Deux notes en passant concernant le problème israélien :
1) contrairement à ceux qui croient que c'est Israël qui manipule le monde via les États-Unis, il serait temps d'appliquer le critère de la visibilité dans cette affaire. Les plus visibles ne sont pas les plus impliqués. Cette constatation ne signifie pas qu'ils ne soient pas impliqués, mais que leur implication est moins engagée. C'est ainsi que l'on peut affirmer que les institutions israéliennes sonnt plus manipulées que manipulatrices. Par qui? Il est certain que dans le triptyque Israël/États-Unis/Royaume-Uni qui dirige grandement le monde à l'heure actuelle, on a tendance à occulter la responsabilité du Royaume-Uni.
Le raisonnement qui était valable pour les Juifs, les sionistes ou les Israéliens l'est a fortiori pour les Anglais ou les Anglo-saxons : à chaque fois, ce sont des factions qui agissent - pas des peuples, pas des communautés religieuses. Dans cette perspective, ce sont ces factions implantées à la City principalement qui dirigent les affaires du monde via la finance et la banque. Selon ce schéma, Israël en tant que création immanentiste est le pantin et la marionnette de ces intérêts bien plus que leur auteur. Même les États-Unis ont un rôle des plus ambigus, puisqu'ils sont victimes au moins autant que bourreaux.
2) Si on remonte aussi souvent à Israël ou aux Juifs, ce n'est pas par antisémitisme ou par pure invention fantasmatique. C'est parce que les factions qui se tapissent derrière ces communautés, cette religion et ce peuple utilisent et manipulent le judaïsme, le sionisme et la nationalité israélienne. On peut parler d'usurpation sans crainte aucune. D'une part, la religion juive est totalement opposée aux exactions dont font preuve ces factions financières. D'autre part, ce ne sont pas des peuples qui agissent de la sorte. Enfin, le sionisme est une idéologie. En tant que telle, il prône le retour des Juifs en Palestine et leur rétablissement en tant que peuple.
Walt et Mearsheimer ont démontré que la politique américaine étrangère, largement dictée par les intérêts pro-israéliens, nuisaient gravement aux intérêts américains, ce qui n'est pas un mince paradoxe. La preuve que le sionisme est manipulé bien plus que manipulateur, c'est que les intérêts israéliens pâtissent davantage de la politique sioniste ou des choix sionistes que la politique américaine. Il faut être fou d'un point de vue israélien pour suivre cette politique de guerre contre le terrorisme et refuser avec entêtement un compromis avec les Palestiniens et les pays voisins.
A terme, cette politique suicidaire est incompatible avec la sécurité et la pérennité de l'État israélien. C'est donc qu'il existe une connexion très forte entre Israël et les factions et qu'Israël est le jouet de ces factions. Il est aussi du coup le réceptacle qui prend sous son bonnet la responsabilité des terribles exactions actuelles aux yeux de l'opinion mondiale, que les médias manipulent bien moins qu'ils ne le croient dans leur égarement élitiste et étriqué. Cette connexion est facile à édicter : ce sont des factions financières et bancaires qui manipulent à l'heure actuelle le monde. Parmi des factions, un nombre certain de Juifs (man)oeuvrent et utilisent du fait de leur identité juive les intérêts affichés sionistes et l'État d'Israël.
Reste qu'ils manipulent leur identité et qu'ils nuisent aux intérêts dont ils se prétendent les défenseurs. En réalité, ce sont des immanentistes, nullement des Juifs ou des protestants (notamment et grandement), et on peut leur appliquer sans crainte de se tromper la parole de Jérémie que cite l'intellectuel israélien Leibowitz à leur endroit : "Je vous couvrirai d'un opprobre éternel, d'une honte éternelle qu'on n'oubliera jamais".
1) contrairement à ceux qui croient que c'est Israël qui manipule le monde via les États-Unis, il serait temps d'appliquer le critère de la visibilité dans cette affaire. Les plus visibles ne sont pas les plus impliqués. Cette constatation ne signifie pas qu'ils ne soient pas impliqués, mais que leur implication est moins engagée. C'est ainsi que l'on peut affirmer que les institutions israéliennes sonnt plus manipulées que manipulatrices. Par qui? Il est certain que dans le triptyque Israël/États-Unis/Royaume-Uni qui dirige grandement le monde à l'heure actuelle, on a tendance à occulter la responsabilité du Royaume-Uni.
Le raisonnement qui était valable pour les Juifs, les sionistes ou les Israéliens l'est a fortiori pour les Anglais ou les Anglo-saxons : à chaque fois, ce sont des factions qui agissent - pas des peuples, pas des communautés religieuses. Dans cette perspective, ce sont ces factions implantées à la City principalement qui dirigent les affaires du monde via la finance et la banque. Selon ce schéma, Israël en tant que création immanentiste est le pantin et la marionnette de ces intérêts bien plus que leur auteur. Même les États-Unis ont un rôle des plus ambigus, puisqu'ils sont victimes au moins autant que bourreaux.
2) Si on remonte aussi souvent à Israël ou aux Juifs, ce n'est pas par antisémitisme ou par pure invention fantasmatique. C'est parce que les factions qui se tapissent derrière ces communautés, cette religion et ce peuple utilisent et manipulent le judaïsme, le sionisme et la nationalité israélienne. On peut parler d'usurpation sans crainte aucune. D'une part, la religion juive est totalement opposée aux exactions dont font preuve ces factions financières. D'autre part, ce ne sont pas des peuples qui agissent de la sorte. Enfin, le sionisme est une idéologie. En tant que telle, il prône le retour des Juifs en Palestine et leur rétablissement en tant que peuple.
Walt et Mearsheimer ont démontré que la politique américaine étrangère, largement dictée par les intérêts pro-israéliens, nuisaient gravement aux intérêts américains, ce qui n'est pas un mince paradoxe. La preuve que le sionisme est manipulé bien plus que manipulateur, c'est que les intérêts israéliens pâtissent davantage de la politique sioniste ou des choix sionistes que la politique américaine. Il faut être fou d'un point de vue israélien pour suivre cette politique de guerre contre le terrorisme et refuser avec entêtement un compromis avec les Palestiniens et les pays voisins.
A terme, cette politique suicidaire est incompatible avec la sécurité et la pérennité de l'État israélien. C'est donc qu'il existe une connexion très forte entre Israël et les factions et qu'Israël est le jouet de ces factions. Il est aussi du coup le réceptacle qui prend sous son bonnet la responsabilité des terribles exactions actuelles aux yeux de l'opinion mondiale, que les médias manipulent bien moins qu'ils ne le croient dans leur égarement élitiste et étriqué. Cette connexion est facile à édicter : ce sont des factions financières et bancaires qui manipulent à l'heure actuelle le monde. Parmi des factions, un nombre certain de Juifs (man)oeuvrent et utilisent du fait de leur identité juive les intérêts affichés sionistes et l'État d'Israël.
Reste qu'ils manipulent leur identité et qu'ils nuisent aux intérêts dont ils se prétendent les défenseurs. En réalité, ce sont des immanentistes, nullement des Juifs ou des protestants (notamment et grandement), et on peut leur appliquer sans crainte de se tromper la parole de Jérémie que cite l'intellectuel israélien Leibowitz à leur endroit : "Je vous couvrirai d'un opprobre éternel, d'une honte éternelle qu'on n'oubliera jamais".
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