Le raisonnement de ceux qui incriminent Israël derrière le 911 ou derrière les politiques désastreuses de la guerre contre le terrorisme est simple : si les résultats bénéficient à Israël, c'est qu'Israël est le commanditaire. Raisonnement impeccable par certains points de vue, et qui serait difficilement contestable si une objection majeure ne venait immédiatement à l'esprit : c'est que, précisément, tant le 911 que la guerre contre le terrorisme défavorisent Israël.
Il se pourrait bien plutôt que la création récente et contestée d'Israël réponde à la manipulation qu'intentent ceux qui se trouvent derrière Israël en ce moment, les oligarques de la haute finance pour faire vite. Il est pertinent de comprendre qu'Israël est le bras armé et la partie la plus visible d'un iceberg dont les bas fonds sont régis par la banque internationale. Loin d'être le manipulateur, Israël serait le manipulé, ce qui ne signifie pas que certains de ses dirigeants n'appartiennent pas aux cénacles des oligarques mondialistes et occidentalistes qui dans leur grande folie font actuellement la pluie et le beau temps - en attendant l'orage et la grêle.
Ce statut d'Israël implique un renversement de raisonnement qui fait d'Israël un objet de manipulation. L'habituel raisonnement des ennemis d'Israël, qui ne sont pas de ce fait des antisémites, consiste à voir en Israël le manipulateur tirant toutes les ficelles, en particulier les ficelles néfastes.
Mais si l'on s'avise toujours qu'Israël paye très cher pour sa politique dévastatrice et que cet État fragile risque de payer de sa survie ses agressions et ses attentats répétés, alors on comprend que les dirigeants d'Israël agissent en sous-main pour des intérêts qui ne sont pas exclusivement israéliens; qui ne sont pas exclusivement juifs; que le fond du problème renvoie à l'immanentisme.
Il serait temps de chercher dans tous les cas des responsabilités qui soient transversales dans le mondialisme et qui impliquent au moins autant les Anglo-saxons que les Juifs. L'antisémitisme est dénué de valeur, ce qui ne signifie pas que tous les Juifs soient blancs comme neige. Par contre, il est certain que derrière les Israéliens ou les sionistes, l'on trouve l'immanentisme, car il est opportun de chercher une ligne de points communs qui réunissent les Juifs et les protestants, mais aussi les Saoudiens - entre autres.
Quand on se rend compte que le fondement du fonctionnement mondialiste n'est pas le judaïsme, mais que ce dernier est plutôt un révélateur, on cerne mieux quel est le véritable fondement : l'immanentisme. Et si l'on trouve si souvent les Juifs entre Israël, la finance, la banque, les États-Unis ou le 911, c'est que les Juifs ont le statut qui convient si bien aux immanentistes. Ils sont des rejetés.
Dans le tableau synoptique du monde immanentiste, je ne suis pas loin de penser qu'un renversement de perspectives est sans doute le plus efficace et le plus perspicace pour comprendre la position des Juifs : non d'être des instigateurs et des auteurs; plutôt des manipulés et des victimes paradoxales, puisque accusées à tort au nom du Complot Juif, alors que ce sont les immanentistes qui constituent la vraie identité des cerveaux oligarchiques du monde contemporain.
Il se pourrait bien plutôt que la création récente et contestée d'Israël réponde à la manipulation qu'intentent ceux qui se trouvent derrière Israël en ce moment, les oligarques de la haute finance pour faire vite. Il est pertinent de comprendre qu'Israël est le bras armé et la partie la plus visible d'un iceberg dont les bas fonds sont régis par la banque internationale. Loin d'être le manipulateur, Israël serait le manipulé, ce qui ne signifie pas que certains de ses dirigeants n'appartiennent pas aux cénacles des oligarques mondialistes et occidentalistes qui dans leur grande folie font actuellement la pluie et le beau temps - en attendant l'orage et la grêle.
Ce statut d'Israël implique un renversement de raisonnement qui fait d'Israël un objet de manipulation. L'habituel raisonnement des ennemis d'Israël, qui ne sont pas de ce fait des antisémites, consiste à voir en Israël le manipulateur tirant toutes les ficelles, en particulier les ficelles néfastes.
Mais si l'on s'avise toujours qu'Israël paye très cher pour sa politique dévastatrice et que cet État fragile risque de payer de sa survie ses agressions et ses attentats répétés, alors on comprend que les dirigeants d'Israël agissent en sous-main pour des intérêts qui ne sont pas exclusivement israéliens; qui ne sont pas exclusivement juifs; que le fond du problème renvoie à l'immanentisme.
Il serait temps de chercher dans tous les cas des responsabilités qui soient transversales dans le mondialisme et qui impliquent au moins autant les Anglo-saxons que les Juifs. L'antisémitisme est dénué de valeur, ce qui ne signifie pas que tous les Juifs soient blancs comme neige. Par contre, il est certain que derrière les Israéliens ou les sionistes, l'on trouve l'immanentisme, car il est opportun de chercher une ligne de points communs qui réunissent les Juifs et les protestants, mais aussi les Saoudiens - entre autres.
Quand on se rend compte que le fondement du fonctionnement mondialiste n'est pas le judaïsme, mais que ce dernier est plutôt un révélateur, on cerne mieux quel est le véritable fondement : l'immanentisme. Et si l'on trouve si souvent les Juifs entre Israël, la finance, la banque, les États-Unis ou le 911, c'est que les Juifs ont le statut qui convient si bien aux immanentistes. Ils sont des rejetés.
Dans le tableau synoptique du monde immanentiste, je ne suis pas loin de penser qu'un renversement de perspectives est sans doute le plus efficace et le plus perspicace pour comprendre la position des Juifs : non d'être des instigateurs et des auteurs; plutôt des manipulés et des victimes paradoxales, puisque accusées à tort au nom du Complot Juif, alors que ce sont les immanentistes qui constituent la vraie identité des cerveaux oligarchiques du monde contemporain.
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