lundi 12 mai 2008

Karen S. Johnson : Pour appuyer mes déclarations concernant les questions relatives au 11/9

http://news.reopen911.info/

"Karen S. Johnson pour le East Valley Tribune, le lundi 5 mai 2008, repris par Prison Planet.

Karen S Johnson

Une lettre récente adressée à l’éditeur demande des preuves de mes déclarations concernant la tragédie du 11/9. Je présente ci-dessous quelques points qui sont connus aujourd’hui. Je ne pourrai pas convaincre ceux qui ne veulent pas l’être, mais pour ceux qui sont prêts examiner des preuves factuelles, merci de considérer ceci :

  • 37 personnes différentes ont rapporté des explosions dans les sous-sols des tours du World Trade Center avant l’impact du premier avion, et des équipements de mesure sismiques ont enregistré aussi bien les explosions que les impacts. De plus, des personnes ont été blessées par des explosions dans le sous-sol, fournissant des preuves parfaitement documentées. Pourtant toutes ces preuves ont été ignorées.

  • Les médias et le gouvernement ont mis en avant la théorie de la « pile d’assiettes » comme explication de l’effondrement des tours jumelles, - c’est-à-dire que le feu a affaibli les poutres porteuses en acier, causant l’effondrement des étages supérieurs. Alors le poids de ces derniers ont entraîné l’effondrement des étages situés en dessous. Cette théorie n’est pas cohérente avec les lois scientifiques et les faits. Frank Legge qui a un doctorat en chimie et Tony Szamboti qui est un ingénieur en mécanique, ont conclu dans le Journal des Etudes sur le 11/9 : « Il apparaît donc que le concept officiel de l’effondrement en chute libre attribué au fait que la partie supérieure de la tour aurait cedé à cause de la chaleur de l’incendie ainsi provoquant ledit éffondrement, est fantaisiste. Si la température devenait suffisamment élevée pour permettre l’effondrement de se produire » - et tout le monde est d’accord que ce n’était pas le cas - « cela ne se serait pas produit tel que cela a été observé. En particulier cela n’aurait pas été soudain et par conséquent n’aurait pas pu produire la vitesse et donc l’inertie et l’énergie cinétique, sur lesquelles reposent la version officielle pour expliquer la deuxième phase d’effondrement. »

  • La théorie selon laquelle les bâtiments se sont effondrés suite à une démolition contrôlée est pourtant cohérente avec les lois de la physique ainsi qu’avec les faits. La théorie de la démolition, en fait, est la seule que les scientifiques sont parvenus à corroborer. C’est-à-dire que « … toutes les observations sont en accord avec l’utilisation d’explosifs suivant une séquence temporelle. » (Legge et Szamboti, Décembre 2007, Journal des Etudes sur le 11/9.)

  • Des rapports sousmis aux et revus par des pairs indiquent que les poussières créées par le désastre contenaient des particules de métal qui avait été exposé et à des températures extrêmes (plus élevées que celles qu’aurait pu produire un bureau en flamme ou du carburant d’avion qui brûle) et à une pression extrême (comme celle créée par une explosion) qui pulvériserait du béton en particules microscopiques. Les rapports officiels ignorent ces conclusions.

  • En décembre, le physicien Steven Jones a annoncé la découverte de traces de thermite dans les échantillons de poussières du WTC. La composition de ces traces sont en parfaite correspondance avec des échantillons de thermite connus utilisés dans les démolitions contrôlées – une nouvelle preuve corroborant que des explosifs ont été utilisés.

  • Des poutres porteuses en acier récupérées sur le site du WTC montre des bords coupés caractéristiques des poutres d’acier découpée par de la thermite lors de démolitions contrôlées et qui ne sont pas caractéristiques de poutres d’aciers qui ont brûlé dans un incendie.

Quand le rapport de la Commission du 11/9 a finalement été publié, il a montré d’horribles insuffisances. Il n’a jamais évoqué l’effondrement du Bâtiment n°7, par exemple. L’ancien directeur du FBI Louis Freech a déclaré qu’il y a des inexactitudes dans le rapport et des questions sans réponses. Les deux présidents de la Commission - Thomas Kean et Lee Hamilton - eux-mêmes ont accusés la CIA d’obstruction dans leur enquête et un membre de la Commission, le sénateur Max Cleland, a démissionné en expliquant que le travail de la Commission était compromis.
Des personnes indépendantes avec des compétences spécialisées - des scientifiques, des ingénieurs, des architectes, des experts en démolition ainsi que des pompiers et des policiers qui étaient sur place le 11 septembre 2001, ont éprouvé les théories, construit des modèles, fourni des témoignages et cherché la vérité sur ce qui s’est réellement passé le 11/9. Ils ont été ignorés par les médias et le gouvernement.
Les médias de masse répètent tels des perroquets les conclusions peu crédibles de la Commission du 11/9 sans se soucier des nombreuses incohérences et omissions. Dans un pays vraiment libre, la presse poserait des questions sensées et mènerait un réel travail d’investigation, mais ce n’est pas le cas. Seulement les médias alternatifs, comme les sites d’information sur Internet, ont réalisé de solides enquêtes.
Les événements du 11/9 ont immédiatement conduit à la création du Ministère de la Sécurité Intérieure et à l’adoption du Patriot Act (quel double langage), tous deux nous privant de certains droits constitutionnels et nous conduisant au seuil d’un état policier. La Sécurité Intérieure essaie actuellement d’imposer, couteau sous la gorge, une carte d’identité nationale, bien que certains gouverneurs aient poliment (ou pas si poliment que cela) dit au ministre Michael Chertoff d’aller se faire voir.
Si nous devons sacrifier notre liberté, il faut qu’il y ait une très bonne raison, et nous avons le droit de la connaître. Il est inacceptable que le gouvernement dise tout simplement « Faites-moi confiance. » Cela fait longtemps que le Congrès aurait dû autoriser une enquête indépendante sur le 11/9 qui prenne en compte l’ensemble des nouvelles preuves rassemblées ces 7 dernières années. Plus ils attendent, plus la suspicions s’accumulent.
Sénatrice Karen S. Johnson, R-Mesa, représentante du 18ème District."

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