Gardons bien à l'esprit que les factions qui agissent utilisent toutes les institutions, aussi bien les institutions israéliennes que les institutions américaines. Donc : n'allons pas croire que ce sont les Israéliens en tant qu'Israéliens qui ont agi derrière le 911. Israël est piraté comme les États-Unis sont piratés. Qui pirate les institutions de manière aussi transversale? Il est absolument certain que l'implication d'Israël dans la surveillance de haut vol du 911 laisse s'entredessiner une terrible vérité : et si le Mossad et d'autres ressources israéliennes, notamment relevant du secteur industriel et privé, avaient été utilisés pour sous-traiter le 911, non dans sa totalité, mais dans une partie au moins?
Il est probant d'insinuer que l'attentat contre le Pentagone, s'il ne saurait être l''oeuvre d'un Boeing détourné 757, émane de services militaires américains. De ce point de vue, l'attentat contre le Pentagone signale plus l'implication de certains pans et certaines factions des institutions américaines, notamment militaires. Mais le WTC? L'incroyable farce de la version officielle en s'effondrant (en même temps que les tours) libère l'implication dans la surveillance de dizaine d'agents israéliens, non loin du WTC, mais également non loin des pirates présumés, en particulier en Floride. Encore la Floride et son univers impitoyable...
Et si ceux qui ont pensé le 911 l'avait délibérément scindé en deux parties : d'un côté le Pentagone, dont l'exécution est laissée aux bons soins des militaires américains et autres affidés; de l'autre, le WTC, dont l'attaque a été confiée au savoir-faire inégalable en matière d'espionnage et de manipulation du Mossad? Voilà qui expliquerait la liesse invraisemblable des agents israéliens déguisés en terroristes arabes au moment où les Tours s'effondrent. Que fabriquaient ces énergumènes au moment idoine et pourquoi se réjouissaient-ils ainsi de la catastrophe? Auraient-ils réussi leurs objectifs et leur mission?
Effectivement, ils ont réussi leur mission : lancer la guerre contre le terrorisme. Et ils ont toutes les raisons de se montrer aussi exubérants face à la catastrophe. Ils ont réalisé un travail extraordinaire, dont toutes les mémoires rappelleront l'effectivité au cours des siècles des siècles. Pas certain cependant que ce genre d'exploit soit de ceux dont on félicite les auteurs transformés en héros impérissables...
Notre hypothèse de travail est la suivante : les factions immanentistes qui ont fomenté le 911 ont sous-traité au Mossad et aux militaires américains les différents volets de l'exécution. A charge pour ces derniers de sous-traiter à leur tour (c'est el cas de le dire) dans des entreprises qui constituent de simples façades à leurs activités de renseignement ou à des entreprises qui opèrent dans le milieu industriel et qui de ce fait ont les caractéristiques pour intervenir au niveau international, par-delà les frontières et les institutions.
Les rumeurs qui bruissent dans le monde et qui imputent au Mossad et à Israël la responsabilité du 911 montrent à la fois que les peuples ne sont pas dupes, malgré la propagande médiatique intense et le tabou systémique inexpugnable (ou grâce à cette omerta qui est un aveu?). Mais cette lucidité s'accompagne aussi de l'aveuglement le plus classique. Classique : car c'est prêter aux institutions un rôle et une prépondérance qu'elles ont perdus depuis que la Raison a décrété la suprématie des factions sur les institutions.
Dans le fil rouge du 911, le lien entre Israël, la Grande-Bretagne et les États-Unis est un lien qui montre clairement que les communautés juives sont désignées dans cette implication. Voilà qui, quand la vérité sera dévoilée, une affaire d'un siècle tout au plus, n'arrangera pas les affaires de l'antisémitisme. Pourtant, ce sera(it) une erreur que d'imputer le coup aux communautés juives transnationales, une fois que l'on aura compris que ce ne sont pas des institutions qui ont agi en tant que telles.
Car les communautés ne sont pas responsables des agissements dévoyés de factions qui certes agissent en tant que factions juives, mais qui n'agissent pas au nom de la communauté juive. Comprend-on la distinction?Les factions juives agissent au nom des Juifs, alors que les Juifs à 99,9 % sont étrangers à ces agissements. D'une part, ils sont trop nombreux pour se trouver dans le secret des dieux; d'autre part, le seraient-ils qu'ils le désapprouveraient dans leur insigne majorité comme une monstruosité.
Il faut que le coup vienne de factions fondamentalistes. Mais le fondamentalisme n'est jamais que le propre de toutes les religions. Il est évident que les circuits du fondamentalisme juif appuient comme par hasard la guerre contre le terrorisme. Mais il est certain aussi que le fondamentalisme protestant/anglo-saxon se trouve impliqué au plus haut niveau. Le fondamentalisme islamiste est aussi impliqué, mais en tant que sous-traitant - à un niveau inférieur.
Ce qui est intéressant, c'est de comprendre que le fondamentalisme juif est directement relié aux milieux de la haute finance et de la grande banque. Voilà le lien qui explique enfin pourquoi les implications d'Israël et des États-Unis ne sont pas un paradoxe inexplicable. Lien d'autant plus prépondérant qu'il baigne dans le tabou de l'antisémitisme (le lien des Juifs à la banque et à l'argent, entre fantasme et accusation) : le point commun entre les États-Unis, Israël et la grande banque, ce serait les Juifs.
Cette remarque n'est ni scandaleuse, ni antisémite à condition que l'on comprenne que ce ne sont pas la religion ni la culture juives qui poussent au crime et aux exactions graves du 911. La primauté du judaïsme dans les milieux financiers s'explique de manière historique, anthropologique et sociologique - pas de manière raciste ou essentialiste.
Surtout, il faut comprendre que ces factions juives n'agissent pas en tant que juives, je veux dire : le dénominateur commun à ces factions n'est pas la culture juive ou une quelconque influence juive, mais l'immanentisme. Sinon, on ne trouverait pas autant de non-Juifs dans un complot strictement juif. Et pour cause : il s'agit d'un complot immanentiste. Le point commun entre ces gens n'est pas le judaïsme, mais l'immanentisme.
De surcroît, la doctrine immanentiste est une utopie descendant de la modernité, pas de la culture juive séculaire, telle qu'on en trouve les traces dans l'Ancien Testament, spécifiquement le Pentateuque. Au contraire, ces écrits remarquables exhalent le parfum du transcendantalisme atavique, dont il ne fat pas oublier qu'il imprègne autant, sinon plus, le polythéisme originel que le monothéisme qui en découle. N'oublions pas à ce sujet que le judaïsme est à cheval entre le polythéisme et le monothéisme. Elohim et El Shaddaï.
Dès lors, le 911 est incompréhensible tant que l'on ne comprend pas le moteur du 911, qui se trouve être le moteur du système : le 911 est en effet un évènement profondément systémique. Mais si l'on tire le bon fil, on comprend que le complot n'est pas ourdi par 19 Arabes (version officielle), ni par des exaltés US (version inside job). Pas davantage découle-t-il des commodes Israéliens. Ni même des désignés Juifs. Toutes ces pistes ont leur part de vérité, plus ou moins importante, mais elles manquent la réalité des mutations modernes concernant la définition du fondement. Les rumeurs ne font qu'enfler les calomnies dans le moment où elles étouffent la vérité dont elles s'inspirent pourtant.
Le délitement du politique fait que les institutions et les États ne sont plus les formes ultimes des sociétés humaines. Ces formes classiques, issues du modèle transcendantal, ont été supplantées par les formes immanentistes, qui relèvent de factions piratant les institutions. Dès lors, rien d'étonnant à ce que le 911 délivre un message en forme de miroir irrémédiablement brisé et incompréhensible. Le message n'est abscons et indéchiffrable que si on lui applique des critères de déchiffrage qui ne lui conviennent pas.
En particulier, une grille de lecture aussi classique que transcendantale débouche sur des contresens majeurs et définitifs : c'est ainsi qu'on inculpe Cheney en désespoir de cause (avec les meilleurs efforts du monde, W. n'est vraiment qu'un responsable irresponsable). Ou qu'on lorgne avec des regards suspicieux vers Israël ou les Juifs responsables, c'est bien connu, de toute la misère humaine.
Las! Tous ces groupes, toutes ces communautés dépendent en fait de critères d'identité qui sont classiques et transcendantaux. De ce fait, ils sont dépassés. Désormais, place à l'immanentisme et place aux factions. Place surtout à la compréhension véritable du fonctionnement des pirates modernes : ils ne détrônent pas d'anciennes formes, ils les incrustent, les détournent - et les dévoient.
Il est probant d'insinuer que l'attentat contre le Pentagone, s'il ne saurait être l''oeuvre d'un Boeing détourné 757, émane de services militaires américains. De ce point de vue, l'attentat contre le Pentagone signale plus l'implication de certains pans et certaines factions des institutions américaines, notamment militaires. Mais le WTC? L'incroyable farce de la version officielle en s'effondrant (en même temps que les tours) libère l'implication dans la surveillance de dizaine d'agents israéliens, non loin du WTC, mais également non loin des pirates présumés, en particulier en Floride. Encore la Floride et son univers impitoyable...
Et si ceux qui ont pensé le 911 l'avait délibérément scindé en deux parties : d'un côté le Pentagone, dont l'exécution est laissée aux bons soins des militaires américains et autres affidés; de l'autre, le WTC, dont l'attaque a été confiée au savoir-faire inégalable en matière d'espionnage et de manipulation du Mossad? Voilà qui expliquerait la liesse invraisemblable des agents israéliens déguisés en terroristes arabes au moment où les Tours s'effondrent. Que fabriquaient ces énergumènes au moment idoine et pourquoi se réjouissaient-ils ainsi de la catastrophe? Auraient-ils réussi leurs objectifs et leur mission?
Effectivement, ils ont réussi leur mission : lancer la guerre contre le terrorisme. Et ils ont toutes les raisons de se montrer aussi exubérants face à la catastrophe. Ils ont réalisé un travail extraordinaire, dont toutes les mémoires rappelleront l'effectivité au cours des siècles des siècles. Pas certain cependant que ce genre d'exploit soit de ceux dont on félicite les auteurs transformés en héros impérissables...
Notre hypothèse de travail est la suivante : les factions immanentistes qui ont fomenté le 911 ont sous-traité au Mossad et aux militaires américains les différents volets de l'exécution. A charge pour ces derniers de sous-traiter à leur tour (c'est el cas de le dire) dans des entreprises qui constituent de simples façades à leurs activités de renseignement ou à des entreprises qui opèrent dans le milieu industriel et qui de ce fait ont les caractéristiques pour intervenir au niveau international, par-delà les frontières et les institutions.
Les rumeurs qui bruissent dans le monde et qui imputent au Mossad et à Israël la responsabilité du 911 montrent à la fois que les peuples ne sont pas dupes, malgré la propagande médiatique intense et le tabou systémique inexpugnable (ou grâce à cette omerta qui est un aveu?). Mais cette lucidité s'accompagne aussi de l'aveuglement le plus classique. Classique : car c'est prêter aux institutions un rôle et une prépondérance qu'elles ont perdus depuis que la Raison a décrété la suprématie des factions sur les institutions.
Dans le fil rouge du 911, le lien entre Israël, la Grande-Bretagne et les États-Unis est un lien qui montre clairement que les communautés juives sont désignées dans cette implication. Voilà qui, quand la vérité sera dévoilée, une affaire d'un siècle tout au plus, n'arrangera pas les affaires de l'antisémitisme. Pourtant, ce sera(it) une erreur que d'imputer le coup aux communautés juives transnationales, une fois que l'on aura compris que ce ne sont pas des institutions qui ont agi en tant que telles.
Car les communautés ne sont pas responsables des agissements dévoyés de factions qui certes agissent en tant que factions juives, mais qui n'agissent pas au nom de la communauté juive. Comprend-on la distinction?Les factions juives agissent au nom des Juifs, alors que les Juifs à 99,9 % sont étrangers à ces agissements. D'une part, ils sont trop nombreux pour se trouver dans le secret des dieux; d'autre part, le seraient-ils qu'ils le désapprouveraient dans leur insigne majorité comme une monstruosité.
Il faut que le coup vienne de factions fondamentalistes. Mais le fondamentalisme n'est jamais que le propre de toutes les religions. Il est évident que les circuits du fondamentalisme juif appuient comme par hasard la guerre contre le terrorisme. Mais il est certain aussi que le fondamentalisme protestant/anglo-saxon se trouve impliqué au plus haut niveau. Le fondamentalisme islamiste est aussi impliqué, mais en tant que sous-traitant - à un niveau inférieur.
Ce qui est intéressant, c'est de comprendre que le fondamentalisme juif est directement relié aux milieux de la haute finance et de la grande banque. Voilà le lien qui explique enfin pourquoi les implications d'Israël et des États-Unis ne sont pas un paradoxe inexplicable. Lien d'autant plus prépondérant qu'il baigne dans le tabou de l'antisémitisme (le lien des Juifs à la banque et à l'argent, entre fantasme et accusation) : le point commun entre les États-Unis, Israël et la grande banque, ce serait les Juifs.
Cette remarque n'est ni scandaleuse, ni antisémite à condition que l'on comprenne que ce ne sont pas la religion ni la culture juives qui poussent au crime et aux exactions graves du 911. La primauté du judaïsme dans les milieux financiers s'explique de manière historique, anthropologique et sociologique - pas de manière raciste ou essentialiste.
Surtout, il faut comprendre que ces factions juives n'agissent pas en tant que juives, je veux dire : le dénominateur commun à ces factions n'est pas la culture juive ou une quelconque influence juive, mais l'immanentisme. Sinon, on ne trouverait pas autant de non-Juifs dans un complot strictement juif. Et pour cause : il s'agit d'un complot immanentiste. Le point commun entre ces gens n'est pas le judaïsme, mais l'immanentisme.
De surcroît, la doctrine immanentiste est une utopie descendant de la modernité, pas de la culture juive séculaire, telle qu'on en trouve les traces dans l'Ancien Testament, spécifiquement le Pentateuque. Au contraire, ces écrits remarquables exhalent le parfum du transcendantalisme atavique, dont il ne fat pas oublier qu'il imprègne autant, sinon plus, le polythéisme originel que le monothéisme qui en découle. N'oublions pas à ce sujet que le judaïsme est à cheval entre le polythéisme et le monothéisme. Elohim et El Shaddaï.
Dès lors, le 911 est incompréhensible tant que l'on ne comprend pas le moteur du 911, qui se trouve être le moteur du système : le 911 est en effet un évènement profondément systémique. Mais si l'on tire le bon fil, on comprend que le complot n'est pas ourdi par 19 Arabes (version officielle), ni par des exaltés US (version inside job). Pas davantage découle-t-il des commodes Israéliens. Ni même des désignés Juifs. Toutes ces pistes ont leur part de vérité, plus ou moins importante, mais elles manquent la réalité des mutations modernes concernant la définition du fondement. Les rumeurs ne font qu'enfler les calomnies dans le moment où elles étouffent la vérité dont elles s'inspirent pourtant.
Le délitement du politique fait que les institutions et les États ne sont plus les formes ultimes des sociétés humaines. Ces formes classiques, issues du modèle transcendantal, ont été supplantées par les formes immanentistes, qui relèvent de factions piratant les institutions. Dès lors, rien d'étonnant à ce que le 911 délivre un message en forme de miroir irrémédiablement brisé et incompréhensible. Le message n'est abscons et indéchiffrable que si on lui applique des critères de déchiffrage qui ne lui conviennent pas.
En particulier, une grille de lecture aussi classique que transcendantale débouche sur des contresens majeurs et définitifs : c'est ainsi qu'on inculpe Cheney en désespoir de cause (avec les meilleurs efforts du monde, W. n'est vraiment qu'un responsable irresponsable). Ou qu'on lorgne avec des regards suspicieux vers Israël ou les Juifs responsables, c'est bien connu, de toute la misère humaine.
Las! Tous ces groupes, toutes ces communautés dépendent en fait de critères d'identité qui sont classiques et transcendantaux. De ce fait, ils sont dépassés. Désormais, place à l'immanentisme et place aux factions. Place surtout à la compréhension véritable du fonctionnement des pirates modernes : ils ne détrônent pas d'anciennes formes, ils les incrustent, les détournent - et les dévoient.
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