S'il est certain que l'État d'Israël est impliqué étroitement dans la surveillance du 911, avec tout ce que ce commentaire signifie de facto, il faut comprendre que les factions immanentistes derrière le 911 ne proviennent pas d'Israël comme stade ultime des décisions. Au contraire, le peuple israélien et les institutions israéliennes sont pris en otage par les groupes immanentistes mondialisés et transnationaux. On parle beaucoup du Mossad et d'Israël; comme l'on parle beaucoup des États-Unis, de certains pans de son armée, de ses services secrets (pas seulement la CIA) et de ses courants politiques (dont les notoires et pro-Likoud néoconservateurs).
On en parle trop. Non que ces rumeurs soient des inventions ou que la vérité soit plus triviale que les théories du complot rebaptisées conspirationnistes par ceux que l'existence avérée des complots insupportent (un rapport lamentable du FBI, récemment exhumé et colporté par les occidentalistes, offre cette piste comme perspectives aberrantes de réflexion/diversion). La vérité n'est pas cachée ou introuvable. Elle est à chercher derrière les États et les institutions, dans les factions.
Justement, un signe qui ne trompe pas, c'est la publicité néfaste qui est faite aux États-Unis et à Israël, pas seulement à cause de la politique destructrice et impérialiste de ces deux États alliés, mais aussi parce que dans ce monde gouverné par les immanentistes, on expose toujours les moins impliqués, soit les impliqués qui le sont le moins quand on ne peut pas mettre sur le devant de la scène les lampistes corvéables et malléables, style ben Laden ou, mieux, l'ineffable Atta.
Qui sont alors les plus exposés dans ce jeu de marionnettes où le but est de laisser entendre que les ventriloques n'existent pas? Les Israéliens et les Américains. Sans doute sont-ils d'autant moins directement impliqués qu'il faut en déduire que les immanentistes détruisent l'État d'Israël comme ils détruisent les États-Unis : c'est-à-dire qu'ils détruisent ce dont ils se servent - et c'est peu dire qu'ils se servent abondamment de ces deux États et de leurs institutions. Le 911 montre que les institutions ont été très utilisées pour réaliser ces attentats, avant que l'on n'épuise ces mêmes institutions dans des guerres injustifiées et injustifiables (d'un point de vue juridique et légal s'entend).
Les institutions israéliennes et américaines vont payer très cher les répercussions du 911. Elles ont été piratées par des coucous catastrophiques qui s'y entendent en matière de manipulation. Mais ces coucous institutionnels opèrent sans doute depuis le Royaume-Uni, puisque des trois pays les plus impliqués, on parle beaucoup moins du Royaume-Uni. Il y eut pourtant les attentats de Londres, qui obéissent à une logique de détournement institutionnel clair. Il y eut en plus l'épisode tragi-comique de la guerre en Irak, dont on mesure que les ordres de mensonge et de manipulation émanaient directement de Londres plus que de Washington et que Blair s'y pliait avec une célérité étonnante au vu de ses convictions politiques affichées.
Qui a sorti les rapports mensongers sur l'Irak nucléaire et armé jusqu'aux dents? Le cabinet de Blair. Où travaille désormais Blair depuis sa démission-éclair? Pour la paix au Liban? On mesure l'efficacité de ses résultats : guerre en Irak et guerre au Liban, à chaque fois guerre civile et chaos institutionnel. C'est donc depuis l'Angleterre que l'impérialisme anglo-saxon fonctionne et lance ses décrets inavouables, bien plus que depuis les États-Unis. Mais ce n'est pas tout : c'est la preuve que les immanentistes ont établi leurs bases plutôt en Angleterre qu'aux États-Unis ou en Israël. Ce sont des lieux plus discrets et moins polémiques que des rivages dévastés par la guerre, comme c'est le cas d'Israël. On s'y épanouit en toute quiétude, alors qu'en Israël on dépêche les peuples lampistes qui sont les premiers larbins à essuyer les plats d'une situation géopolitique inextricable.
Pendant que le monde se révolte conte l'impérialisme américain ou la furie israélienne, il ne pense pas à tourner ses regards suspicieux vers les instigateurs qui manipulent l'impérialisme obvie de ces deux pays. C'est le but recherché et convoité : car démasqués, les immanentistes verraient leur influence derechef menacée. Il est bien entendu que comme toujours les choses sont très complexes et que la responsabilité immanentiste n'est pas à reporter sur les institutions britanniques ou sur le peuple britannique (on remarquera cependant que Shoah oblige il est plus facile d'incriminer par amalgame les peuples britanniques ou américains que les Israéliens ou les Juifs). Ce sont bel et bien des factions qui tirent les ficelles.
Les factions immanentistes tirent les ficelles depuis la City, première place financière du monde, et depuis des endroits britanniques qui montrent assez que les institutions britanniques sont sous leur coupe (réglée). Que l'on regarde la politique européenne mise en place depuis peu : Bruxelles obéit bel et bien aux lois de l'ultralibéralisme britannique. Les factions britanniques en place derrières l'État britannique profitent du passé historique et impérial de l'Angleterre pour tirer les ficelles un peu partout dans le monde, à commencer par les États-Unis et Israël.
Alors que les États-Unis sont au bord du gouffre et qu'Israël en est à s'interroger sur son avenir et sa pérennité dans la région, les seules réponses sont toujours plus de guerres et de destructions. Toujours plus de manipulations. La guerre d'Irak est une ineptie. Les méthodes immanentistes sont une ineptie. De quoi nourrir certaines inquiétudes quant à l'avenir du Royaume-Uni. Il est certain que les sujets de Sa Majesté auront à subir tôt ou tard le vent de la destruction que les factions sèment dans leur dos, en leur faisant miroiter pour l'instant une prospérité fragile et de bon aloi.
On en est à constater la décrépitude américaine et israélienne, mais l'effritement britannique a sans doute également commencé sous les discours mielleux de la viabilité de l'ultralibéralisme modéré (version UE). Reste à comprendre que les instigateurs et les responsables de ces politiques immanentistes dissimulatrices et aveuglantes ne sont pas à chercher spécifiquement en Israël et aux États-Unis, comme notre inclination la plus tentatrice nous le souffle avec une facilité égarée. Bien plus du côté de l'Angleterre; et bien plus surtout en direction de toutes les places-fortes qui offrent un accueil aux factions en plaçant leurs institutions à leurs services : les paradis fiscaux?
On en parle trop. Non que ces rumeurs soient des inventions ou que la vérité soit plus triviale que les théories du complot rebaptisées conspirationnistes par ceux que l'existence avérée des complots insupportent (un rapport lamentable du FBI, récemment exhumé et colporté par les occidentalistes, offre cette piste comme perspectives aberrantes de réflexion/diversion). La vérité n'est pas cachée ou introuvable. Elle est à chercher derrière les États et les institutions, dans les factions.
Justement, un signe qui ne trompe pas, c'est la publicité néfaste qui est faite aux États-Unis et à Israël, pas seulement à cause de la politique destructrice et impérialiste de ces deux États alliés, mais aussi parce que dans ce monde gouverné par les immanentistes, on expose toujours les moins impliqués, soit les impliqués qui le sont le moins quand on ne peut pas mettre sur le devant de la scène les lampistes corvéables et malléables, style ben Laden ou, mieux, l'ineffable Atta.
Qui sont alors les plus exposés dans ce jeu de marionnettes où le but est de laisser entendre que les ventriloques n'existent pas? Les Israéliens et les Américains. Sans doute sont-ils d'autant moins directement impliqués qu'il faut en déduire que les immanentistes détruisent l'État d'Israël comme ils détruisent les États-Unis : c'est-à-dire qu'ils détruisent ce dont ils se servent - et c'est peu dire qu'ils se servent abondamment de ces deux États et de leurs institutions. Le 911 montre que les institutions ont été très utilisées pour réaliser ces attentats, avant que l'on n'épuise ces mêmes institutions dans des guerres injustifiées et injustifiables (d'un point de vue juridique et légal s'entend).
Les institutions israéliennes et américaines vont payer très cher les répercussions du 911. Elles ont été piratées par des coucous catastrophiques qui s'y entendent en matière de manipulation. Mais ces coucous institutionnels opèrent sans doute depuis le Royaume-Uni, puisque des trois pays les plus impliqués, on parle beaucoup moins du Royaume-Uni. Il y eut pourtant les attentats de Londres, qui obéissent à une logique de détournement institutionnel clair. Il y eut en plus l'épisode tragi-comique de la guerre en Irak, dont on mesure que les ordres de mensonge et de manipulation émanaient directement de Londres plus que de Washington et que Blair s'y pliait avec une célérité étonnante au vu de ses convictions politiques affichées.
Qui a sorti les rapports mensongers sur l'Irak nucléaire et armé jusqu'aux dents? Le cabinet de Blair. Où travaille désormais Blair depuis sa démission-éclair? Pour la paix au Liban? On mesure l'efficacité de ses résultats : guerre en Irak et guerre au Liban, à chaque fois guerre civile et chaos institutionnel. C'est donc depuis l'Angleterre que l'impérialisme anglo-saxon fonctionne et lance ses décrets inavouables, bien plus que depuis les États-Unis. Mais ce n'est pas tout : c'est la preuve que les immanentistes ont établi leurs bases plutôt en Angleterre qu'aux États-Unis ou en Israël. Ce sont des lieux plus discrets et moins polémiques que des rivages dévastés par la guerre, comme c'est le cas d'Israël. On s'y épanouit en toute quiétude, alors qu'en Israël on dépêche les peuples lampistes qui sont les premiers larbins à essuyer les plats d'une situation géopolitique inextricable.
Pendant que le monde se révolte conte l'impérialisme américain ou la furie israélienne, il ne pense pas à tourner ses regards suspicieux vers les instigateurs qui manipulent l'impérialisme obvie de ces deux pays. C'est le but recherché et convoité : car démasqués, les immanentistes verraient leur influence derechef menacée. Il est bien entendu que comme toujours les choses sont très complexes et que la responsabilité immanentiste n'est pas à reporter sur les institutions britanniques ou sur le peuple britannique (on remarquera cependant que Shoah oblige il est plus facile d'incriminer par amalgame les peuples britanniques ou américains que les Israéliens ou les Juifs). Ce sont bel et bien des factions qui tirent les ficelles.
Les factions immanentistes tirent les ficelles depuis la City, première place financière du monde, et depuis des endroits britanniques qui montrent assez que les institutions britanniques sont sous leur coupe (réglée). Que l'on regarde la politique européenne mise en place depuis peu : Bruxelles obéit bel et bien aux lois de l'ultralibéralisme britannique. Les factions britanniques en place derrières l'État britannique profitent du passé historique et impérial de l'Angleterre pour tirer les ficelles un peu partout dans le monde, à commencer par les États-Unis et Israël.
Alors que les États-Unis sont au bord du gouffre et qu'Israël en est à s'interroger sur son avenir et sa pérennité dans la région, les seules réponses sont toujours plus de guerres et de destructions. Toujours plus de manipulations. La guerre d'Irak est une ineptie. Les méthodes immanentistes sont une ineptie. De quoi nourrir certaines inquiétudes quant à l'avenir du Royaume-Uni. Il est certain que les sujets de Sa Majesté auront à subir tôt ou tard le vent de la destruction que les factions sèment dans leur dos, en leur faisant miroiter pour l'instant une prospérité fragile et de bon aloi.
On en est à constater la décrépitude américaine et israélienne, mais l'effritement britannique a sans doute également commencé sous les discours mielleux de la viabilité de l'ultralibéralisme modéré (version UE). Reste à comprendre que les instigateurs et les responsables de ces politiques immanentistes dissimulatrices et aveuglantes ne sont pas à chercher spécifiquement en Israël et aux États-Unis, comme notre inclination la plus tentatrice nous le souffle avec une facilité égarée. Bien plus du côté de l'Angleterre; et bien plus surtout en direction de toutes les places-fortes qui offrent un accueil aux factions en plaçant leurs institutions à leurs services : les paradis fiscaux?
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