipulés par la croyance qu’ils dominent la situation alors qu’ils ne font que précipiter leurs fins prochaines et leur règne catastrophique de coucous chargés de gérer le nid. Les cerveaux du terrorisme pensent travailler pour leur cause, mais ils ne se rendent pas compte qu’ils condamnent pratiquement les innocents du peuple juif aux futurs massacres et bains de sang en Israël/Palestine. Pis, ils ne savent pas qu’ils sont mandatés par les grands financiers et les grands banquiers dans la mesure où, s’ils subodorent leurs soutiens exacts, ils n’ont aucun contact personnel ou direct avec des gens froids comme les serpents. Tout au plus estiment-ils être financé par des soutiens. A leurs yeux de requins illuminés, ils sont les cerveaux, dont les maîtres et les premiers rôles. Le doute n’est pas leur fort. La lecture de Maimonide pas leur tasse de thé (fort infusé dans les salons chic de l’Amérique puritaine du business protestant).

Nous sommes dans un monde où les cerveaux du terrorisme côtoient naturellement les grands dignitaires de la banque et de la finance. Rappelons-nous toujours que le sionisme fondamentaliste est l’élément prépondérant de l’immanentisme et acquiesce tout à fait à l’élitisme dévoyé du projet mondialisé. En outre le sionisme fondamentaliste donne accès à de nombreuses institutions de par l’Occident (étant entendu qu’Israël est intégré de fait à l’empire occidental). L’influence sioniste ouvre les portes de l’Amérique de l’industrie, de la politique, de l’administration, de la justice, des services secrets, des médias, du show-biz bling-bling (bonjour Nicolas), et, bien entendu, de la religion. Il est patent que le sionisme n’est pas seulement l’œuvre des Juifs ou des Israéliens, mais aussi des protestants fondamentalistes (comme de bien entendu sionistes) qui souhaitent hâter le retour de l’Antéchrist. Une lecture rapide montre que le sionisme est prépondérant dans tous les secteurs vitaux pour la réalisation du 911, et pas seulement depuis quelques années. Car il faut vraiment un système à sa botte, un système malsain, pour réaliser le 911. Le sionisme permet ce cadre, car le sionisme est mondialisé et judéo-chrétien. Il sera temps pour les générations à venir de dresser le procès du sionisme fondamentaliste et de ses conséquences destructrices terribles.

En tant qu’élitisme viscéral, il ne possède aucune légitimité démocratique et rationnelle. Il est une dénaturation du judaïsme authentique et de la pensée juive en général. Il a produit plus de souffrances et de douleurs que n’importe quel mouvement religieux. Le 911 et ses conséquences désastreuses pour l’humanité en attestent. Et pour finir, clou du spectacle, le sionisme fondamentaliste est catastrophique pour les Juifs, en tout cas pour la réputation des Israéliens (innocents et boucs émissaires d’une situation qu’ils n’ont certainement pas demandée).

J’ai bien peur que lorsque le complot du 911 sera éventé, les Juifs payeront comme boucs émissaires innocents les fautes perpétrées par les leaders sionistes fondamentalistes, répétant l’histoire selon laquelle ce sont les innocents qui endossent la responsabilité de quelques moutons noirs et dévoyés. L’amalgame a bon dos. Répétons et martelons, contre toute accusation minable d’antisémitisme, que les premières victimes du sionisme fondamentaliste, ce sont les Juifs et les Israéliens. Espérons que le pauvre peuple israélien n’aura pas à supporter le fardeau des exactions sionistes fondamentalistes du moment. La disparition d’Israël semble inéluctable en ces moments où le soutien de l’hyperpuissance américaine commence à décroître.

Je quitte ces tristes digressions sur l’état du monde. Mais il est clair que c’est dans les circuits du sionisme que le terreau du 911 s’est mis en place, car les financiers, banquiers de l’ombre et les cerveaux en mesure de concevoir et d’ourdir le 911 sont idéologiquement proches. Plutôt que de sionistes fondamentalistes, je les qualifierai quant à moi d’immanentistes. Le terme est plus vaste et exprime mieux la connotation religieuse universalisante et mondialiste. Les immanentistes de la banque sont tellement proches des immanentistes du terrorisme qu’ils n’ont pas eu besoin de se creuser le crâne pour trouver les circuits des concepteurs et des cerveaux du 911. C’était un geste naturel. Sommes-nous dans les années 90 ?

En tout cas, il faut bien comprendre que les cerveaux sont immanentistes, et certainement pas américains ou de quelque peuple que ce soit. De ce point de vue, ces sionistes dévoyés utilisent Israël comme une base de repli et de ferment à leurs théories, mais ils prennent en otage le peuple israélien, comme les comploteurs américains ont pris en otage le peuple américain. Les sionistes fondamentalistes détestent plus ou moins l’Amérique où ils sont si bien implantés, en tout cas celle capitaliste et démocratique, et ils ne nourrissent aucune réticence à frapper la cœur de l’hyperpuissance occidentale, occidentaliste et mondialisée.

Ce qui est capital, c’est que ces sionistes fondamentalistes détiennent tous les leviers et les soutiens pour lancer le 911 et que curieusement ils sont les seuls à pouvoir le faire. Les autres courants, coteries ou clans, quel que soit leur pouvoir effectif et impressionnant, n’ont pas ce pouvoir en tant qu’il n’ont ni la transversalité (agir dans des milieux différents et parfois antagonistes), ni le caractère intermédiaire et insaisissable (pas de patrie, de nationalité, de religion définies véritablement). Seuls ces sionistes ont la surface pour monter des attentats dont l’aspect le plus frappant est l’incroyable complexité, mais aussi la convocation de circuits qui nécessitent beaucoup d’entrées et d’influences.

La première chose que feront ces sionistes sera de déterminer la nature des attentats. Il s’agit de frapper le symbole de l’Occident et de l’immanentisme. Comme dans les sacrifices où le sacrificateur sacrifie ce qu’il a de plus cher, les sacrificateurs du 911 ont sacrifié leur Veau d’Or, le World Trade Center, symbole de la puissance financière et occidentaliste. Ils ont opté pour l’holocauste. C’est un acte religieux qui est avant tout d’obédience immanentiste. Frapper les États-Unis n’est ni un problème, ni une nouveauté pour les sionistes fondamentalistes. Jusque-là, ils le faisaient plutôt hors des terres américaines. C’étaient les banquiers et les industriels américains, les hauts gradés parmi les militaires qui avaient déjà proposé ce genre d’initiatives terroristes contre leur peuple. Surtout, les sionistes fondamentalistes peuvent compter sur le soutien de tous les domaines d’influences des États-Unis, qui sont vendus à la cause de l’élitisme mondialisé et qui comprennent la nécessité de la guerre contre le terrorisme, quels que soient les moyens usités. Ils permettent de monter leur coup en ayant les moyens d’assurer la discrétion.

III) La principale tâche des comploteurs sionistes fondamentalistes ne sera pas de trouver des intermédiaires, mais de s’assurer que le coup sera couvert et camouflé. C’est pourquoi la cellule camouflage est plus importante que la cellule logistique. Le camouflage est d’autant plus important que les camoufleurs n’ont dans leur insigne majorité pas conscience de couvrir le 911. De leur point de vue exsangue et étriqué (médiocre et vénal), ils ne font que défendre la mondialisation et la liberté. Les camoufleurs subissent le camouflet de leur propre erreur et mensonge. Les camoufleurs sont d’autant plus importants qu’ils ignorent leur rôle réel dans le 911 et leur implication dans la guerre contre le terrorisme. C’est pourquoi le système les choie autant et pourquoi il sont autant aveuglés et séduits par les mirages du système et le tapis rouge qui leur est déroulé partout où ils mettent les pieds.

a) La cellule camouflage comprend la propagande. C’est le volet le plus facile, puisque tous les médias officiels sont à la botte des milieux immanentistes, en particulier des financiers qui se sont empressés de les racheter (ce simple fait historique montre que le 911 est bien la conséquence de la pourriture du système postdémocratique et ultracapitaliste ; on ne peut raisonnablement pas déduire de ces investissements troublants que les financiers agissaient de la sorte en vue du 911, ce serait plutôt l’inverse).

b) Mais la cellule camouflage suppose aussi l’invention d’une story telling, je veux dire d’une version officielle que l’on puisse vendre au public, en particulier au public occidental, concerné par le vote démocratique et l’information libre. La version officielle a été montée par des groupes spécialistes dans la propagande et exprime clairement quels intérêts la promeuvent : les sionistes fondamentalistes comme cœur et paradigme de l’immanentisme. Expliquer que ce sont les islamistes arabes qui ont fait le coup, ben Laden et sa faction de désaxés et de déséquilibrés précédemment préparés par la CIA pour un rôle de lampistes, est une théorie aussi irrationnelle que fallacieuse, qui ne peut venir que d’une mentalité orientée, selon laquelle l’Islam est l’ennemi irréductible, en particulier l’islamisme fanatique et terroriste. Les occidentalistes, les sionistes fondamentalistes et les immanentistes ont intérêt à propager ces rumeurs qui dans leur mentalité leur permettent de désigner un ennemi aussi invisible qu’inexistant pour l’Occident et Israël. Problème : la vérité est que l’ennemi est intérieur et que cette désignation arbitraire (aucune extériorité véritable n’est désignée) ne fait qu’empirer les choses, pour le fonctionnement du système, pour l’Occident et pour Israël.

c) Une fois la campagne de propagande trouvée, il reste à s’assurer que les gouvernements vont suivre. Et là, il faut des décennies de préparation pour créer les groupes de réflexion, les théories qui sont en mesure de légitimer l’occidentalisme et l’élitisme triomphant. Il est certain que toutes ces théories n’ont pas été réalisées dans le but du 911. Un seul exemple : la théorie délirante et faiblarde du choc des civilisations n’est pas une ritournelle montée par des agents conspirationnistes en vue du 911. C’est donc que le 911 est la conséquence d’un mouvement de fond qui présuppose que l’occidentalisme, l’immanentisme et le sionisme ont engendré le 911 plus que le 911 ne les a engendrés.

Cependant, notons que toute la partie théorique sert à monter les groupes de pression intellectuelle et les cautions intellectuelles pour instiller le ferment politique nécessaire au 911. Avec les néoconservateurs et tous les groupes réactionnaires et occidentalistes qui composent le monde anglo-saxon, les cerveaux du 911 jouent sur du velours : ils savent que ces gens légitimeront le 911 et engageront la théorie de la guerre contre le terrorisme. Ils savent que sera validée la thèse de la culpabilité des 19 Arabes islamistes et de la nécessité de pourchasser l’ennemi terroriste invisible (et pour cause).

d) Par la suite, la génération des politiciens montés autour de cette idéologie est facile à concevoir. C’est la génération qui commence avec Reagan et qui se poursuit avec W. aux États-Unis. C’est une génération disparate et homogène où l’on retrouve les Blair et les Sarkozy, soit un mouvement de fond occidentaliste, dont le but est de sauvegarder les intérêts économiques de l’Occident en asservissant le monde au nom de la liberté et de la démocratie. Ces individus sont ultralibéraux, ces individus sont des croyants dans le fondamentalisme protestant, chrétien et sioniste. Des gens comme W. sont des désaxés qui conçoivent la religion de manière fanatique et obscurantiste et qui sont des sionistes chrétiens. Que l’on ne s’étonne pas de la montée du christianisme sioniste en ce que le sionisme chrétien est la meilleure arme pour promouvoir l’immanentisme. Ces circuits ne sont certainement pas que concentrés sur l’Amérique ou sur le monde anglo-saxon. C’est une lame de fond occidentaliste qui concerne l’Occident, mais aussi tous les alliés objectifs de cet occidentalisme de mauvais aloi. On remarquera que l’occidentalisme est le pire ennemi de l’Occident, comme le fondamentalisme sioniste est le pire ennemi du judaïsme et du christianisme.

A ceux qui croiraient que j’exagère l’importance du sionisme chrétien, je rappellerai la condamnation théologique du Vatican des groupes de chrétiens sionistes comme de graves perversions de l’esprit du christianisme et j’ajouterais, de l’esprit du protestantisme. Ce que le Vatican a dit du christianisme sioniste en refusant notamment de recevoir Rice, on peut en dire autant du sionisme fondamentaliste juif. C’est une grave perversion de l’esprit, de la culture et de la religion juifs.

Si l’on récapitule l’impressionnante cellule camouflage/propagande, on retrouve, grosso modo :

a) le groupe de la propagande médiatique.

b) Le groupe de prospection de la version officielle, les spécialistes en conception de story tellings.

c) Les think tanks et tous les groupes de réflexion centrés autour du néoconservatisme et de l’occidentalisme, en particulier à dominante fondamentaliste sioniste d’obédience chrétienne.

d) Les cercles de politiciens occidentaux affiliés à ces mentalités et manières de penser.

Une fois mis en place les circuits très complexes, diffus des réseaux camouflage, on a compris que l’influence au 911 préexistait à la réalisation du 911. Les banquiers préexistaient au 911. Les cerveaux fomentaient le terrorisme et les assassinats politiques bien avant le 911. Les théoriciens occidentalistes viennent d’une lame de fond présente dès l’ultralibéralisme, l’école de Chicago, mais qu’on peut faire remonter au moins au néocolonialisme. C’est dire que le 911 est bien plus une conséquence et que le complot évident du 911 est une conséquence de la pourriture du système.

IV) Il reste désormais à désigner les secteurs de la logistique. C’est l’aspect le plus laborieux et le plus difficile à concevoir et imaginer.

1) Pour commencer, ce sont les taupes directes. Plusieurs types de taupes sont nécessaires. D’abord, on recrute les taupes des milieux de l’immanentisme, comme les ultranationalistes, les occidentalistes, les réactionnaires, les extrémistes et les fanatiques religieux. Ces individus sont convaincus du projet 911 car ils se désolent de la perte nationaliste dans l’Occident. Ces taupes sont dupes en ce qu’ils croient agir pour le compte d’idéaux. Ce sont ces taupes qui vont consentir à jouer le rôle d’insiders, d’ennemis intérieurs et qui donneront l’illusion, en partie vraie, que le complot était un inside job. Ces taupes appartiennent principalement à deux milieux : le secteur militaire (qui comprend la fameuse mouvance dite du secteur militaro-industriel) et le secteur des services secrets. Ce sont des individus en exercice ou très influents, qui développent des thèmes comme la défense ou la sécurité. Ils sont avant tout issus du terreau de l’extrémisme américain et ultranationaliste, mais ils sont aussi des produits de toute la mouvance occidentaliste, surtout concernant les services secrets. Voilà qui implique à coup sûr les Anglo-saxons, mais aussi tous les services secrets affiliés à l’Occident. De ce point de vue, on peut rappeler la réalité mutante de l’OTAN, mais aussi l’existence des réseaux privatisés des services secrets et des milieux militaires : les officines mercenaires et les agences de renseignement opaques et plus ou moins privées. C’est au sein de ces deux types de réseaux que se développent les taupes directes qui assurent la logistique du 911. Ces taupes directes estiment elles-mêmes être à la tête du complot, alors qu’elles n’en sont que les exécutants et les intermédiaires. Ce sont ces taupes qui vont coordonner l’attaque du 911 en tant qu’elles sont au courant des opérations et qu’elles les encouragent. Mais les taupes directes vont déléguer la besogne logistique aux milieux privés du renseignement et des réseaux militaires, de telle sorte qu’elles ignoreront les coulisses exactes du 911.

2) Les taupes qui suivent dans le projet de logistique sont des taupes qui n’ont pas toutes les données en main et qui de ce fait pensent vraiment établir un projet dont les perspectives leur échappent. Ce sont les taupes indirectes et il en faut une bonne centaine habilement placée dans l’administration et les institutions. Leur rôle est d’utiliser des cadres et des moyens institutionnels pour effectuer une besogne qui est piratée et pervertie aux fins du 911. Les taupes appartiennent à la logistique en ce qu’elles pensent agir pour les véritables intérêts de l’Amérique et de l’Occident. Il serait faux de croire que le réseau qualifié de voyou est un réseau antiaméricain et/ou antioccidental. C’est un réseau profondément nuisible pour les intérêts américains, mais qui est persuadé de son patriotisme et de son nationalisme et qui estime servir les vrais intérêts occultés du patriotisme et du nationalisme.

Toutes ces catégories de taupes ont une double mission :

a) couvrir le 911 en laissant faire les manœuvres de terrorisme, notamment en empêchant les procédures de sécurité et de prévention de survenir ;

b) Légitimer la guerre contre le terrorisme comme la seule réponse viable à l’acte terrible du 911.

Répétons que la logistique commence par la couverture des opérations terroristes et la couverture des procédures validant le détournement logistique terroriste. Les plus grandes taupes ne font que couvrir. Raison pour laquelle elles estiment être à la tête du 911. Raison pour laquelle aussi les taupes logistiques sont avant tout des têtes placées en haut des réseaux des services secrets et militaires d’Occident et des États-Unis. Mais il n’est pas aisé de distinguer entre les camoufleurs politiques qui couvrent le 911 avec le contre-feu de la guerre contre le terrorisme (la réponse politique) ; et les logisticiens du renseignement ou des services militaires qui couvrent logistiquement le 911.

Il est important de noter qu’à ce stade, toutes les composantes du complot appartiennent à des secteurs privés dont la particularité est d’investir les institutions et le secteur public : les think tanks, les milieux militaires/mercenaires privés, les réseaux de renseignement industriels. Le 911 implique un déploiement cloisonné et transversal de toutes ses composantes éclatées et néanmoins unies par le même objectif : la sauvegarde des intérêts élitistes et occidentalistes de l’immanentisme.

Ces taupes institutionnelles s’assurent de la coopération des institutions puisqu’elles sont aussi des composantes institutionnelles. J’insiste sur le point capital que ces taupes sont certes avant tout américaines puisque le 911 se déroule sur le sol américain, mais qu’il est évident qu’elles sont mondialisées et occidentalistes. Seul exemple : la guerre contre le terrorisme n’est pas seulement une lubie américaine, mais subira le soutien massif et impressionnant du gouvernement anglais, Blair en tête. Il est vrai que la City, le centre de la finance mondiale, se trouve à Londres, non à New York. C’est au plus haut niveau des institutions occidentales, singulièrement anglo-saxonnes, que se recrutent ces taupes. Elles sont persuadées d’agir pour le compte de leurs idées. Chacun au plus haut niveau croit tirer la barbichette de l’autre. Mais les taupes sont des bigleux qui ont de la réalité la même vision qu’un myope du réel sans montures. Si l’on doutait de ce fait, que l’on se remémore les conditions de l’élection de W. en 2000 et son total aveuglement quant aux raisons profondes de son élection, explications qui surgiront après le 911. Quelle est la puissance des groupes de pression pour décider de l’élection du meilleur candidat et de la meilleure administration pour la guerre contre le terrorisme ? Je me répète : qui décide d’installer au pouvoir les néoconservateurs aux États-Unis et les occidentalistes affiliés dans les restes du monde stratégique, notamment en Grande-Bretagne, où Blair avait un pistolet braqué sur la tempe en cas de velléités de dissidence ? Ce ne sont certes pas des simples taupes qui ont ce pouvoir. La taupe de par son nom est aveugle.

Ceux qui occupent le devant de la scène ne font qu’intégrer le plan d’ensemble et sont des couvertures. La vraie logistique est assurée par des groupuscules particuliers qui vont sévir dans le monde de l’industrie, singulièrement le monde du complexe militaro-industriel. Ces groupuscules ne sont pas forcément américains, un certain nombre est ainsi d’origine israélienne. Ils sont en fait immanentistes. À noter que le sionisme fondamentaliste est remarquablement bien implanté en tant que les connections entre les secteurs industriels et le secteur de la haute finance coule de source.

3) À ce niveau logistique, on va trouver les financiers de la logistique, ce qui montre le cloisonnement et la subdivision, des secteurs de financement. Ces secteurs financiers opèrent en tant que monde des affaires plus ou moins en lien avec les secteurs industriels. On ne se situe plus dans la grande banque et la haute finance, mais dans les milieux proches de l’industrie. Dans le vaste schéma labyrinthique de l’argent, l’industriel est en dessous du grand financier. Ce sont donc des milieux intermédiaires.

a) Par exemple, les pétroliers texans et toutes les entreprises texanes, mais aussi d’armement et tournant autour de la défense sont favorables à ce genre de logistique. C’est vraiment ici qu’intervient le complexe militaro-industriel américain, la pompe à fric favorable à la guerre. Ceux qui prétendent que le complexe militaro-industriel serait au fondement du 911 ne se rendent pas compte qu’ils éludent l’aspect mystico-religieux du 911 et la réalité financière du monde. La promesse de la guerre contre le terrorisme est une manne providentielle pour tous ces groupes qui savent compter sur les taupes, notamment celles des gouvernements américain et anglais. À noter que le Texas était déjà fort présent dans l’assassinat de JFK et qu’il n’est certainement pas par hasard la patrie de la dynastie des Bush. Le Texas est logiquement impliqué puisqu’il est le symbole du pétrole et des compagnies de pétrole et que les guerres d’Afghanistan et d’Irak sont des guerres de pétroliers aussi (contrôler la fin du pétrole). Il faudrait ajouter plutôt : la franchise (soit l’hypocrisie) des Bush, si l’on s’avise que ces dynasties sont des représentants d’intérêts, dont le Carlyle Group n’est que la partie immergée de l’iceberg. Mais le Texas n’est pas dans les premiers cercles du complot, ce qui montre que ce n’est pas un complot premièrement pétrolier. La baisse d’influence des pétroliers et des industriels est cohérente avec le fond de la suprématie occidentaliste et immanentiste où ce sont les banquiers et les financiers qui jouent les premiers rôles.

b) Les compagnies d’aviation qui sont nécessairement impliquées à un niveau ou un autre dans l’élaboration d’attentats par avion. Peut-être pas nécessairement les compagnies piratées, mais les grands groupes qui fournissent les avions et sans doute certaines compagnies qui sont spécialistes dans la transformation des appareils. On a murmuré que certaines compagnies seraient directement liées avec les services secrets israéliens. On peut situer tous ces groupes autour de l’axe de la Floride et retrouver la Floride comme centre névralgique après le Texas. La Floride est l’État gouverné par le frère du président, l’état symbole de la puissance des nouvelles technologies et des nouvelles industries.

c) Les compagnies de pointe technologique qui ont été chargées de pirater les infrastructures informatiques et logistiques des services secrets américains et de l’armée américaine, avec la bénédiction et la collaboration (plus ou moins tacite, plus ou moins consciente) des taupes, sont les structures dans lesquelles a été élaborée la stratégie de piratage des structures institutionnelles. Il va sans dire qu’à l’instar des compagnies d’aviation, les influences sionistes fondamentalistes et immanentistes dans ces sociétés plus ou moins écran sont irréfutables et inquiétantes.

d) La collaboration entre des groupes aux idées antagonistes sur le papier ou dans les médias officiels coule de source : l’immanentisme fait ainsi que se tiennent par la main les financiers saoudiens et les financiers sionistes, les liens entre l’Arabie saoudite et l’Amérique n’étant plus à démontrer. Les circuits saoudiens ont certainement servi à investir dans les milieux de l’industrie de pointe. Les Saoudiens immanentistes sont au service objectif des sionistes. Les Saoudiens bénéficient de l’argent du pétrole et ont investi des sommes folles dans l’industrie américaine, mais les financiers saoudiens ne sont jamais que les instruments des immanentistes. Il serait catastrophique que soit découverte au grand jour et reconnue l’alliance objective des élites wahhabites et des sionistes fondamentalistes au sien de la mouvance immanentiste. Ils se déclarent ennemis, mais ils investissent au sein des mêmes structures américaines, anglo-saxonnes et occidentales. On comprend la colère grandissante du peuple saoudien et des islamistes saoudiens, mais aussi du monde musulman, quand on comprend qu’ils sont dépouillés par ceux qui les accusent avec la complicité de leurs élites corrompues et gangrénées. C’est ici qu’intervient notamment l’affaire de la BAE/Yamamah.

e) J’inclus ici un volet largement occulté de ces milieux d’affaires intermédiaires. C’est le volet de l’immobilier. Il est juste de rappeler l’implication de l’industrie de l’aviation en lien avec les militaires de l’aviation. Sans l’immobilier, point de 911, puisque les attaques contre les structures du WTC coûtent des milliards de dollars et que l’on retrouve les structures de l’argent et du sionisme fondamentaliste derrières les promoteurs immobiliers qui couvrent la logistique du 911. Toutes ces structures vont servir la logistique du 911 en permettant que les taupes indirectes mettent en place les actions du 911. Ce qu’il faut comprendre, c’est que la logistique comprend le financement logistique du 911 et que ce financement n’est pas assuré directement par les hauts banquiers et les grands financiers. Il passe par des intermédiaires innombrables et se concentre autour du fameux complexe militaro-industriel, des milieux texans, des circuits industriels de la technologie et de tous les milieux d’affaires qui sont concernés par le 911. Deux réalités terriblement dérangeantes suffisent à pointer du doigt la grande internationale immanentiste :

a) l’implication saoudienne à tous ces postes-relais montre que l’argent du pétrole est prépondérant, d’autant que la guerre contre le terrorisme est une guerre pour la fin du pétrole. Il est logique que soient impliqués les pétroliers et les compagnies afférentes dans ce grand jeu de dupes où le 911 engage une guerre contre le pétrole.

b) Les alliés objectifs des pétroliers, y compris des milieux saoudiens, sont les sionistes fondamentalistes, que l’on retrouve impliqués à tous les niveaux de la chaîne (du pétrole) et qui sont bel et bien les composantes clés du cœur du système immanentiste.

V) Maintenant, l’on passe au cinquième volet, les cellules action. Il est capital de comprendre que le cloisonnement et la transversalité de l’opération 911 fait que les groupes sont éclatés à chaque niveau de l’intervention. Ainsi pour les financiers, qui sont aussi impliqués dans les nombreuses étapes de la logistique. Par ailleurs, le volet action est étroitement imbriqué avec le volet logistique. On ne peut aborder le volet action qu’en comprenant que les taupes indirectes ont été utilisées pour détourner les actions institutionnelles au profit des cellules action du 911.

Je pense qu’il est important pour la compréhension de réaliser que les réseaux action ne sont pas des réseaux institutionnels, mais des réseaux privés et insidieux qui se servent de leur implantation institutionnelle pour pirater des méthodes institutionnelles. Par ailleurs, ces groupes privés sont d’autant plus malaisés à situer qu’ils interviennent dans des milieux verrouillés par le secret, les milieux militaires et les milieux du renseignement. L’opacité est ainsi accrue. Que l’on songe que ces réseaux action sont des réseaux privatisés qui sont en cheville avec des réseaux militaires et de renseignement eux-mêmes privés. Comprend-on que le privé signifie ici le secret et la perversion réalisée de l’institutionnel ? Cette question évoque la thématique philosophique des rapports privé/public. Elle est la cheville qui balaye les credos angéliques du libéralisme triomphant, dont on voit ici les résultats à l’aune de ce que produit le dynamitage (sans mauvais jeu de mots) des structures étatiques, officielles et institutionnelles.

Il faut commencer par les réseaux dormants, qui vont :

1) former et manipuler les réseaux lampistes du terrorisme.

2) Former et couvrir les professionnels mercenaires.

1) - ces réseaux lampistes du terrorisme ont toujours existé. Le 911 ne fait que montrer que le terrorisme est largement manipulé par les élites occidentalistes pour affaiblir les contestataires des marches de l’Empire, toutes les régions en fait qui sont exploitées par l’Occident, comme les régions pétrolières ou riches en matières premières. À chaque fois que l’on constate l’existence des guerres civiles et larvées récurrentes, on trouve derrières la présence des richesses premières et l’implication occidentale, des secteurs financiers et industriels, mais également des intérêts militaires et du renseignement. Les réseaux action ont été simplement activés à partir des cellules terroristes contrôlées par les milieux du renseignement et les milieux militaires. Le choix des cellules terroristes islamistes afghanes est facilité par la présence conjointe en Afghanistan de toute l’histoire contemporaine : la lutte contre l’URSS, l’utilisation manipulée des combattants islamistes contre le communisme et pour l’occidentalisme, la présence des intérêts stratégiques occidentaux en Afghanistan. Ces critères démontrent que les terroristes islamistes sont les alliés objectifs de leurs pires ennemis, les Occidentaux et les Américains qu’ils honnissent officiellement. Il ne faut pas s’étonner que ben Laden (nom de code CIA : Tim Osman ?) et ses acolytes soient toujours en cheville avec les services secrets occidentaux. Les logisticiens qui ont ciblé les réseaux action en Afghanistan étaient ceux qui dans les services de renseignement américains, occidentaux et occidentalistes avaient les moyens de manipuler les unités terroristes afghanes. On remarquera que l’Afghanistan est le terreau où l’on retrouve tous les réseaux du 911 : les Américains, les Anglais, les Occidentaux, la bannière de l’OTAN, l’Arabie Saoudite et le Pakistan. Dans ce jeu fragmenté, Israël n’est pas loin, puisque les services de renseignement israéliens collaborent étroitement avec les services idoines anglo-saxons et qu’ils les infiltrent plus qu’ils ne collaborent en fait. Ajoutons aussi que le sionisme fondamentaliste est directement visé derrière ces services de renseignement et la manipulation du terrorisme comme terreau idéal de manipulation. Au final, on voit que le pétrole saoudien et arabe finance bien autre chose que le développement des pays abritant la manne du pétrole. Le terrorisme afghan, largement sponsorisé par les réseaux saoudiens, a produit ainsi les noms officiels de l’opération 911.

- C’est ici qu’intervient l’influence pakistanaise. On sait que le Pakistan est un allié objectif des États-Unis et qu’il est le seul État musulman à posséder la bombe atomique, ce qui en dit long sur son rôle pour les Occidentaux dans le monde musulman, mais aussi contre la puissance émergente indienne. Le Pakistan est infesté de groupes géants et mutants revendiquant l’islamisme radical, voire terroriste. Les services secrets pakistanais sont une excroissance de la CIA et des services secrets américains. L’ISI est l’allié objectif et l’inspirateur des talibans, mais aussi des combattants d’Al Quaeda. Les derniers signes de financement du 911 remontent jusqu’au Pakistan, jusqu’aux responsables militaires et de renseignement pakistanais, le général Ahmad en tête (démis depuis le 911). Où était Ahmad le jour du 911 ? Aux États-Unis. Qui a financé le 10 septembre Atta ? Des proches fortement présumés d’Ahmad. Que faisait ben Laden en juillet 2001 ? Il séjournait dans un hôpital militaire américain de Dubaï, où il reçut la visite du correspondant local de la CIA. Tous ces faits largement occultés et absolument scandaleux indiquent en outre que le Pakistan est souvent montré du doigt pour son rôle dans le 911. Rappelons que le Pakistan n’est montré du doigt que parce qu’il est un commanditaire et une arrière-base du 911. S’il est cité ainsi, c’est qu’il est un second couteau. Ces remarques montrent bien comment on discrédite et on méprise dans les circuit occidentalistes les alliés objectifs musulmans. L’Arabie Saoudite est plus haut placée parce qu’elle détient le pétrole et que l’argent du pétrole lui a permis d’investir massivement dans les milieux stratégiques d’Amérique et d’Occident. Mais l’Arabie saoudite est reléguée à un niveau secondaire et inférieur dans les milieux de l’immanentisme. Quant au Pakistan, il ne détient pas de pétrole. Raison pour laquelle dans le 911, il est dévolu au rôle du comparse et du faire-valoir, relégué au dernier rang de l’exécution. Le Pakistan occupe la place peu reluisante du bouffon. Par contre, les milieux pakistanais impliqués montrent comment fonctionnent les cellules action activées par les circuits de la logistique : on noyaute les secteurs militaires et espions ; on manipules les organisations extrémistes terroristes ; on opère avec la complicité active des processus de fonctionnement pakistanais directement calqués sur le modèle américain et occidental. C’est dire que les circuits logistiques qui préparaient le 911 avaient la partie facile : en mobilisant les réseaux du terrorisme et les agences de renseignement saoudiennes et pakistanaises, ils agissaient avec des structures qui sont certes insidieuse et éparses, mais qui sont identiques aux réseaux occidentaux, qui sont d’inspiration occidentaliste et qui sont ainsi facilement gérables pour le 911, puisqu’elles sont gérées depuis des décennies de la sorte pour d’autres objectifs (principalement la lutte contre le communisme, ennemi commun des islamistes capitalistes et des capitalistes occidentaux).

- Al Quaeda n’a jamais existé en tant qu’organisation indépendante et officielle. C’est vraiment une création des services de renseignements occidentaux et occidentalistes, principalement gérée par la CIA, l’ISI, le MI-6 et sans doute d’autres émanations. Al Quaeda surgit ainsi dans tous les endroits du monde depuis le 911. Elle est devenue en Irak une force de terrorisme impressionnante, mais aussi en Europe et partout où potentiellement les forces occidentalistes ont intérêt à instiller la déstabilisation et la destruction. Al Quaeda est vraiment une force à l’image de ses géniteurs : comme les réseaux disparates, dormants et occultes du renseignement qui se sont occupés de bureaux locaux en organismes décentralisés, les cellules rampantes et métastasées d’Al Quaeda surgissent partout où les forces occultes occidentalistes ont besoin d’elles pour revendiquer des attentats meurtriers et demandant des compétences que seuls des grands professionnels de l’action militaire peuvent présenter. Le meilleur surnom pour Al Quaeda que je connaisse est : Al CIAda, étant entendu que dans ce jeu de rôles menteur ou de poker bluffeur, la CIA est l’incarnation métonymique, voire synecdoquique, de l’immanentisme à version sioniste fondamentaliste et élitiste mondialiste/occidentaliste.

- L’opération Able Danger en dit long sur la nature d’agents doubles des 19 noms (plus ou moins inexacts) offerts en pâture au public mondial et occidental par les institutions américaines. Able Danger est un programme des services militaires américains qui est destiné à infiltrer les milieux terroristes, notamment islamistes, afin de protéger les intérêts américains, notamment sur le sol américain. Atta et trois autres comparses appartenaient depuis au moins 2000 à ce programme qui montre que les mercenaires lampistes étaient connus des services secrets et militaires bien avant le 911. S’ils n’ont pas été inquiétés, on peut même dire qu'ils ont été encouragés, c’est qu’ils étaient des parfaits rôles de boucs émissaires naïfs et détraqués, qui allaient être mis en avant pour les attentats en lieu et place de ceux qui les ont commis (rappelons ainsi qu'Atta aime beaucoup découper des chatons). Reste à savoir si les 19 fadas, qui devaient appartenir à des filières proches d’Able Danger, étaient des déséquilibrés revendiquant un rôle de terroristes connus par leurs manipulateurs ou s’ils pensaient être des mercenaires recrutés par les services secrets pour des rôles d’acteurs bien entendu non terroristes. C’est ainsi que les lampistes auraient pu monter dans les avions le 911 pour des manœuvres de simulation militaire qui ne devaient certainement pas se finir en attentats effectifs et qui ont été détournées de leur usage institutionnel par les maîtres d’œuvre de la logistique militaire et de renseignements. Il est important pour finir de préciser les conditions de recrutement de ces terroristes : à chaque fois, les pépinières évoquent très peu Al Quaeda et les montagnes désertiques d’Afghanistan, mais plutôt les circuits de recrutement des services de renseignements anglo-saxons et occidentalistes. L’Allemagne est peut-être une base arrière ou de repli, d’où l’on sort des types intéressants et déjà conditionnés. Une usine évidente de conditionnement se situe dans le Londonistan, où la complaisance des autorités ne vient certainement pas du libéralisme britannique (quel cynisme !), mais des protections dont jouissent les désaxés islamistes des mosquées incriminées et des milieux cités dans les cercles de la sécurité, de la défense et des services secrets anglo-saxons. Le recrutement est ainsi assuré dans tous les endroits où des paumés islamistes sont susceptibles de se trouver, avec la condition d’être familiarisés à la vie occidentale – et tant mieux s’ils la détestent. Le profil des 19 terroristes lampistes a été patiemment élaboré, couvé par les circuits de logistique, qui sont chargés de produire des terroristes contrôlés et manipulés dans les milieux islamistes. Il s’agit d’un recrutement et il faut imaginer que ces circuits tiennent sous la main des dizaines d’autres terroristes prêts à jouer le rôle des lampistes. Qui a tué le valeureux Massoud ? Qui a menacé W. le matin du 911 vers 6 heures du matin, heure de son jogging, dans une camionnette sous prétexte de réaliser une interview ? Il est probable que les historiens du 911 dégageront des éléments probants qui montreront que les officines qui fabriquent les terroristes islamistes avaient prévu pour le 911 des remplaçants aux lampistes officiels présentés. Comme dans les castings, on prévoit toujours à l’avance pour ce genre de jeu morbide et glauque les solutions de rechange. J’insiste bien sur un point : les structures qui ont fabriqué le 911 n’ont pas créé ex nihilo ces structures en vue du simple 911. Elles ont détourné de leur usage des méthodes qui ont toujours existé depuis au moins trente ans : infiltrer et manipuler les circuits de l’islamisme pour qu’ils soient au service de causes fort peu islamistes et fort occidentalistes. Les sionistes fondamentalistes connaissent très bien ces techniques et les anecdotes abondent où les services de renseignement israéliens sont plus ou moins soupçonnés d’avoir participé de la sorte à des attentats sous fausse bannière. Une fois de plus, les cellules actions sont des groupuscules privatisés qui infiltrent et détournent de leur usage des structures officielles et néanmoins parfaitement insidieuses, puisque relevant du monde opaque et ténébreux du renseignement.

2) Maintenant que les lampistes sont présentés, il faut comprendre que la logistique des attentats, assurée par les taupes indirectes au premier degré, est déléguée à des professionnels qui savent manier les techniques électroniques, technologiques et militaires de pointe. Après la farce des terroristes inexpérimentés, paumés et désaxés d’Al Quaeda introduits sur le sol américain pour de tout autres motifs que ceux qu'ils imaginaient, voyons qui sont ces professionnels qui ont vraiment réalisé le 911. Précisons d’abord qu’ils sont en fait les vrais auteurs des attentats et qu’ils n’ont rien à voir avec les guignols lampistes sur qui pèsent les accusations officielles.

- Ce sont des mercenaires de l’action, des militaires ou des professionnels aguerris aux techniques terroristes, des experts dans le maniement des technologies militaires et électroniques de pointe. Sans doute sont-ce aussi des tueurs à gages et autres membres d’unités spéciales, dont certains appartiennent peut-être à des groupuscules officiels, mais dont d’autres ont rejoint, après leur formation poussée, les intérêts privés et les compagnies de sécurité et paramilitaires.

- Ces professionnels sont mandatés par les logisticiens des compagnies de pointe en technologie et informatique – notamment. Ils sont également désignés pour leurs compétences d’élite par les professionnels militaires ou espions. Ils détiennent le privilège rare de travailler, dans le cadre du 911, avec les meilleures technologies et les meilleurs instruments.

* C’est ainsi que ce sont des militaires ou des paramilitaires qui ont détourné des techniques de simulation militaires pour tirer un missile sur le Pentagone en lieu et place d’un avion.

* pour les tours du WTC, ce sont des professionnels de compagnie de démolition qui ont travaillé avec du matériel de pointe à la destruction des 3 tours du WTC. En parallèle, ces professionnels bénéficiaient de l’appui des milieux affairistes de l’immobilier contrôlés par l’influence sioniste fondamentaliste.

* pour les avions, les équipes mercenaires ont manœuvré à distance, grâce à des techniques très sophistiquées, les avions, avec les temps de trajectoire parfaits pour les lancer à pleine vitesse contre les Twin Towers. Ce travail quasi parfait nécessitait l’aide de la haute technologie et de l’informatique de pointe pour réaliser cette synchronisation saisissante. Les équipes de mercenaires ont-elles infesté les Tours de termite (ou autres produits explosifs similaires), mais aussi de puces de signalement informatiques qui permettaient aux avions d’être guidés et d’indiquer le point de choc dans les tours avec une précision aussi chirurgicale que diabolique ? Certains contrôleurs agissaient-ils depuis le bunker du maire de New York dans le WTC 7, ce qui expliquerait pour partie la chute invraisemblable de ce building en fin de journée, bien après les attentats ? Je laisse vacantes ces questions, mais il est certain que ce sont des mercenaires de très haut niveau qui ont réalisé le coup et qu’ils bénéficiaient des conditions optimales pour réaliser la besogne.

* Les imprécisions et les imperfections montrent que le travail a subi des contraintes techniques imprévues : l’avion de Skanksville a sans doute été abattu pour qu’on ne découvre pas ce qu’il contenait vraiment. Aucun risque n’a été pris de ce point de vue. Le WTC 7 a sans doute été démoli pour cacher des preuves, mais sa démolition tardive et maladroite indique que les professionnels de l’action ont été pris au dépourvu par des incidents techniques ou stratégiques.

* Ce sont des équipes de l’action qui se sont chargées de camoufler les preuves les plus évidentes et immédiates de l’attentat meurtrier. En quelques semaines, les tonnes d’acier et de ferraille du WTC ont été expédiées en Asie et remodelées, ce qui constitue le plus grand déni et la plus importante destruction de preuves de l’histoire de la criminalité. Les mercenaires étaient donc aussi des professionnels du déblayage travaillant pour des compagnies de démolition affiliées aux réseaux action et logistique. Les mêmes remarques valent pour le Pentagone et Skanksville, où l’on voit que le secteur action peut être aussi joué par des équipes institutionnelles du FBI ou des pompiers pour faire disparaître les preuves. Bien entendu, certains pompiers officiels ou certains agents du FBI peuvent relever d’autres officines plus inavouables. Ils ne sont jamais que des éléments du complot qui détournent les institutions et se chargent de camoufler les preuves au cours de l’enquête, si bien que la suspicion sur le FBI ou sur son incompétence putative n’est pas justifiée. Le FBI n’est pas responsable en tant que FBI. Tout comme les autres accusés institutionnels, il serait même la première victime de son détournement et de sa manipulation par des réseaux félons et pirates.

* Les professionnels des circuits action montrent le bout de leur nez, non seulement dans la précision et l’exécution impressionnante des attentats, mais aussi dans les vidéos revendiquées par ben Laden depuis les attentats du 911. Car ce sont toujours des professionnels et des mercenaires spécialistes des techniques de pointe qui ont été embauchés pour monter ces grossières vidéos, avec des compagnies d’acteurs dans le rôle des sosies de ben Laden ou des voix trompeuses attribuées à ben Laden. Les mêmes remarques peuvent être adressées suite aux apparitions et aux imprécations d’Al Zawahiri ou d’Al-Zarqaoui (en Irak). Il est probable aussi que ce soit des professionnels qui aient détourné des techniques pointues de reconnaissance vocale pour simuler des appels depuis les avions détournés, ce dont témoignent les dialogues ubuesques entre les passagers présumés et les contactés, mais aussi les cas d’altitudes incompatibles avec de nombreux appels en 2001. Voilà qui montre que ces mercenaires ne sont pas seulement des professionnels froids comme la mort, ainsi que sont représentés les tueurs à gages dans les films, mais qu’ils sont aussi des faussaires facétieux. Pas seulement : sans doute également secondés par des scénaristes et des metteurs en scène de la mort et du secret dans leurs exercices de reconstitution et de remplacement du réel. Qu’ils n’y arrivent qu’imparfaitement est rassurant pour la primauté et la suprématie du réel sur les faux, les usages de faux et les escroqueries patentes.

Conclusion récapitulative et prospective.

Ce rêve implique plusieurs corolaires, qu’il importe de rappeler, voire d’énoncer en guise de prolongement et de débat.

- la transversalité et le cloisonnement dans les opérations du 911, d’où le mystère quasi indéchiffrable qui se dégage : toutes les composantes du 911 se retrouvent à chaque niveau, comme si elles se dédoublaient à la manière d’un labyrinthe. L’éclatement des structures et des identités rend l’explication encore plus ardue et embrouillée.

- L’imbrication intime et collatérale à tous les étages des financiers, des logisticiens et des hommes d’action.

- Les services secrets internationaux, si présents dans le 911, se sont aussi signalés de manière institutionnelle et officielle depuis le 911 pour rappeler qu’ils avaient transmis de multiplies mises en garde aux institutionnels américains sur les risques d’attentat. Bien entendu, les services secrets des pays arabes, dont certains étaient tenus très éloignés des manœuvres et ont pris pour des dangers comptants ce qui relevait du jeu de la proie et de l’ombre. Il est plus intéressant de constater que des services alliés comme les français ont transmis des alertes. Mais aussi des services directement concernés, comme les Saoudiens, les Jordaniens (proches des Américains) ou les Israéliens, qui se sont signalés par des manœuvres d’espionnage des pirates ou par des alertes aux collègues américains. Ce fait troublant montre que ce sont bien des structures flottantes et pirates qui ont perpétré le 911 puisqu’elles agissaient à l’ombre et dans l’antre des institutions et que les services de renseignement institutionnels ont joué parallèlement et fort ironiquement leur rôle (ironiquement, car ils étaient espionnés et piratés dans le moment où ils espionnaient).

- Enfin, on ne parle quasiment jamais du rôle de l’OTAN, comme structure mutante depuis le 911. Quel rôle a joué l’OTAN dans le 911 ? On sait que les services de l’OTAN sont accusés de nombreux attentats durant les années de guerre froides, afin d’imputer aux terroristes d’extrême-gauche et au communisme in fine la responsabilité de crimes sous fausse bannière, cette simple mention suffit à montrer la parenté des méthodes atlantistes de l’OTAN avec le terrorisme à l’œuvre dans le 911. Peut-être les historiens nous apprendront-ils un jour que des structures sous bannière de l’OTAN ont servi à fabriquer la logistique ou l’action de certains pans du 911.

- Je m’aperçois que je n’ai jamais mentionné l’atlantisme. Dans mon esprit, l’atlantisme est un synonyme de l’occidentalisme, soit une forme d’immanentisme. L’atlantisme est dès lors fort proche, outre les termes cités, du fondamentalisme sioniste et de toutes les dérives inquiétantes perceptibles dans le 911. Les atlantistes me font songer à des résurgences des antiques et mythiques Atlantes. J’espère simplement que la civilisation atlante, qui est la civilisation occidentale, ne disparaîtra pas de la surface du globe et du réel à la faveur d’une catastrophe qui n’aurait rien de naturelle et qui résulterait tragiquement des usages déraisonnables de la technique, soit de la démesure humaine.

Cette simulation intellectuelle et imaginaire est terminée. J’insiste bien sur un point : elle est au service de la vérité et la vérité n’est jamais subordonnée à la haine. Au contraire, comprendre, c’est intégrer à soi, ce qui signifie aussi que la compréhension de la vérité prévient les haines de type raciste, culturel ou religieux. C’est ainsi que les vrais ennemis des Juifs ou des Israéliens, toutes catégories que je respecte infiniment, n’ont pas pour ennemi les chercheurs de vérité, qui n’essaient jamais que de sauver l’humanité de sa grave crise présente et de son déclin programmé (sa disparition, si aucune réaction n’était intentée, ce dont je doute, heureusement). Leurs vrais ennemis sont intérieurs, comme dans le cas du 911, et ce sont bel et bien les sionistes fondamentalistes, surtout quand ces sionistes sont également juifs ou israéliens. Quant à l’homme, son ennemi n’est bien entendu nullement le Juif en tant que Juif (dans ce cas, le Juif en tant que Juif serait plutôt une bénédiction et un supplément de grâce). Ce sont les immanentistes, qui ont inspiré la mondialisation élitiste et destructrice, et qui ne prospèrent que grâce à la crise qu’ils ont créée et qu’ils gèrent de manière désastreuse et inconséquente, avec leurs méthodes désaxées.
Eh bien, le rêve est terminé. Place à la réalité ! Que les faits adviennent et qu’ils soient dans le futur moins terribles et angoissants que les tourments que nous traversons actuellement, ceux qui donnent le sentiment que l’on, que l’homme, n’y arrivera pas, que la purée de pois est trop épaisse et – étouffante.

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